Les Diasporas Grecques

Elle fut traduite fin 3è siècle en grec par les "Septante", un groupe de juifs hellénisés d'Alexandrie. Des déformations se sont produites entre la version orale et la version écrite et entre la version hébraïque et la version grecque. Il faut ajouter que la version grecque a été ensuite traduite en latin au 4è siècle par saint Jérôme, formant la Vulgate, seule version disponible en Occident  pendant les siècles du Moyen Age.  voir la différence entre la bible Chouraqui et la TOB  voir les différentes

de plus en plus difficilement par l’Égypte. Darius III Conoman monte sur le trône en -335 mais il est défait par Alexandre le Grand. À partir de ce moment, les campagnes d’Alexandre se poursuivent au Proche-Orient, avec pour priorité les positions grecques et perses de la Méditerranée qu’il convient de renforcer au bénéfice de la Grèce. Accueilli en libérateur en -331, Alexandre le Grand est reconnu par le clergé égyptien comme roi de descendance divine. Il fait restaurer les temples et les monuments

maîtres pdt qq années et répriment la population grecque indocile puis l'ordre du temple s'en désintéresse, la rend à Richard, et Richard les rembourse – la donner en lot de consolation à Guy de Lusignan 1194 meurt → fils Amaury (I de chypre, II de jérusalem) installe le royaume dans la durée : – redistribue les fiefs (avoir un domaine suffisant + satisfaire les barons – latiniser l'île : création d'une hiérarchie latine juxtaposée à la hiérarchie grecque archevêché de Nicosie – demande à l'empereur

monde culture artistes sont Juifs. Aujourd'hui il y a 6millions de juifs aux États-Unis la Diaspora constitue une espèce de chaîne il y a une grande solidarité des juifs du monde. Multiplication des religions les États-Unis ont accueillis beaucoup de religions comme des chrétiens orthodoxes, ils ont l'a particularité d'être constitué d'église orthodoxes nationale avec églises orthodoxes serbe grecques russes qui sont rivales. Dans les années 60 arrivent d'autres groupes comme les bouddhistes

constat-là, j’ai émis deux questions qui permettront de guider mon raisonnement · Quels éléments ont permis le rayonnement d'Alexandrie durant la période hellénistique ? · En quoi Alexandrie est-elle le reflet d’un processus de migration de la tradition grecque sur le territoire égyptien ? J’aborderais tout d’abord la fondation d’Alexandrie qui témoigne de l’unicité du territoire (I) puis j’établierais une étude de la politique, de l’économie et de la religion au sein de la ville qui me permettra de conclure

partie importante du Moyen-Orient, elle ne bénéficie pas d’un préjugé favorable dans cette région. La Turquie ayant construit un État-nation7 de nature centralisée en se fondant sur l’exclusion ou l’abaissement des autres ethnicités, arménienne, grecque et kurde, ou des religions non musulmanes, il en résulte un sentiment d’isolement qu’illustre le vieil adage : « Les Turcs n’ont d’autres amis que les Turcs ». Les chercheurs en sciences sociales considèrent d’ailleurs que les Turcs résidant dans

la capitale de l'empire Babylonien. Ce départ est appelé la première diaspora juive. Certains réussiront à s'y intégrer mais tous regretteront leur pays. En -532, l'empire perse s'empare de l'Égypte et de la Babylonie et autorisent les Juifs à revenir sur leurs terres. Deux siècles plus tard, en -334, c'est au tour de l'empire Perse dirigé par Alexandre le grand de s'emparer de l'Israël où il emmènera toute la culture grecque et forcera les Juifs à se convertir au polythéisme, en enlevant ainsi

l’observance de la Torah. Si cette promesse est réalisée alors Yahvé donnera au peuple juif une descendance aussi nombreuse que les étoiles et un territoire en possession perpétuel, la Terre Promise (Gn, 15). Sinon ce sera l’exil, la dispersion : la diaspora. C’est un phénomène de dispersion des juifs à travers le monde qui a démarré au 6ème siècle avant notre ère lors de l’exil à Babylone. Une deuxième phase lors de la conquête d’Alexandre le Grand, au 4ème siècle avant notre ère, la période hellénistique

différence entre nation et territoire dans le sens où le citoyen qui ne réside plus sur le territoire de sa nation d’origine n’est plus considéré comme un expatrié comme c’est le cas dans le cadre de l’Etat-nation classique. La multiplication des diasporas fait naître des formes transétatiques de solidarité nationale qui assurent à ses membres un lien qui ne fait plus référence au critère spatial, ce qui nous fait dire que les nations ne disparaissent pas mais le lien entre nation et territoire tend

sans territoire ? Certes, la nation peut spirituellement survivre sans territoire, à travers une diaspora, comme les Juifs l’ont connue pendant deux mille ans. Elle peut aussi transcender les États-nations territoriaux à l’aide du pouvoir spirituel du pape, souverain de l'État du Vatican, dont la superficie est si faible et le pouvoir si grand. Mais peut-on encore parler de nation ? Ni la diaspora juive, ni le Vatican, ni même l’Église universelle (c'est-à-dire le peuple chrétien), ne sont une