Les Diaboliques Personnages

Nicolas Poussin qui, tout jeune homme, n’est pas encore un peintre reconnu. Dans l’escalier qui le mène chez Porbus, un célèbre peintre de cour, il aperçoit un vieillard mystérieux qu’il observe avec curiosité. Balzac présente au lecteur ce curieux personnage à travers un double regard : le sien propre t celui de Nicolas Poussin. Ce portrait permet de voir à l’œuvre le réalisme balzacien qui, tout en partant du réel, cherche à le dépasser et peut prendre une couleur fantastique. I/ Un point de

réel ou « un je ne ce quoi qui affriande les artistes » et qui pousse le jeune peintre à l’ « examiner curieusement » pour remarquer « quelque chose de diabolique » ,un nez qui ressemble à « celui de Rabelais ou de Socrate » et des « yeux vert de mer » qui jettent des « regards magnétiques » .Le portrait est une « image imparfaite de ce personnage », comme « une toile de Rembrandt » aux « couleurs fantastiques ». Dans L’Homme qui rit, Hugo nous fait le portrait d’une personne totalement irréelle

I. Un point de vue complexe : certitudes et interrogations Le personnage est vu selon plusieurs perspectives. 1. Le regard du peintre en focalisation interne C'est d'abord à travers les yeux du jeune Nicolas Poussin qu'on voit le vieillard : le regard du peintre colore la focalisation interne et montre un portraitiste attentif aux reliefs du visage parce qu'ils accrochent la lumière (« le jour faible »), expriment le caractère, la personnalité du modèle dont le tableau devra rendre compte. Nicolas

de ce visage empâté de vermillon(11) mais d'un brun doré comme les ailes de certains insectes, et que la clarté blême, tombant en maigre filet du réverbère, ne pouvait pas pâlir. » Jules-Amédée Barbey d'Aurevilly, La Vengeance d'une femme, Les Diaboliques, 1874 Texte 3 Bordenave, le directeur du théâtre des Variétés, lance une débutante à grand renfort de publicité dans son nouveau spectacle, La Blonde Vénus. Au début de la représentation, le public s'impatiente. « À ce moment, les nuées

La Princesse de Clèves, Madame DE LA FAYETTE Portrait de l’héroïne, éponyme (texte qui a pour titre le nom du personnage principal) I. Un portrait esquissé a) Le locuteur relie la caractéristique fondamentale de mademoiselle de Chartres à son nom * Portrait de mademoiselle de Chartres, fille d’une grande famille d’aristocrates. * Il y a beaucoup d’hyperbole, de la part de madame de Chartres, pour modéliser la beauté de sa fille. Mais ces conseils ne permettront pas le bonheur

Pourquoi ce locuteur va-t-il raconter l'histoire (récit encadré) ? 2. Analyse du récit encadré: - Que peut-on dire du narrateur dans le récit encadré par rapport au récit cadre ? - Quelle est la durée de l'histoire racontée ? 3. Que peut-on dire du personnage de Clarimonde ? (étude du nom, de son rôle ...). Qu'éprouve t'elle pour le prêtre ? Peut-on en être certain ? 4. Le prêtre parle de sa "vie bicéphale". Vous expliquerez cette expression en vous appuyant sur le texte. En quoi cette expression contribue

distinguent principalement selon leur sexe. En effet, comme on va le voir, la nature diabolique de ce personnage s’exprime de manière totalement différente suivant si l’on a affaire à une méchante ou à un méchant. En caricaturant un peu, on peut dire que les méchants sont le plus souvent des hommes faibles, efféminés, alors que les méchantes sont au contraire des femmes fortes et dominatrices. Dans tous les cas, ces personnages constituent donc des écarts par rapport à la norme sexiste qui veut que les hommes

Felice Casorati. Cet œuvre a connu deux adaptations, un téléfilm et un film. Vipère au poing a été publiée en 1948 à Paris. Il contient environ 250 pages. Cet œuvre est un roman autobiographique car l’identité n’est pas la même entre l’auteur et le personnage principal mais certains éléments du récit permettent le rapprochement entre l’auteur et le narrateur tels que Paule (Folcoche), la mère qui est très autoritaire et sèche, la fugue que l’auteur avait faite jeune qui se reproduit dans le récit. Ce

Tepes. Au delà de la créature et du monstre qu'il représente aux yeux de tous, le conte Dracula est avant tout un être damné, rejeté par Dieu et contraint à rester éternellement sur Terre sous forme de mort-vivant. Dans le roman, «le conte» est un personnage effrayant, mais également extrêmement charismatique. C'est pourquoi Mina Harker se verra prise de pitié pour cet être démoniaque. Ce roman écrit sous forme épistolaire voit son histoire se dérouler en Transylvanie. C'est le jeune clerc Jonathan

deux amants pris au piège puis, nous constaterons que c'est une scène marquée par la violence et la terreur I Deux amants pris au piege A) un amour coupable - Rappelons RB et la reine sont des amants , car la reine est mariée -Les deux personnages sont tres proche ce qui est sugéré par l'emploie du tutoiement ex BLEU FEILLE -Cette proximité et appuyer part des signes de tendresses qui sont perceptibles"lui prenant les mains" ainsi que "et lui montrant du doigt la ligne qu'elle lit" - La