Monachisme

transformation d'un négatif photographique en positif. Les utopistes créent leur vision à la façon de frère Jean des Entommeures chez Rabelais, qui détermine les règles de son abbaye idéale de Thélème en retournant tout simplement les règles existantes du monachisme catholique. C'est cette tendance vers l'absolu qui imprime au mouvement ouvrier socialiste son caractère eschatologique et religieux. Toutefois, ceci ne s'applique pas avec la même intensité à toutes les phases du mouvement. Si l'on examine l'histoire

divergence d’opinion complète au sujet du dernier but pratique. Selon la vieille doctrine (Hinayana), le salut personnel est le but unique p.326 de toute connaissance et de tout exercice, et la seule voie qui conduit à la sainteté (arhattva) est le monachisme. Dans le Mahayana, le but n’est pas de devenir Arhat ou Bouddha, mais Bodhisattva, pour travailler au salut de l’humanité tout entière (type : Kouan-yin). Ces deux écoles avaient déjà poursuivi leurs buts différents dans l’Inde bien avant l’intro­duction

Et alors il n'y a entre les hommes que guerre et inimitié. Une coopération paisible des membres de la 170 171 Cf. Cabet, Voyage en Icarie, p. 127. Luther demandait aux princes qui avaient pris son parti, de ne pas tolérer plus longtemps le monachisme et la messe. Il serait, disait-il, tout à fait opportun de répondre à cette demande en disant que l'empereur Charles, persuadé que la doctrine papiste est vraie, est fondé, étant donné cette conviction, à anéantir l'hérésie qu'est pour lui la doctrine

frappée à l’approche de l’année 1000 ; il est responsable des aliénations psychiques religieuses connues sous les noms de convulsionarisme, de flagellantisme, de pèlerinages saint Michel, de la danse des morts, de la danse Saint-Guy, et surtout du monachisme. Comment, la Saint-Barthélemy ne serait pas une épidémie d’aliénations mentales religieuses, tandis que le flagellantisme en serait une ? »607L’équivalence entre religion et folie est aussi au coeur du livre d’Alfred Maury 604 Correspondance

cloîtrés, qui braillent ou qui nasillent du latin, pourraient donner à l’État chacun deux sujets: cela fait cent soixante mille2 hommes qu’ils font périr dans leur germe. Au bout de cent ans, la perte est immense. Cela est démontré3. « Pourquoi donc le monachisme a-t-il prévalu? Parce que le gouvernement fut presque partout détestable et absurde depuis Il faudrait cent quatre-vingt mille. C’est une erreur. Le nombre des hommes dépend essentiellement de la quantité des subsistances; dans un grand État comme