Oiseau de mer

sur le sol au milieu des huées,
 Ses ailes de géant l empêchent de marcher. I.Parallèle A L OISEAU a.image mélioration ces rois de l'azur …, ailé, péjorative (maladroits et honteux, piteusement, comique et laid, boitant II. Contraste aire et Terre a. le navire = la mer vocabulaire // navire ( equipage, mer, navire … ) b.aire = oiseau vocabulaire // oiseau ( voyageur ailé , volait, ailes … ) III. Le poète ce met dans le texte a. description du poete

Et nous serons comme des tombes sous la grâce des jardins Antithèse : le thème de la fatalité est traité de façon différente. Argument 2 : par contre, la fatalité n’atteint pas la même personne. Sous-argument 2.1 : parle de lui C’est un oiseau tenu captif La mort dans ma cage d’os Sous-argument 2.2 : parle de quelqu’un d’autre Je sais je sais ne le répétez pas Vous avez perdu ce dur front de clarté Vous avez oublié ces frais cheveux du matin Et parce que chaque jour ne chante

de la condition du poète ? I. Une anecdote vécue a) Le contexte du voyage en mer Champ lexical des avirons englobe l’environnement maritime, la configuration du navire, les marins et les animaux. Situation de vie en mer vécue par Baudelaire par désœuvrement que les marins capturent des albatros pour s’en amuser. * Albatros animal mal aimé des marins car il s’attaque aux hommes tomber à la mer. b) Le déroulement narratif Schéma narratif correspondant au découpage des strophes :

les persécutions que les marins infligent à cet oiseau pour en faire le symbole de la condition du poète.   LECTURE   Reprise de la problématique : Je me propose de voir en quoi à travers ce récit pathétique Baudelaire rend compte de la condition du poète et de ses missions.   Annonce de la demarche.   I- Le recit d’une scene pathetique.   A-    Le cadre   Deux cadres :     -          Harmonie, paisibilité : paysage d’horizons et de mer. ·         Isotopie du lexique du voyage (« équipage »

restait un petit oiseau qui avait une aile cassée  et ne pouvait pas voler. Il cherchait partout pour voir s’il trouvait un endroit pour se tenir au chaud.   - Peut-être que les arbres de la forêt m’abriteront ? pensa-t-il.   Il sautilla donc vers la forêt. Il s’adressa d’abord au bouleau :   -Joli bouleau, dit le petit oiseau, voulez-vous me laisser vivre dans vos branches jusqu’à la bonne saison ?   - Ah ! Non ! dit le bouleau, je n’ai pas besoin de toi. Va-t-en.   Le petit oiseau voleta alors

veut dire quelque chose étrâne est plus étrange qu’étrange Dit l’âne Étrange est Dit l’ange en tapant des pieds Étranger vous-même Dit l’âne Et il s’envole. » Le chat et l’oiseau Un village écoute désolé Le chant d'un oiseau blessé C'est le seul oiseau du village Et c'est le seul chat du village Qui l'a à moitié dévoré Et l'oiseau cesse de chanter Le chat cesse de ronronner Et de se lécher le museau Et le village fait à l'oiseau De merveilleuses funérailles Et le chat qui est

Analyse du titre • L’albatros:  – Apparemment ce poème parlera de cet oiseau  qu’est l’albatros  IV. Nature et thème principal • L’albatros: un oiseau aux grandes ailes qui ne  sait voler ‐> la mer, le voyage • La moquerie des êtres humains face à un  animal inadapté.  • L’élévation: l’espace aérien ≠ la terre, la  grandeur de cet oiseau, sa majesté. Analyse détaillée • Lexical:  ‐ champ lexical de la mer (équipages v.1, mers,  navire v.4, planches, tempête v.14, etc.) ‐ registre de langue: courant

récit en posant le cadre avec un champ lexical maritime : le cadre semble à la fois calme, avec le participe présent : «  glissant », infini avec l’adjectif «  vaste » qui pourrait s’appliquer davantage à la mer (hypallage) mais aussi inquiétant par la périphrase «  gouffres amers » qui désigne la mer et ses possibles dangers. Le présent de narration «  prennent » «  suivent » conte une histoire mais aussi a une notion de répétition avec l’adverbe «  souvent », de quelque chose d’immuable, à mettre en

Allons, mon ami, suis cette route. EUELPIDE. Certes, il nous a joué un vilain tour, cet oiseleur du marché à la volaille, ce fou de Philocrate, en me disant que ces deux guides seuls, parmi les oiseaux, nous diraient où est Térée, la huppe, changé en oiseau. Il nous a vendu une obole ce geai, fils de Tharrélide, et trois oboles cette corneille qui, l'un et l'autre, ne savent rien que l’ordre. Eh bien ! qu'as-tu, maintenant, à ouvrir le bec ? Est-ce que tu vas encore nous mener de façon à tomber des rochers

toujours avec beaucoup de douceur que Verlaine nous suggère son " paysage intérieur " lié au souvenir de Rimbaud et à leurs traversées maritimes , à ses difficultés existentielles que le vol et les cris de l'oiseau marin dévoilent...Le thème du poète-oiseau est particulièrement fréquent au XIXe siècle. On trouve un Albatros chez Baudelaire, un pélican chez Musset, un condor chez Leconte de Lisle, un cygne chez Mallarmé et ici une mouette. Le souvenir de la rupture avec Rimbaud Le poème " Je ne sais