Maladie infectieuse

Amériques : Colombie, Pérou • Europe : Bosnie, Turquie, R.F.Yougoslavie, Géorgie. CARACTÉRISTIQUES DES PVD Indicateurs de santé : - absence de données épidémiologiques fiables - forte prévalence de maladies infectieuses transmissibles - couverture vaccinale incomplète - fort taux de malnutrition qui sous-tend la gravité des pathologies - insuffisances des moyens diagnostiques et thérapeutiques - compétences professionnelles très inégales des personnels

les modes de transmission. Il est trouvé dans la viande bovine, le lait non pasteurisé, le cidre et le jus de pomme. Autres sérotypes possibles. M. Archambaud , D. Clave, DCEM 1, 2008 8 5 - Intoxication alimentaire - TIAC (le coût de ces maladies transmises par les aliments est très élevé. C’est un problème de santé publique). . d’incubation courte non fébrile ( 1 à 4h) S.aureus Bacillus cereus . d’incubation longue (12 à 72h) Salmonella spp Y.enterocolitica (lait et porc) C

Anthrax Infections liées à Bacillus anthracis Pr C. Michelet Maladies Infectieuses et Tropicales Rennes Anthrax et Bio-terrorisme • Accessibilité au niveau guerre biologique – Culture et aérosolisation de spores faciles avec des connaissances minimales en biologie – Facile à modifier (inclusion de caractères de résistance) • Méthode de diffusion – Par voie aérienne • aérosol (avec dispersion importante, Sverdlovsk) • Poudre contaminée (contamination de surface, enveloppe) • Potentiel épidémique

INFECTIONS ET ERUPTIONS D'ORIGINE BACTERIENNES ET VIRALES Introduction Un certain nombre de manifestations cliniques sont d'origine infectieuse : bactériennes, virales et parasitaires. Il est important de savoir différencier les infections cutanées des éruption cutanées. La différence étant parfois très étroite. Les infections sont toujours d'origine bactérienne (éventuellement parasitaire) mais on exclue les étiologies virales. Les éruptions peuvent être d'origine bactérienne, parasitaire

l'hospitalisation. Vitesse de sédimentation (V.S) : vitesse à laquelle les globules rouges d'un échantillon de sang contenu dans un tube étroit, se sédimentent, c'est à dire, s'agglomèrent au fond du tube. Utilisée dans le suivi des maladies inflammatoires et infectieuses en raison de l'augmentation dans le sang des protéines de la réaction inflammatoire. La lecture de la vitesse de sédimentation, chez une femme, doit être entre 3 et 12 mm la première heure et inférieure à 25 mm. Protéine C réactive

o les moisissures, o les levures, - les parasites. I. Les bactéries a. Les différentes catégories i. Les bactéries saprophytes Ce sont des bactéries qui vivent sur un hôte sans provoquer de maladie. Cependant, ces bactéries peuvent devenir nocives si leur nombre devient trop important. Elles ont tendance à proliférer lorsque leur hôte s’affaiblit. Exemple : c’est la flore de la peau, des muqueuses, de l’eau, des aliments. ii

cru que les maladies épidémiques étaient vues comme des condamnations divines. Voilà pourquoi elles méprisaient la malpropreté. Au temps du père de la médecine, Hippocrate, cette idée de « condamnation divine » a été ébranlée par l’idée que ces maladies seraient dues à des causes naturelles. Cela a resté vainement que des hypothèses. Au XVIème siècle, Girolamo FRACASTORO (1478 – 1553), médecin – philosophe – poète et humaniste italien, décrit différents modes de transmission des maladies. Mais pendant

« LA MALADIE DU PAUVRE » | SANTE ET DEVELOPPEMENT: Le cas du Choléra en HaïtiEtienne VINCENT1 | RESUME : Le Choléra est une dangereuse pathologie intestinale d’origine infectieuse liée au «VIBRIO CHOLERAE» (son bacille) : aussi bien létale par la rapidité de son incubation, que virulente par sa propension à être facilement contagieuse. Selon l’Organisation Mondial de la Santé (O.M.S), on en estime les contractions en millions de cas annuels, et les morts par centaines de milliers

politiques ne se sont pratiquement jamais penchés, comme nous le décrivons ci-dessous).5 Ajouté à l’absence de certaines mesures de réduction des méfaits comme des programmes d’échange de seringues, cela signifie que le potentiel de propagation de maladies transmissibles par le sang, comme l’infection à VIH et l’hépatite C, est plus élevé en prison.6 Étant donné qu’une peine d’emprisonnement ne devrait pas constituer une condamnation à l’infection, et que la plupart des prisonniers sont éventuellement

de jaunisse, d’ulcères, d’obstruction intestinale ou de maladies hépatorénales. Il est déconseillé au cours de la grossesse ou en période d’allaitement car les composes sont excrétés dans le lait maternel. v. Mode d’emploi et posologie : * Adultes : Dose initiale :4cp puis 2cp toutes les 6h. La dose maximale recommandée est de 20mg/j en doses fractionnées. * Agés : Prendre en considération la présence d’autres maladies et traitements éventuels. * Enfants : Lomotil n’est