Machine de Turing

professeur de lettres à Paris, Jacques Perret, lui demandant de proposer un « nom français pour sa nouvelle machine électronique destinée au traitement de l'information (IBM 650), en évitant d'utiliser la traduction littérale du mot anglais "computer" ("calculateur" ou "calculatrice"), qui était à cette époque plutôt réservé aux machines scientifiques »6. En 1911, une description de la machine analytique de Babbage utilisait le mot ordonnateur pour en décrire son organe moteur: « Pour aller prendre

rapides à s'exécuter, qui de préférence ne buggent pas, et surtout qui soient le plus simple à écrire. Une brève histoire de la programmation La première machine programmable (c’est-à-dire machine dont les possibilités changent quand on modifie son « programme ») est probablement le métier à tisser de Jacquard, qui a été réalisé en 1801. La machine utilisait une suite de cartons perforés. Les trous indiquaient le motif que le métier suivait pour réaliser un tissage ; avec des cartes différentes le

la theorie des types. Turing 19ème-20ème siècle. Il marque un tournant dans la révolution informationnelle. Il introduit une nouvelle vision de pensée avec le codage comme concept central. Selon lui, il n’existe pas de machine capable de résoudre tout problème mathématique mais il est possible de reproduire l’activité mentale de l’homme (machine universelle: travaille seule en fonction de la configuration). Tout ce qui peut être calculé par l’homme l’est par la machine. Il établit un pont entre

importants de ces « cerveaux » : la mémorisation et la transmission de l’information. Nous allons les développer précisément en présentant leurs plus grandes parties. L’ordinateur Un ordinateur ou tout autre "intelligence artificielle" est une machine dotée d'une unité de traitement de données lui permettant d'utiliser des programmes enregistrés. C'est un ensemble de circuits électroniques permettant de manipuler des données sous forme binaire, ou bits. On peut donc assimiler un ordinateur à un

«informatique» a été proposé en 1962 par Philippe Dreyfus pour caractériser le traitement automatique de l’information. Ce terme a été accepté par l’Académie française en avril 1966, avec la définition suivante: «Science du traitement rationnel, notamment par machines automatiques, de l’information considérée comme le support des connaissances humaines et des communications dans les domaines techniques, économiques et sociaux.» En fait, cette définition peut correspondre à deux groupes de disciplines sensiblement

apparues les manipulations de données non calculatoires et enfin l’Intelligence Artificielle, communément appelée (IA). Le cours va se diviser en 10 parties : 1- Les premiers instruments 2- Les hommes et les premiers outils 3- Les premières machines programmables 4- L’Envol de l’informatique 5- Le Calculateur Analogique 6- 1936, Première génération d’ordinateurs 7- 1956, Deuxième génération d’ordinateurs 8- 1963, Troisième génération d’ordinateurs 9- 1971, Quatrième génération d’ordinateurs

puis avec la création du circuit intégré quelques années plus tard. C’est au même moment qu’Alan Turing, mathématicien Britannique, est le premier à théoriser ce qu’est un ordinateur, avec son concept de machine universelle de Turing. Le domaine de l’informatique est un domaine récent, basé sur les sciences originaires de l’Antiquité et des expériences menées au XVIIe siècle, comme par exemple la machine à calculer de Blaise Pascal. En effet, l’informatique commence à se développer en France, seulement

l’infocomedianet (informatique, communication, multimédia, internet) Informatique à la base inventé pour faire des calculs = algèbre de Boole. Avant l’invention des ordinateurs = avant 1900. Informatique = traitement automatique de l’information. * 18e -19e : machine à calculer = la pascaline = pas de l’informatique * 1850 : ° Ada (= nom d’un langage informatique) Lovelace invente l’algorithme = décrire une suite d’opérations pour écrire un résultat quelque soit les conditions. Informatique = fonction de résonnée

que par un mouvement circulaire, ou plutôt hélicoïdal. Mais encore fallait-il trouver le moyen d’entrer dans le cercle. Une percée théorique fondamentale allait le fournir. Dans la foulée du théorème d’incomplétude de Gödel, le logicien anglais Alan Turing proposait, dans un article publié en 193717, une définition formelle précise de l’idée intuitive d’algorithme, c’est-à-dire de recette permettant de calculer le résultat d’une opération arithmétique donnée18. Ce qui apparaissait jusque-là comme un

est dépassé par la complexité de plus en plus grande du monde dans lequel il vit. L'Homme a voulu insérer ses capacités à travers les machines, par l'intermédiaire de l'intelligence artificielle. En effet "Notre intelligence est arrivée au bout de ce dont elle est capable" (Jacques Pitrat) L'intelligence artificielle, à proprement parler, est le fait qu'une  machine puisse penser et agir comme l'Homme, de façon intelligente et autonome. Elle est caractérisée par sa capacité d'adaptation et de réflexion