Les Diaboliques Personnages

mesure de son aspiration dans cette société bourgeoise et conformiste de la monarchie de juillet. « Etre artiste ! »devient le mot d’ordre de la jeunesse. La notion d’artiste se dissocie de celle de l’artisan pour atteindre le statut de Créateur, de personnage mythique qui, par sa façon de penser et de vivre, se distingue du commun des mortels et surtout du type du bourgeois, exclusivement occupé à s’enrichir. Ainsi, Balzac prend-il ses distances avec son époque, en remontant le temps jusqu’à l’année

phénomène culturel. Selon les sociétés et les époques, les attitudes à l'égard du rire, les pratiques du rire, les objets et les formes du rire, ne sont pas les mêmes, changent. Le rire est un phénomène social. Il requiert au minimum deux ou trois personnages réels ou supposés : celui qui fait rire, celui qui rit, celui dont on rit, très souvent aussi celui ou ceux avec qui on rit ; c'est une conduite sociale qui suppose des codes, des rites, des acteurs, un théâtre. Dans son histoire du rire et de la

strophes de 2 vers (distiques), qui sont majoritairement des alexandrins sur rimes plates/suivies mais on trouver des vers de 13, 14 et même 17 pieds. Strophe 1 Le poème s’ouvre comme un conte « il y avait » mettant en scène une sorcière (personnage diabolique des contes de fées) mais l’adj. « blonde » apparaît comme en opposition (oxymore ?) avec le nom « sorcière » ( symbolique de la blondeur, symbole de pureté, d’un être angélique presque donc positif. Pourtant elle est bien maléfique puisqu’elle

découvre que son souhait diabolique s'est réalisé et que son énergie vitale est préservé par la métamorphose du tableau ?Mouvements du texte : 1) Les trois premiers paragraphes : découverte progressive de l'altération du tableau.2)Paragraphes 4, 5,6 : souvenir de son souhait et hésitations entre explication réaliste ou fantastiques3)Les deux derniers paragraphe : prise de conscience qu »il a pactisé avec diable .1° premier mouvement :Paragraphe 1- Mise en scène du personnage qui entre dans la pièce

nous dit Claire Caillaud, est perçue comme le signe d'une méchanceté fondamentale dans la mentalité populaire. On voit bien ce glissement dans l'extrait de Notre-Dame de Paris où la foule dit de Quasimodo qu'il est " aussi méchant que laid ", et le personnage de Frankenstein est aussi bien monstrueux physiquement que moralement, puisqu'il avoue avoir commis bien des crimes. Pourtant, sa monstruosité morale n'est pas première : la créature rappelle qu'au début, elle était mue par des sentiments bienveillants

boutiques de l’antiquité le règne animal : crocodile, singes, cobras, les époques de l’histoire se mélangent : république moyen âge de même sacré et profane sont reliés : « le tourne broche sur un ostensoir » On a la sensation d’aller comme le personnage, à la recherche de l’objet rare pour acquérir quelque singularité en notre convenance : Choix entre les armes, la vaisselle, (assiettes, tasses, salières…) les objets décoratifs,(vase de sèvre, tableau au pastel) de plus les références culturelles

fait nuit, dans un cimetière d’où « les fossoyeurs étaient déjà repartis», des feux sont allumés et les personnages sont diaboliques. L’auteur lui-même les énumères: «...voleurs, assassins, surineurs, putains, déserteurs, jeunes gens à la dérive». Tous ces personnages, tentent de s’échapper par le feu purificateur, symbole infernal, à l’horrible odeur qui les envahit. Dans cette atmosphère diabolique, Grenouille se mêle discrètement à la foule des bandits qui ont «un meurtre ou quelque crime ignoble

Le chat le regardait avec de gros yeux ronds d’une fixité diabolique.· Si : proposition subordonnée relative : ce n’est pas la première fois qu’il veut le faire· Gros yeux ronds : sur dimension : introduit le regard· Point de vue de Laurent· Fixité diabolique : complicité du diable. Introduit la folie de Laurent· Le chat : témoin du meurtre PH 3C’étaient ces yeux, toujours ouverts sur lui, qui exaspéraient

inépuisable source d’inspiration. Comme beaucoup d’auteurs de son temps, il met beaucoup de temps à se faire connaître et sa première publication est : Ode aux héros des Thermopyles en 1825. En 1874, il publie Les Diaboliques, un recueil de nouvelles dans lesquelles il souligne l’origine diabolique des perversions morales qu’incarnent les héroïnes. « La vengeance d’une femme » fait partie de ce recueil. Résumé : Lors d’un dîner regroupant des soldats et des révolutionnaires, un dénommé Mesnilgrand se

littéraire fantastique. Elle aborde le thème de la passion, qui est fondamental dans le romantisme, mais traite plus particulièrement de la passion désordonnée, que l’on peut aussi qualifier de diabolique. Au début de cette histoire, c’est de la passion ordonnée dont il est question. Romuald, le personnage principal, est un fervent de religion qui n’a eu qu’un seul but tout au long de sa vie : «Dès ma plus tendre enfance, je m’étais senti de la vocation pour l’état de prêtre […]»1. Selon Platon