Mixité

la relégation, la périurbanisation et la gentrification monopolisent dès lors l’attention de la classe politique. Peut-on laisser en état un lieu ou se concentre nombres de problèmes sociaux, où l’attractivité s’est transformé en défiance, où la mixité sociale n’est qu’un concept ? Tels sont les enjeux de la politique de la ville, refaire de cet endroit, un espace de convivialité : l’incarnation du lien social. « Ensemble, refaire la ville », titre du rapport Dubedout, est donc  véritablement un

quartiers. b) La réduction des inégalités socio-spatiales Les collectivités locales font beaucoup d’efforts pour aménager les villes. L’Etat aide aussi les collectivités locales dans leurs efforts de rénovation urbaine dans un objectif de mixité sociale et le développement durable des quartiers classés en zone sensible. L’amélioration du cadre bâti ne répond pas aux difficultés sociales et en particulier au déficit de formation et d’activités. De plus, il est souvent nécessaire de repenser

risquent de croiser. Pour ces garçons c'est devenue normal de prendre le pouvoir dans la cité, c'est devenu une norme sociale qui est ancré dans les quartiers populaires car ils sont entre eux ne se mélange pas avec d'autre personnes, il n'y a pas de mixité sociale alors pour ces garçons c'est tout à fait normal de vouloir tout contrôler. Les rapports garçons / filles dans les quartiers populaires Introduction I Les filles dans les quartiers populaires II Les garçons dans les quartiers populaires

sein d’un EPCI participent à la définition d’un programme local de l’habitat qui fixe, pour six ans au moins, les objectifs et les principes d’une politique destinée à répondre aux besoins en logements et à favoriser le renouvellement urbain et la mixité sociale à l’intérieur d’une commune mais aussi entre les communes de l’EPCI. Depuis la loi du 13 août 2004, la commune a aussi des compétences en matière de logements sociaux et étudiants ; • la santé : depuis la loi du 13 août 2004, les communes

politiques urbaines menées dès les années 1970. Cet ouvrage est divisé en trois grandes parties : « la question urbaine, ou l’apparition d’une logique de séparation dans ville »,  « la politique de la ville, un traitement des lieux au nom de la mixité sociale par l‘action à distance» et « une politique pour la ville, qui facilite la mobilité, élève la capacité de pouvoir des habitants et unifie la ville ». L’avant-propos rappelle le contexte des émeutes des banlieues en 2005 une introduction présente

et dans plusieurs autres grandes villes, la rénovation urbaine. Il faut souligner que cette piste de solution pourrait amener des changements importants dans les aspects sociaux démographiques qui consisteraient en l’amélioration des besoins, de la mixité sociale et de l’accessibilité aux logements pour la classe moyenne. (Note de cours, séance 5). Dans cette analyse, il a été démontré qu’une forme nouvelle de gentrification agit comme processus déterminant des sociétés urbaines et de la démographie

publics. Ainsi, à chaque établissement correspond un secteur géographique défini précisément : tout élève doit être scolarisé dans l'école primaire ou le collège du secteur ou sa famille est domiciliée. Depuis sa création en 1963 pour favorisé la mixité sociale la carte scolaire est modifiée d'année en année par les autorités académiques en fonctions de critère notamment géographiques. Cette sectorisation permet à l'éducation nationale de planifier les ouvertures et les fermetures de classe en fonction

fractures sociales et spatiales ». L’analyse des « politiques de la ville » peut, elle aussi, s’appuyer sur des exemples de projets urbains qui peuvent se situer au niveau d’une intercommunalité : réhabilitation ou rénovation, développement de la mixité sociale, générationnelle et fonctionnelle, revitalisation économique, amélioration des transports ... • Cette entrée se prête à l’élaboration de schémas représentant la différenciation des espaces de la ville et les aménagements urbains pour réduire

de mesures et de réformes de l'éducation nationale. 1) La carte scolaire En 1963, le ministre de l'éducation Christian Fouchet instaure la carte scolaire, pour gérer les flux d'élèves et les moyens d'éducation. Il souhaite ainsi promouvoir la mixité sociale en obligeant les parents à inscrire leurs enfants dans un établissement en fonction de leur lieu d'habitation. Mais le système est rapidement perverti : ceux qui le peuvent contournent la carte par des dérogations, adresses fictives, relations

fractures sociales et spatiales ». L’analyse des « politiques de la ville » peut, elle aussi, s’appuyer sur des exemples de projets urbains qui peuvent se situer au niveau d’une intercommunalité : réhabilitation ou rénovation, développement de la mixité sociale, générationnelle et fonctionnelle, revitalisation économique, amélioration des transports … Cette entrée se prête à l’élaboration de schémas représentant la différenciation des espaces de la ville et les aménagements urbains pour réduire les