Les Guerriers du silence

enfin à sa portée, elle bondit et mit une patte sur son cou et une autre sur son ventre. Ensuite, elle la dégusta en silence. Un vrai festin digne d’un bon chasseur. Soudain, elle vit un chat qu’elle n’avait jamais vu auparavant. Tornade se leva puis se mit sur ces gardes. Lorsque le chat la distingua, il se dirigea vers la chatte qui montra aussitôt ces crocs. Sans se méfier, le guerrier se présenta à Tornade : -Salutation, je me nomme Griffe de feu et j’appartiens au clan du Jour. Je ne t’avais jamais

promenades ? Les sons que rendent les passions dans le vide d'un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d'un désert ; on en jouit, mais on ne peut les peindre. L'automne me surprit au milieu de ces incertitudes : j'entrai avec ravissement dans le mois des tempêtes. Tantôt j'aurais voulu être un de ces guerriers errant au milieu des vents, des nuages et des fantômes ; tantôt j'enviais jusqu'au sort du pâtre que je voyais réchauffer ses mains à l'humble

vaillant, fidèle,  Jeunes, mais qui font lire aisément dans leurs yeux  L'éclatante vertu de leurs braves aïeux.  Don Rodrigue surtout n'a trait en son visage  Qui d'un homme de coeur ne soit la haure image,  Et sort d'une maison si féconde en guerriers,  Qu'ils y prennent naissance au milieu des lauriers.  La valeur de son père en son temps sans pareille,  Tant qu'a duré sa force, a passé pour merveille ;  Ses rides sur son front ont gravé ses exploits,  Et nous disent encor ce qu'il fut autrefois

mes cahiers d'écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J'écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J'écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J'écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J'écris ton

demandant pardon. Quand je ferme les yeux et que je prie, je pense a vous, et je regrette de ne pouvoir vous aider, qu'en étant à genoux, j'aurai tant voulu être là et me battre à vos cotés, et montrer qu'un musulman, est dans son coeur un guerrier. Chaque jour mon coeur saigne, quand je vois que meurent des enfants, mais le Coran nous préscrit, que c'est oeil pour oeil et dent pour dent, Tues mon frère et tu pleureras sur la tombe de ton père, tues mon fils et plus jamais tu veras l'amour

du sol"(29). La Marseillaise est un chant de guerre: La Marseillaise est un chant guerrier qui est accompagné des instruments qui suivent les troupes: les cuivres: "sécheresses de cuivre"(12), le tambour: "ainsi qu'un tambour que frappent les baguettes"(14), trompette: "monstrueuses trompettes"(11). Il y a une allitération, les sons du tambour qui reviennent dans les mots: "roulait"(4). Egalement chant guerrier car: "note ardente du chant national"(16), "vengeance et liberté"(30). C'est un chant

III/ Un texte allégorique et quasi mythologique Ce texte est fondé sur des antithèses entre le bruit et le silence, entre la violence et le désir d'évasion. Entre l'angoisse et la liberté. ( " Gagnerons-nous la mer " vers1 = prendre le large, gagner le "duel" avec Max Ernst ) L'expression vers 10 " Nous avons en nous tout l'espace rêvé " ou avec Gala ils seraient à l'abri ( du bruit c/ silence ) -> Le sourd. Sourd à leur entourage afin de preserver le couple de même terme aveugle du titre rejoint

fois quand tu me serre contre toi ou je ne réalise pas la chance que j'ai d'avoir trouver la personne qui me correspondait le plus sur cette terre. Tu prends soin de moi, tu sais me comprendre, m'entendre même lorsque je fais silence. Chaque jour a tes cotés je guerris un peu plus, chaque jour je crois si fort en ce Nous. Je sais bien que tu n'as pas besoin de tout ça pour savoir à quel point mon amour pour toi est infini mais après tout quel mal il y t-il à écrire une lettre d'amour à la personne

et héroïsmes maritimes (1920-1928) - Huit années de conflits « lointains, étrangers, voire imaginaires », de mélodrame héroïque ; mythologie de l’exotisme et du spectaculaire, parallèlement à la vague pacifique. Dédain total des évènements guerriers français (dont : lourdes pertes françaises en 1925 lors du soulèvement des tribus Druzes au Levant, île française) : aucun opérateur n’est envoyé sur place (il faudra attendre que le film colonial soit à la mode pour que le cinéma évoque ces conflits)

RACINE : PHEDRE : ACTE II SCENE 2 : VERS 524 - 552 L'AVEU AMOUREUX D'HIPPOLYTE A ARICIE Texte HIPPOLYTE Je me suis engagé trop avant. Je vois que la raison cède à la violence. Puisque j'ai commencé de rompre le silence, Madame, il faut poursuivre : il faut vous informer D'un secret que mon cœur ne peut plus renfermer. Vous voyez devant vous un prince déplorable, D'un téméraire orgueil exemple mémorable. Moi qui, contre l'amour fièrement révolté, Aux fers de ses captifs ai longtemps insulté ; Qui