Minorité

dans un état de torpeur spirituelle, la minorité, durant toute sa vie, même après q’il soit en âge de partir suivre sa propre route. Dans une première partie (lignes 1 à 5), nous verrons que l’Homme se maintient dans la minorité par sa propre faute, puis, dans une seconde partie (lignes 6 à 18), nous verrons quelles sont les causes de cet acharnement à ne pas penser par soi-même. Enfin, dans une troisième partie (lignes 19 à 22), nous verrons que cette minorité est même devenue un état naturel pour

politiques de Copenhague. Ceux-ci, formulés en 1993 par le Conseil européen, définissent qu’un pays candidat doit être doté d’ « institutions stables garantissant la démocratie, la primauté du droit, les droits de l’homme, ainsi que le respect des minorités et leur protection ». L’Ukraine, quand à elle, n’a pas encore ce statut. Le pays indépendant depuis la chute de l’URSS en 1991 tente d’accorder ses institutions et sa constitution à ses engagements pris lors de son entrée dans le Conseil de l’Europe

Les lumières, c’est pour l’homme sortir d’une minorité qui n’est imputable qu’à lui. La minorité, c’est l’incapacité de se servir de son entendement sans la tutelle d’un autre. C’est à lui seul qu’est imputable cette minorité dès lors qu’elle ne procède pas du manque d’entendement, mais du manque de résolution et de courage nécessaires pour se servir de son entendement sans la tutelle d’autrui. Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement : telle est donc la devise des Lumières

son appartenance ethnique, sexe, capacités physiques, religion on encore orientation sexuelle. Ces différentes formes de discrimination peuvent être regroupées en 2 catégories : Une discrimination économique : les personnes faisant partie d’une minorité non productive ( ex : les personnes handicapées ou les personnes âgées) ne bénéficient d’aucun (ou très peu de) moyen pour vivre dignement. Une discrimination sociale : une manière unique de vivre est imposée, correspondant à la pensée unique, à

En 1949, le Conseil de l’Europe tente de statuer sur la défense des minorités nationales. L’Assemblée parlementaire propose en 1961 d’ajouter dans un protocole additionnel de la Convention européenne des Droits de l’Homme un article assurant la protection des minorités nationales. En 1993, le Conseil de l’Europe à Vienne aboutit à un consensus visant à mettre sur pied une convention qui garantirait la protection des minorités nationales. Le 1er février 1995, la plupart des Etats membres du Conseil

l’aspect identitaire. Dans l’ensemble du Canada, la communauté francophone représente une minorité et le gouvernement fédéral ne nous reconnait pas de statut particulier. Le gouvernement canadien n’a pas vraiment d’intérêt à développer la culture québécoise, car il ne s’identifie à celle-ci. Notre langue française est le fondement de notre identité et nous devons la préserver car pour le Canada, nous sommes une minorité parmi tant d’autres. Notre souveraineté serait un projet commun et favoriserait la solidarité

vert Une minorité parvient à influencer une majorité a deux conditions qui sont nécessaires et suffisantes qu’il a appelé : la consistance (persévérer dans un point de vue, ne veut pas déroger à la règle) et la flexibilité (souple dans leur comportement et non pas beaucoup de rigidité). Le style est ouvert mais sur le fond ils savent ce qu’ils veulent. L’influence normative est le fait d’accéder des récompenses ou éviter des sanctions. Moscovici demande donc de demander à une minorité de répondre

tyrannie de la majorité » selon Tocqueville signifie que les droits de certaines minorités, puis de tous, risquent d’être floués au nom d’une majorité puisqu’en démocratie, la majorité l’emporte. De plus, dans ce cas, une partie du peuple obtient le pouvoir et même la toute-puissance parce qu’il fait partie de la majorité. Et ces individus détenteurs de la toute-puissance peuvent alors s’en servir contre les citoyens de la minorité. C’est pour cela que Tocqueville utilise l’expression « tyrannie de la majorité

D'après son opposition a réussi à promouvoir dans les deux camps l'idée selon laquelle il s'agirait seulement d'offrir des possibilités de travail, d'études etc. à des minorités qui ne répondent pas aux qualifications nécessaires. Cependant l'auteure rappelle qu'il s'agit d'offrir des chances à des personnes issues de minorités dans des domaines que la majorité serait tentée de garder pour elle. Elle soutient qu'il faut assurer la diversité des domaines pour que les stigmatisations changent et que

des minorités. Celles-ci sont exclues de l’exercice d’un certain nombre de droits qui leurs sont en théorie reconnus. Ces minorités peuvent être nationales, ethniques, sexuelles ou religieuses. Le terme de minorité peut créer une difficulté car il laisse entendre que celle-ci sont effectivement minoritaires (caractérisation quantitative). Mais cela n’est pas nécessairement une minorité quantitative (ex : les femmes). Cela n’empêche pas que ces groupes soient considérés comme des minorités. Ce