Misère

Mme Loisel : - insatisfaite (elle veut toujours plus), fière (n’ose pas avouer), vaniteuse (cache la vérité), courageuse (travaille dur pour rembourser), superficielle, envieuse (autres femmes du bal + Mme Forestier), veut plaire, souffre de la misère de sa vie et rêve de s’en échapper, naissance dans une famille d’employés («erreur de destin »). Traits de Mr Loisel : - pas de détails physiques, sur son passé, sur son origine social, médiocre, sans ambition (son niveau social

Oral de français chapitre 10 de l'assommoir I.La situation de désespoir de Gervaise et de Coupeau est mise en valeur. A. Souffrance qui inspire la pitiez -Champs lexical du froid : « hivers, pluie, froid » Permet d'insister sur la situation de misere de Gervaise et de Coupeau. -Concession péjorative : « S'ils mangeaient du pain au beau temps, les fringales arrivaient avec la pluie et le froid » Leurs situation est miséreuse l'été mais l'hiver et encore pire. Le froid et la faim s'accumulent pour

qui le trompe avec son propre neveu Négrel.Il connaît une autre forme de misère que celle des mineurs, la mineurs morale. LEON GREGOIRE : Il est âgé de 60 ans, et il est entièrement actionnaire de la compagnie de Montsou.La grève ne l’inquiète pas et il refuse à admettre que la situation est grave.Pour se donner bonne conscience il fait quelques aumônes. ETUDES THEMATIQUES LES THEMES PRINCIPAUX LA GREVE : La misère des ouvriers , les mauvaises conditions de vie et de travail, la baisse

Comment se fait il que des hommes parés de richesse organisent de somptueux festins et de magnifiques réceptions dans leurs palais flamboyant alors que sous leurs yeux, des hommes, des femmes et meme des enfants sont dans la misère ? Terrifiants contrastes n'est ce pas ? La misère, lugubre vie aux allures de morts, sombre destinée pour ces pauvres gens dont le seul péché fut d'etre né dans une famille pauvre. Le cas que je vous cite est loin d'etre isolé, ce sombre spectacle est visible dans bien des

partie cinq est l’idéologie de l’énergie retrouvée. Les émotions associées à cet extrait varient entre la sympathie et l’intrigue concernant le personnage du mendiant. On aperçoit une progression naturelle des thèmes de l’extrait qui débute avec la misère humaine et évolue vers un espoir retrouvé. D’autre part, la description du mendiant joue un rôle important afin d’évoquer les émotions et les valeurs morale et sociale ressentirent par Hugo. Cela peut être en lien avec les expériences de vie

l’expression d’une langue propre aux mineurs. Il a d’ailleurs déclaré (dans le matin 07 mars 1885) : si j’avais écrit le roman dans le patois du nord, je doute que personne ait jamais consenti à me lire. » THEMES PRINCIPAUX : LA GREVE : La misère des ouvriers , les mauvaises conditions de vie et de travail, la baisse des salaires sera les causes principales de déclenchement de la grève. Les mineurs espéraient avoir gain de causes en optant pour une grève pacifique avec refus de redescendre

souffrances et de manques, où la femme laisse peu à peu place à l’animalité à laquelle la réduit la misère. Ainsi, Zola dénonce les conditions difficiles de la classe ouvrière de la Révolution industrielle. Mais parvient-il à dénoncer sans caricaturer ? C’est ce que nous verrons dans un premier temps en nous intéressant au fait que l’excipit de L’Assommoir est bien une dénonciation de cette misère, pour dans un deuxième temps, voir qu’il s’agit aussi d’une caricature de cette classe sociale.

vraie pauvreté, à la vraie misère à la fin de la nouvelle. D’une part, Mathilde ne se contente pas de ce qu’elle dispose et cela suscite de fortes émotions chez elle. Cette femme désespère en pensant à la richesse, voulant détenir des biens matériels et vivre à la façon d’une personne riche. Elle «souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. » (L.12-13) et elle «souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l’usure des sièges

celle qui attirera le regard des hommes fortuné. D’autre part, on peut aussi constater la triste réalité des femmes de l’époque. Il est en effet possible de relever a travers le texte, la présence d’un champ lexical de la tristesse («malheureuse», «misère», «torturaient», «indignaient», «regret», «chagrin», «désespoir», «détresse») qui traduit de façon évidente la peine de Mathilde. L’accumulation de la souffrance de madame Loisel («chagrin», «désespoir», «regret», «détresse») renforce et permet de

mine encore remplie de nouveaux gisements de pensées, chaque personnage affine sa personnalité et tente de faire passer ses idées comme le meilleur filon à suivre. Ainsi, cet écrit regroupe une telle masse d’humanité attendrissante et bestiale et de misère désolante au milieu d’un décor admirable. Pauvreté et souffrance sont aussi au mot d’ordre dans ce livre, à tel point qu’elles vous glacent le sang tout comme l’obscurité qui trempe ces mineurs jusqu’aux os. Cela pourrait bien éveiller en vous une