Oiseau de mer

6|Déjeuner du matin 14| |Pour faire le portrait d’un oiseau 24|Chanson des escargots qui vont à l’enterrement 22|Dans ma maison 18 |Fatras 6| |En sortant de l’école 24|Page d’écriture 22||| Raymond Queneau|Les mouches 12|La cimaise et la fraction 14|Grenouilles 8|La leçon de choses 8| |La fourmi et la cigale 10|Il faut faire signe au machiniste 4|L’arbre qui pense 10 || Henri de Régnier|La mer 12|||| Jules Renard|Le chat 8|||| Werner Renfer|Clown

"L’Amour dans les Travailleurs de la mer "L’amour dans Les Travailleurs de la mer (Groupe Hugo 17 juin 2000) 1 Claude MILLET L’amour dans Les Travailleurs de la mer L’intrigue amoureuse structure et ne structure pas le récit des Travailleurs de la mer. Elle ne la structure pas si on prend en compte l’effet produit par le titre du roman, et par sa table des matières (les titres des parties, livres, chapitres renvoient peu à l’histoire d’amour qui relie Gilliatt, Déruchette et Ebenezer). Un

qu'une lampe à pétrole » l3 « le plafond montait en voûte aigue dans l'ombre »l4 « l'ombre m'engloutissait »l15. De plus c'est un endroit renfermé «  la poitrine d'un oiseau »l4 «  on n'entend plus les cris du port »l2 La cale est un endroit qui touche l'eau et qui est constituait de plancher : donc on entend le mouvement de la mer « Sous le plancher, l'eau molle ondulait. »l11 « le plancher en latte souple ondulait mon pied »L8/9 La cale est un endroit on l'on stock les cargaisons de nourriture

un légume orange qui pousse sous terre. On dit que je rend aimable . Qui suis-je ?…………………………………………………………………………………………. � Je suis un animal imaginaire qui crache du feu. Qui suis-je ?…………………………………………………………………………………………. � Je vis au bord de la mer. J ai de grosses pinces et je ne marche pas droit. Qui suis-je ?…………………………………………………………………………………………. � Je suis entouré d un beau ruban. On m offre pour les anniversaires, les fêtes. Qui suis-je ?…………………………………………………………………………………………. Trouve le mot

Dédale mit en garde Icare, lui interdisant de s'approcher trop près de la mer, à cause de l'humidité qui alourdirait ses ailes, et du soleil, qui ferait fondre la cire. Mais ce-dernier, fasciné par le vol et soulagé d’être libre face à son calvaire, oublia l'interdit et prit trop d'altitude, faisant fondre progressivement la cire. Ses ailes finirent par le trahir et il mourut précipité dans la mer qui porte désormais son nom : la mer Icarienne. Dédale, continuant de voler vers l'ouest, s'arrêta à Cumes

E + L I R E L E T E X T E Pour se faire, on étudiera la double analogie entre le poète et l’oiseau ensuite on verra comment se traduit un univers soumit à de fortes tension et on observera ce que symbolise la chute. I- La parabole du poète oiseau * « un roi de l’azur » (v.6) : l’oiseau est considéré comme un voyageur ailé qui est tombé du ciel * Comparaison : « le poète est semblable au prince des nuées » (v.13). « prince des nuées » : métaphore hyperbolique * « « ailes

anaphore traduit une certaine ambiguïté en ce qui concerne le lieu où le moyen de transport que le poète veut se référer. Le poète est un voyageur et à travers ce poème, il fait les lecteurs voyager. La première strophe fait référence au domaine de la mer qui se révèle dans les termes « caravelle » (vers 1 et 2), « étrave » et « écume » (vers 3). Le poète fait appel aux sensations pour attirer l’attention des lecteurs. Un appel de prière est soutenu par la répétition de « Emportez-moi » (vers 1 au vers

(côtes africaines). Ce qui est plus intéressant, c'est de voir comment Baudelaire va renouveler une image presque banale, un véritable lieu commun de la poésie au 19e siècle qui prend parfois des allures de volière. Dans Les Fleurs du mal, c'est le 2e oiseau en fâcheuse posture (voir "Le Cygne"). Il convient donc de s'interroger sur ce choix et cette tradition que Baudelaire reprend à son compte, pour donner une représentation douloureuse et pathétique du poète au milieu du 19e siècle. Axes de lecture

les côté hors d'atteinte, de courage, de volonté qui sont soulignés. On voit la gaucherie de cet oiseau et les railleries qui lui sont infligés de ce fait avec la présence d'un champ lexical péjoratif. La magnificence de cet oiseau est tout de même soulignée une fois que ce dernier est dans son milieu. Cela montre l'envolée de l'oiseau tant sur le plan physique que spirituel avec l'évocation de la mer et des cieux, qui sont des horizons abstraits, larges et vastes ; la liberté. Une impression de majesté

majestueux a maladroit et honteux par leurs domination. 2) Le personnage le plus important a)L’albatros un oiseau majestueux Dans le carde maritime l’albatros est présenté en symbiose avec la mer, par le champ lexical maritime : « albatros », « oiseaux des mers », « le navire », « l’azur », « avirons », « tempête » .Mais aussi par des périphrases qui soulignent sa grandeur et sa majesté : « vaste oiseau des mers », « compagnons de voyage », « rois de l’azur », « prince des nuées ». De plus les personnifications :