Maxime de Trailles

1835, illustre la prise de conscience de Rastignac à travers l'état d'esprit des gens de la haute société parisienne de l'époque. Il a eu cette prise conscience lorsque qu'il rendait visite à la comtesse de Restaud accompagnée de son amant : Maxime de Trailles et qu'il fit la connaissance de son mari : Monsieur de Restaud. Nous étudierons cet extrait en trois grandes parties : « Rastignac dans la société parisienne »; « Un jeune amoureux » et « Le jeu subtil de la société ». 1ère partie : Rastignac

considérables en recelant les sommes possédées par quelques uns de ses camarades » p.185. Il se plait à dire être un « Don Quichotte ». La comtesse Anastasie de Restaud : Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, est la maîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie des dettes avec ses économies et l’argent de son père. Rastignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur Delphine. Elle aura des problèmes avec son mari Delphine de Nucingen, ex-roturière, est la fille

faire admettre au bal d'adieu de la vicomtesse qui quitte Paris par dépit amoureux, après avoir été abandonnée par le marquis d'Ajuda-Pinto. * Anastasie Goriot : Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, est la maîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie les dettes à Gobseck. Rastignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur Delphine. * Eugène de Rastignac : jeune "ambitieux" qui rêve de s'introduire dans la haute société parisienne. Rastignac prend gout

passion envers madame de Restaud m’avaient envahi. C’est également pour cela que je ressentais une haine violente pour ce jeune homme suspect, Maxime de Trailles. Quelle idée avais-je eu de me présenter chez madame de Restaud sans même l’avoir prévenu ! Cependant, je ne le regrettais point. Au contraire j’étais jaloux, furieux, et considérais De Trailles en tant que rival. Tout allait mal, j’avais l’impression d’un véritable échec jusqu’à ce moment miraculeux, où je fus présenté à monsieur de Restaud

que celui du baron de Nucingen, elle y a d'ailleurs accédé beaucoup plus tôt que sa sœur cadette, Delphine, qui l'envie et qui la rejoindra grâce aux bons offices d'Eugène de Rastignac. Anastasie est tombée sous le charme d'un dandy voyou (cf. Maxime de Trailles) qui la ruine en l'obligeant à combler les dettes qu'il a contracté. - Eugène de Rastignac : 21 ans au début du roman. Originaire d’Angoulême. Monte à Paris pour faire des études de droit qu’il abandonnera rapidement pour avoir un maximum

admettre au bal d’adieux de la vicomtesse qui quitte paris par dépit amoureux, après avoir été abandonnée par le marquis d’Ajuda pinto 5. ANASTASIE DE RESTAUD : Fille ainée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, est la maitresse de maxime de traille dont elle les dettes à gobseck. Ratignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur Delphine. 6. VICOMTESSE DE BEAUSEANT C’est la cousine d’Eugene de Rastignac et une figure du « tout paris ».Elle d’abord le jeune homme

de l’Histoire des Treize_, dans_ Ferragus_,_ la Fille aux yeux d'or et la Duchesse de Langeais_. Il est l’amant de Delphine de Nucingen dans_ Le Père Goriot_, et l’ennemi de Félix de Vandenesse dans_ le Lys dans la vallée_. Ami et complice de Maxime de Trailles dans_ Gobseck_, il attise et encourage l’ambition de Rastignac dans_ Illusions perdues_. Il meurt dans d’étranges circonstances (_Une ténébreuse affaire_)._ Béatrix de Rochefide et Calyste du Guénic La marquise Béatrix de Rochefide. Elle

de revanche sociale. Il a l’art dutransformisme et sait plier les faibles à sa volonté. Il est dénoncé et envoyé en prison. * La comtesse Anastasie de Restaud : Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, est lamaîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie. Rastignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur Delphine. * La baronne Delphine de Nucingen : Fille cadette du père... [à continuer]

représentants les plus caractéristiques sont Henri de Marsay : « [...] le jeune comte entra vigoureusement dans le sentier périlleux et coûteux du dandysme. Il eut cinq chevaux, il fut modéré : de Marsay en avait quatorze. » ou Maxime de Trailles : « Monsieur de Trailles, la fleur du dandysme de ce temps-là, jouissait d'une immense réputation13. » Dans la vie réelle, Balzac avait une grande admiration pour le « dandy-lion » Charles Lautour-Mézeray, journaliste et mondain, qui lui a servi de modèle

Balzac, Le Père Goriot (1835) Chapitre 1. Maxime regardait alternativement... Maxime regardait alternativement Eugène et la comtesse d'une manière assez significative pour faire décamper l'intrus. " Ah çà, ma chère, j'espère que tu vas me mettre ce petit drôle à la porte! " Cette phrase était une traduction claire et intelligible des regards du jeune homme impertinemment fier que la comtesse Anastasie avait nommé Maxime, et dont elle consultait le visage de cette intention soumise qui dit