Multiculturalisme En Europe

mosaïque ? * Comment définir une identité européenne ? Etude de cas : La Suisse, l’Europe en modèle réduit : 7,5 millions d’hab. – 41 000 km2 (=> petit état) – taille d’une région française – au cœur de l’Europe – représentative du continent (Europe) – densément peuplé comme l’Europe (182 hab./km2) – 2 villes importantes : Zurich et Genève – Suisse = carrefour de peuples : 4 langues officielles (français, allemand, italien, romanche) – 2 principales religions (christianisme et protestantisme)

démographique certaine, grâce à sa population jeune bienvenue dans une Europe vieillissante : 30% des Turcs ont moins de 15 ans. De plus, la Turquie est située dans un certain endroit du monde, entre les ressources pétrolières du Moyen-Orient et celles du Caucase. Les conditions géographiques font que la Turquie est l'endroit central de circulation des pipelines de gaz ou de pétrole, qui amènerait le gaz ou le pétrole en Europe sans passer par la Russie. Or monsieur Poutine a décidé de faire du

autres cultures et coutumes. Il ya un besoin croissant de dialogue menant à la connaissance, la compréhension et l'acceptation des différences chez les autres. Pour comprendre le problème, il faut d'abord comprendre les bases de ce qu'est le multiculturalisme et l'identité culturelle. La première est une situation dans laquelle les groupes représentant les différentes traditions culturelles coexistent dans un espace social spécifique (le pluralisme culturel). Déjà dans le passé, ces traditions

de masse à l'Université d'Amsterdam. Ce docteur hollandais de 64 ans se penche sur des recherches portant sur la communication politique, de la politique de communication (dans une politique comparative), la représentation dans les médias du multiculturalisme...bref, mais ici il ne s'agit pas de lui mais de son texte De l’art de rendre la politique populaire... Ou « qui a peur de l’infotainment ? » paru dans Hermès Sciences Publications en 2003 où il traite une question, qui intrigue beaucoup d'auteurs

nous semble très contestable, car elle mésestime la persistance du religieux, dont certains rationalistes prédisaient la disparition, et la puissance de groupes de pression comme d’églises émergentes. Voir notamment aux Etats-Unis d’Amérique, ou en Europe centrale. Quant à la France, nous pouvons faire confiance à son président pour remettre au premier plan ses racines chrétiennes. L’ensemble du livre s’adresse au lecteur dans un dialogue familier en exposant neuf « thèses » : D’abord, « Religion

forme de mouvement qui s’exprime par le changement de position, ces mobilités s’expriment le long d’axe de communication constituant ainsi des flux de mobilités en Europe. L’Europe est un continent, maintenant représenté par l’union Européenne qui est un projet d’union économique et politique entre les pays du continent. Cette Europe est aujourd’hui une terre de mobilités. Comment et par quels facteurs l’Europe peut-elle être qualifié comme d’une terre de mobilité et quels sont les limites de ces

pays d’origine, à savoir le Liban. Le fait qu’il ait vécu hors de l’occident durant la première partie de son existence mais surtout son appartenance à la langue arabe ainsi qu’à la culture chrétienne font de sa personne un parfait exemple de multiculturalisme. Pour lui, cet aspect de sa personnalité se définit comme suit : « En considérant séparément ces deux éléments de mon identité, je me sens proche, soit par la langue, soit par la religion, d’une bonne moitié de l’humanité ; en prenant ces deux

une nation mais puisqu’ils ont la terre il leur fallait une langue quotidienne spécifique et c’est l’hébreu En 1879, il y avait l’importance des mouvements nationaliste en Europe centrale et orientale. Dans cette région, la nation était définie par la terre mais surtout par la langue Un autre phénomène est générale en Europe mais obtient une dimension particulière en méditerranée, c’est l’importance des langues régionales qui ont su comment se rendre vitale dans un pays qui a déjà une langue officielle

d'impliquer les différents acteurs concernés (enseignants, parents d'élèves, églises, citoyens, etc.) dans un débat public qui est déjà engagé à Genève et au sein du département de l'instruction publique depuis la moitié des années 90. En Suisse et en Europe, à ce déficit de références et de culture religieuse des jeunes (touchant des questions concrètes comme le calendrier, les fêtes, l'architecture, etc.), différentes réponses ont été apportées en fonction de critères multiples : la définition de la

Kurzt estime que la culture du continent suite a une mauvaise politique immigratoire est entrain de disparaitre et meme a pratiquement deja disparu . Voici une partie de sa pensee « En conjonction avec le déclin démographique européen et le multiculturalisme soutenu par un sentiment de culpabilité,(...), l’immigration non maîtrisée a créé une immense population – toujours croissante – de Musulmans non assimilés, hostiles à leur propre pays et déterminés à transformer l’Europe, jusqu’à la rendre méconnaissable