Métèque

I – Athénienne On distingue 4 sortes d’athéniens : les citoyens (40000) qui sont les seuls participants à la vie politique, les métèques (40000), qui sont attirés par la prospérité économique de la cité, les femmes et enfants de citoyens (100000), qui participent tout de même aux fêtes religieuses, et les esclaves (environ 120000), qui sont les seuls à ne pas être libres. La population de l’Attique est d’environ 300000 habitants. A Athènes, être citoyen est avant tout un droit du sang : il faut

citoyen et né d’une naissance légitime. Plus tard Périclès met en place la loi qu’il faut être fils de citoyen ET d’une fille de citoyen. Il faut également être majeur pour devenir citoyen, la majorité à l’époque était à 20 ans. Les enfants, les métèques et les femmes sont des non-citoyens. Ils ont des droits mais limités. Un enfant n’est pas considéré comme citoyen car il n’a pas atteint la majorité. Comme futur citoyen, les garçons reçoivent une éducation intellectuelle et physique alors que les

Partie de la maison réservé aux femmes pour qu’elles puissent se reposer se réunir et parler. I)B)2) Les métèques : Définition : Etranger libre résidant à Athènes : -Etranger qui réside et travail sur le territoire athénien notamment comme artisan, commerçant ou médecin.( CF document4)b) page 41). En échange de ce droit de résidence, il paye une taxe spécifique : Le métoikon. - Les métèques n’ont pas de droit politique mais en revanche ils peuvent se défendre en justice et participer aux grandes

Trad. J. de Romilly, Paris, éd. Les Belles Lettres, 1991. B. Limites de la démocratie athénienne α. L'exclusion des non-citoyens Estimations : -431 : 45 000 citoyens, 150 000 femmes & enfants, 70 000 métèques, 110 000 esclaves. -313 : 21 000 citoyens, 70 000 femmes & enfants, 35 000 métèques, 400 000 esclaves. Les mineurs n'ont pas la citoyenneté. Au IVe siècle, l'éphèbe ( φηβος ἔ ) doit accomplir une initiation militaire de ses 18 à 20 ans avant d'avoir le titre de citoyen. Il faudra qu'il

de page Ceux qui ne sont pas citoyens Les métèques: Ils n'appartiennent pas à la cité (qu'ils soient grecs ou non). Ils sont libres. Ils doivent faire le système militaire, mais n'ont aucun droit politique. Ils ont le droit de travailler et de faire du commerce, mais ils paient des taxes supplémentaires. Ils sont principalement des esclaves affranchis ou des enfants illégitimes. Ils paient une taxe supplémentaire : la capitation. Un métèque peut devenir citoyen, mais c'est très rare. Il

des jeunes filles appelées « Ourses » sont en outre choisies parmi les familles nobles de la cité pour servir Artémis, la divinité protectrice du monde sauvage, dans le sanctuaire de Brauron en Attique. B. Les métèques • Les étrangers résidants dans la cité sont appelés métèques: ils sont de condition libre et bénéficient à Athènes d’un statut favorable. Ils peuvent ainsi se défendre en justice ou intenter un procès, à condition d’être représentés par un citoyen. • Ils sont également associés

permanence des citoyens d’Athènes. Cela deviendra le rôle de la famille. 2) La situation de l’étranger Les habitants du monde grec connaissaient deux types d’étranger : le barbare qui ne parle pas grec, qui nait pas né dans une cité grecque et le métèque qui ne parle pas grec mais qui est né dans une cité. a) Le barbare Le barbare est celui dont on ne comprend pas la langue. Le nom même de barbare : «barbaros» est une onomatopée signifiant que lorsqu’il parle, nous ne comprenons que des «bruits»

citoyenneté à la seule condition d'avoir un père citoyen et une mère fille de citoyen. Les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures, ainsi que les métèques (étrangers) furent exclus de la communauté politique, comme dans la plupart des cités grecques. Cependant, si un métèque non barbare (c’est-à-dire grec) accomplissait de hauts faits pour la cité, il pouvait recevoir à titre exceptionnel et en remerciement de ses actions la citoyenneté athénienne, moyennant

et enfants(100 000), les métèques (40 000) et les esclaves (120 000) ne peuvent devenir citoyens, on les dit ‘’exclus’’ de la democratie. La femme ne peu donc pas participer a la vie de la cité, Elle se doit de s’occuper de leur foyer et de diriger les esclaves. Elle ne beneficie pas d’éducation politique et intellectuelle.Celle ci reste mineur et sous le contrôle de leur père puis de leur mari toute leur vie. La femme est donc rabaisser a l’homme. Les métèques ou étrangers de la cité font

En effet, seuls quelques milliers d’entre eux se rendent aux assemblées du peuple où les petits paysans sont moins représentés que les artisans urbains ou les milieux fortunés. A Athènes, les droits civiques ne concernent ni les femmes, ni les métèques (hommes libres résidant dans la cité mais étrangers à celle-ci), encore moins les esclaves . Le principe de l’égalité n’est donc que théorique. Les assemblées sont dominées par de brillants orateurs qui sont la plupart du temps des citoyens qui ont