Misère

« mets délicieux, nutritif et sain». Cette proposition s’appuie sur un constat féroce de la misère du pays, dans une langue qui parodie le discours politique pour mieux souligner l’ironie de son argumentaire. Modeste proposition… s’ouvre sur un constat, celui de la misère humaine que l’on peut voir sur des routes peuplées de misérables mendiants aux corps décharnés. La figure allégorique de cette misère est une femme, suivie de ses nombreux enfants : "mendiantes, suivies de trois, quatre ou six

mauvaises nouvelles. D’autre part, dans «le coiffeur a tué sa femme » la misère du quincailler Chaktour lui avait été vouée « avant qu’il naquît » , sa richesse est tellement petite qu’il pouvait « la toucher avec ses mains » .Cette misère et pauvreté sera héréditaire de père en fils puisque même le fils de Chaktour en sera victime, tous comme les futurs enfants de ce dernier. : « L’enfant grandira et avec lui croîtra sa misère » Chaque personnage a donc une destinée quil ne peut lui échapper, suivant

sa personnalite dont je voudrais vous parler aujourdhui, pour qu’entant que jeunes, nous suivions le bel exemple de Saint Dominique dans notre cheminement vers le Christ. Saint Dominique : un homme de compassion. 1. Dominique touchee par la misere en Palencia. La direction de la vie du jeune Dominique fut fuxee par ses parents, ceux-ci choisirent pour lui la carriere ecclesiastique. Dominique ne montra aucun signe de revolte contre la vie choisie pour lui. Il etudia la Bible avec amour et

I une peinture sociale 1.La description réaliste de la misère Dès le début du texte, le vent et le froid , «givre» et «vent»,s'installent pour donner l'impression d'acharnement de la part des éléments, comme si le malheur du mendiant n'était opas seulement dû aux hommes mais a tout ce qu'il entoure. De plus, le son v présent dans givre et dans vent va revenir de facon constante comme le ferai le vvv du vent violent et glacé : vitre, devant, ouvris, civile. Plus tard il sera décrit comme grelotant

c. une misère et une proximité favorisant maladies,mauvaises conduites La vie hors de l'usine est compliquée, les logements sont malsains, beaucoup d'ouvriers vivent dans des caves et des greniers aménagés sommairement qui sont souvent source de maladies comme le choléra ou la tuberculose. Ces ouvriers vivent dans des conditions déplorable: ils peuplent les rues étroites de la ville, entassés par familles de cinq à six personnes(Père, mère, vieillards, enfants, adultes, s’y entassent) dans une

SDF «CRITIQUE DU PRÊT A PENSER » AUTEUR : PATRICK GABORIAU ET DANIEL TERROLLE PREAMBULE « La situation des personnes qui vivent à la rue, dans la misère, est un témoignage parmi d’autres de la violence de l’état dans notre société. « Clochard », « vagabonds », « exclus » ou « sdf », quel que soit le nom que la mode du jour leur donne, ces personnes sont l’objet d’une maltraitance sociale qui se révèle dans les conditions mêmes de leur vie quotidienne. Le visage sans âge, le corps prématurément

mine de Anzin. Celle-ci dénonce la misère ouvrière au 19eme siècle en France, et qui nous relate une grève d'ouvriers ayant pour but d'augmenter la condition de vie des mineurs. Contexte politique Au 19eme, les bourgeois et l’empereur ne se soucient guère de la condition des mineurs. C’est au cours du même siècle que l’internationale apparaît, celle-ci est destinée à s’unir contre les actionnaires et dirigents des mines qui se font de l'argent sur la misère des mineurs . Le 19eme est aussi le

opulent, du bourgeois. La lecture des extraits de Germinal d’Émile Zola et de Bel-Ami de Guy de Maupassant (romans naturalistes tous deux parus en 1885) permet d’affiner la comparaison et de mesurer le niveau de vie très faste des bourgeois et la misère des ouvriers (docs 2 et 3). Enfin, les documents 4 et 5, l’interview d’un grand industriel du temps, Henri Schneider, en 1897 et un article du syndicaliste Émile Pouget paru dans le journal satirique Le Père Peinard, nous offrent la possibilité d’analyser

lecteurs ? Ceci est expliqué en plusieurs partie: la première abordera, la description pathétique des ouvriers lillois faite par le poète puis une seconde partie abordera, La souffrance du poète mais aussi la dénonciation des responsables de cette misère ouvrière. PLAN : I/Montrer que le poète fait une description pathétique des ouvriers lillois Le poète -->Description pathétique des lillois Victor Hugo, met en place dans ce poème, un registre pathétique. Celui-ci, cherche à provoquer

confronté à chaque retour de ses soirées dans le monde parisien, à la médiocrité, à la misère, à la souffrance. Ce lieu sordide ne peut que le renforcer dans ses désirs de réussite mondaine. Elle est aussi le lieu où trois intrigues se nouent, se dénouent : l'affaire Taillefer, l'arrestation de Vautrin, la mort du père Goriot, qui complètent l'apprentissage social du jeune étudiant . Le champ lexical de la misère : besoin, indigence, dénuement, pauvreté, misérable, privation, déficit, faim, soif