Lignée pure

génotype qui expriment le phénotype correspondant. Exemple 2 : plantes avec le même génotype Pourtant les individus n’ont pas le même phénotype (taille différente, trait quantitatif). Cette variation phénotypique résiduelle est due à l’environnement. Lignée pure : les individus ont le même génotype et leur descendance sont toutes identiques. Exemple 3 : phéntylcétonurie (pas un caractère quantitatif) Trait qualitatif, la PHA est capable de dégrader la phénylalanine en tyrosine. Lorsque l’on a de la PHA

dans ce cas on sait qu’ un couple de souris homozygotes donnera une descendance ( F1 ) homogène, puis un testcross donnera 2 phénotypes dans les mêmes proportions ( 50% ). Dans le premier croisement, nous constatons que les souris 1 et 2 sont de lignée pure donc homozygotes, leur descendance est homogène avec des souris au pelage noir. Dans le deuxième croisement, on croise des souris F1 avec des souris au pelage blanc( donc des êtres récessifs) on réalise un testcross. Nous constatons que la descendance

l’histoire généalogique des parents et grands-parents de cet épi nous allons prendre les lettres suivantes : → V(violet) et v(jaune) pour les couleurs → L(lisse) et l(ridé) pour les textures Nous savons que ses grands-parents étaient « de lignée pure ». Autrement dit, ils pourraient être VVLL, vvll, VVll, vvLL. Nous pouvons ainsi déduire qu’il existe 2 possibilités différentes qui aboutissent à la même génération F1 : | |1er possibilité |2ème

professionnel et tout son discours est basé sur une imposture scientifique. la lignée pure (Nilsson, Johanssen– Suède – fin 19ème, début 20ème siècle) : c'est en fait un retour à la technique de l'isolement. Des chercheurs suédois ont constaté qu'avec la méthode de la sélection continue qu'ils appliquait, aucune amélioration ne se produisait, expérimentalement ils ont alors redécouvert la techniques des lignées pures qui dominent toute la sélection des plantes encore aujourd'hui. Dès 1903,

platine noire et blanche.Dans 2 cas nous allons croiser deux parents (P1*P2). Ensuite nous allons croiser un fils avec un des deux parents (F1*P2). Premier cas, les gènes sont indépendants (sur des chromosomes différents):Ici les parents sont de lignées pures, ils sont donc homozygotes pour les deuc gènes (2 caractères), ou 2 fois le même allèle. P1 a des ailes longues et un corps gris (Vg+//Vg+;Eb+//Eb+) et P2 a des ailes vestiginales et un corps ébène (Vg//Vg;Eb//Eb). Méthode expérimentale:

La création de variétés hybrides F1, issus de croisements de lignées pures, est la voie la plus perfectionnée et généralement la plus efficace pour l’amélioration des plantes allogames car elle est la seule méthode permettant d’exploiter complètement l’hétérosis. D’autres méthodes, moins performantes au plan génétique mais techniquement plus facile pourront être utilisée : amélioration de populations existantes et création de variétés populations synthétiques. Les variétés hybrides | Avantages

Les descendances d'un groupe montrent une grande diversitèe. Comment la reproduction sexuée (méiose,reproduction) sont à l'origine de cette diversitèe?   a) les lignées pures: A- -a D- -D e- -E p- -P Homozygote en D. Hétérozygote en Aa;Ee;Pp. Les individus homozygote pour tout les gènes forment les lignées pures. Tp: les mouches: Différences entre les mouches     P1      P2  X     P  F1   Ailes  longues  Eb+  Corps  claire  Vg+  Ailes longues 

de soi. Dans l’article de Julie Denouël, il est plus question d’identité numérique et de soi en ligne que d’identité pure. Le texte, propose de repérer les différentes perspectives théoriques qui ont permis de développer la problématique de l’identité numérique et propose des pistes de recherche pour appréhender les processus d’intersubjectivation qui sont à l’œuvre dans la construction du soi en ligne. Idées fortes : Expressivisme l’émergence d’un soi pluriel et fragmenté trouverait dans le web

Etre libre, est-ce ne rencontrer aucun obstacle ? e Th` me : S´ rie S : annales 2005 e Sujet analys´ : e Plan propos´ : e Plan r´ dig´ : e e Forum d’aide en ligne : Analyse du sujet La libert´ semble correspondre intuitivement au pouvoir de faire ce que l’on veut. En ce sens, je ne me percois comme libre qu’` e ¸ a la condition de pouvoir r´ aliser tous mes souhaits, sans que rien ne vienne s’y opposer. Cette d´ finition commune ou enfantine de la e e ` ` libert´ se heurte toutefois a une limite

n'est pas l'autorité "redressante", "décificitaire", "par défaut" qu'il voit parfois dans certaines classes-relai, mais l'autorité inscrite dans un cadre qui permet d'instaurer le PSG (pouvoir-savoir-grandir). Il cite la recherche des Bourseaux, en ligne sur son site, qui valide l'hypothèse des aphorismes de F. Oury, initiateur de la pédagogie institutionnelle : désir + compétence = activité (ou enseigner ?). L'autorité éducative n'est donc pas l'autorité naturelle. Ces "enseignants qui réussissent"