Noblesse

(cardinaux, évêque et abbés) => Bas clergé (curés, moines) La noblesse (1%) => haute noblesse => moyenne et petite noblesse Le tiers état (98%), composé des paysans et des bourgeois (commerçant) Le haut clergé s'enrichit grâce à la dime et aux revenus fonciers. Le bas clergé est contre la richesse des évêques. La haute noblesse méprise la petite noblesse. Les élites nobles et bourgeois fréquentent les mêmes lieux de sociabilité. (ex :

lois fondamentales, un corpus de lois qui encadre le pouvoir royal (règle salique, Catholicisme...)  2/39  Les privilèges (étymologie : loi particulière/privée) de naissance, d'état (avocats), lieu de vie... (exemples : le clergé, la noblesse, le paysan Breton, le villageois...) Mais jusqu'où le roi doit-il respecter les privilèges? (exemple : en 1695, les nobles et le famille royale paient la capitation) Pour C. Le Bret : « Un roi peut changer une loi éditée par ses prédécesseurs et

problèmes de censures et de désaccords du à la portée très sociale du Mariage de Figaro, réussit enfin à faire une première représentation de sa pièce sans censures, lui permettant de dire, par l'intermédiaire de Figaro, tout ce qu'il reproche à la noblesse. Dans cette comédie tout, va très vite : Figaro doit épouser Suzanne, avant que le Comte Almaviva n'exerce son droit de seigneur, et se soustraire au désir qu'a Marceline de l'épouser. Dès l'acte I, Figaro fixe une stratégie et l'infidélité du Comte

d’ordre, c'est à dire qu'elle est composé de trois Ordres, le Clergé, la noblesse et le Tiers État. Le clergé est l’ordre le plus privilégié : on distingue le haut clergé (évêques et abbés) issus de la noblesse du bas clergé (curés de campagne) qui vit très modestement. Puis, La noblesse est le deuxième ordre. Il y a une noblesse très riche qui vit à la cours du Roi et possède de vastes domaines et il y a la petite noblesse provinciales modestes peuplé de noble comme Mirabeau qui s'allieront au Tiers

clergé - évêques, chanoines ou abbés qui sont à peu près tous issus de la noblesse. Le bas clergé est composé des curés et vicaires et pour finir il y a le clergé régulier. Ensuite nous avons la noblesse qui combat et qui n’est pas toujours riche contrairement a ce que l’on peut penser. Dans cette noblesse il y avait les familles anoblies par un acte formel du roi, et ceux qui ont été anoblis par charge et fonction. La noblesse conservait de vieux droits féodaux comme les droits de justice, de chasse

la littérature et des idées. * La découverte de l'Amérique par Christophe Colomb, amène d'extraordinaires richesses en Europe et en particulier en France, ce qui entraine un enrichissement général mais très profitable surtout à l'Eglise, à la noblesse et à la bourgeoisie (et par eux à la royauté). Les riches peuvent encore plus qu'auparavant consacrer une partie de leur fortune au luxe, à l'art et au mécénat. L'argent circulant plus facilement, l'ère du capitalisme commence. Voir la page des explorateurs

IL'Ancien Régime : absolutisme et privilèges ALes nouveaux modèles politiques En France, l'Ancien Régime est basé sur l'absolutisme et les privilèges, les libertés du peuple n'existent pas : La société française est divisée en trois ordres : la Noblesse, le Clergé et le Tiers-Etat. Sous Louis XIV, l'absolutisme est à son apogée. Le roi a tous les pouvoirs et se revendique de droit divin : il est le représentant de Dieu sur Terre. Les sujets n'ont pas de libertés, ils obéissent humblement au roi

et de la liberté de ses sujets. Pour sa cour, il dépense énormément d'argent en cadeaux, pensions (une sorte de "salaire" donné aux nobles qui ne travaillent pas !) et fêtes grandioses. La société française est divisée en trois ordres. La noblesse et le clergé (520 000 personnes) sont des ordres privilégiés qui ne paient pas d'impôts. Autour du roi, ils vivent luxueusement et occupent les plus hautes fonctions. En province, les nobles sont moins riches et vivent de leurs droits féodaux

un banc) », « (Il se lève) », « (Il se rassied) ». Les didascalies sont peu nombreuses est nous laisse libre quand à l’interprétation plus profonde du personnage de Figaro. b. Figaro : un valet atypique Figaro ne fait pas parti de la noblesse, « perdu dans la foule obscure », « fils de je ne sais pas qui », et il est orphelin « volé par des bandits », « pour subsister seulement », ici l’adverbe « seulement » renforce son état de pauvreté. C’est un valet qui se mari à une domestique

de la paysannerie à la noblesse. Nous verrons dans un premier temps comment l’œuvre représente les classes dominantes telles que la noblesse et la bourgeoisie, et dans un second temps les classes dominées dans la société du XVIIe siècle : les serviteurs, les paysans et les pauvres. Tout d’abord, la comédie Dom Juan présente beaucoup de nobles-types du XVIIe siècle, comme Dom Carlos, Dom Alphonse, Dom Louis et bien sûr Dom Juan. Ce dernier incarne parfaitement la noblesse décadente (qui va vers