Oiseau de mer

l'observateur privilégié du spectacle qu'il nous décrit. Il est dans un état d'esprit qui l'amène à se délecter du paysage qui l'environne. C'est précisément par cette attitude psychologique, qu'il livre au lecteur non pas une banale description de ce bord de mer, mais sa transfiguration vivante. Un paysage transfiguré. Un point de vue qui transforme le réel. Le poète vient de se réveiller (« sors de la sieste ») : état de transition entre le rêve et la réalité : c'est un état qui peut influencer

il écrit ces premières œuvres puis finit par devenir critique d’art et critique littéraire. Baudelaire écrira plusieurs œuvres telles que Madame Bovary (1857) ; Les fleurs du mal (1857). « L’Albatros » est tiré de ce dernier recueil et parle d’un oiseau majestueux des mers. Comment l’auteur fait-il le lien entre son poème et lui-même ? Nous étudierons dans un premier temps comment le poème construit progressivement une image du poète, puis dans un deuxième temps le rôle que joue la souffrance

de son époque. 1ère idée directrice : une narration d’une scène de vie en mer. I/ lieu et acteurs 1. Lieu : ch.lexical du bateau ch.lexical de la mer =>évocation du lieu correspond à une structure assez nette=> double plan : 3ers quatrains= oiseau(v=> avis) et le dernier le poète ou 1° quatrain :vue d’ensemble 2° quatrain :plan rapproché : albatros sur le navire 3° quatrain : confrontation oiseau/marins 4°quatrain le symbole modification d’une situation qui se marque d’abord

L’Albatros – Les Fleurs du MalL’albatros est une histoire vraie. C’est une image nouvelle et double : oiseau dans le ciel = idéal ; oiseau sur le sol = spleen. L’oiseau représente le poète et son spleen qui est mal adapté à la société. comment Baudelaire met-il en scène l’Albatros pour illustrer la condition du poète, pris entre le spleen et l’idéal ?4 quatrains = poème court. Rimes croisées. Alexandrins. = récit symbolique.1er quatrain  : « prennent » = nous plonge dans le récit, il

Thèmes 3 : Prévert et les animaux La pêche à la baleine (pages 20-22) Chanson des escargots qui vont à l’enterrement (pages 75) Les oiseaux du souci (pages 151) Chanson de l’oiseleur (pages 154) Pour faire le portrait d’un oiseau (pages 155) Thèmes 4 : Prévert et l’humour L’école des beaux-arts (pages 164) Le miroir brisé (pages 174) Conversation (pages 220) L’amiral (pages 230) Cortège (pages 234-235) 3 Biographie de Jacques Prévert : Jacques

Orphée Que ton cœur soit l'appât et le ciel la piscine ! Car, pécheur, quel poisson d'eau douce ou bien marine Egale-t-il, et par la forme et la saveur, Ce beau poisson divin qu'est Jésus, Mon Sauveur ? Le dauphin Dauphins, vous jouez dans la mer, Mais le flot est toujours amer. Parfois, ma joie éclate-t-elle ? La vie est encore cruelle. Le poulpe Jetant son encre vers les cieux, Suçant le sang de ce qu'il aime Et le trouvant délicieux, Ce monstre inhumain, c'est moi-même. La méduse

poème de la deuxième édition du recueil des Fleurs du Mal , éditée en 1861 , et fait partie de la première section de cette ouvrage , Spleen et Idéal. Ce texte a peut être été inspiré à Baudelaire lors de son voyage en mer vers l’Ile Maurice. Il évoque une scène de vie en mer au cours de laquelle un albatros, qui s’est posé sur un navire, est capturé par les marins qui en font leur souffre douleur. L’auteur propose à travers ce poème une réflexion sur le statut des poètes en mettant en scène

soleil. Malheureusement, enivré par la sensation délivrée par ce pouvoir de voler, Icare a désobéit à son père et, en voulant prendre de l’altitude, s’est rapproché du soleil provoquant la fonte de la cire. Ainsi, Icare est mort de sa chute dans la mer. L’œuvre de Pieter Brugel l’Ancien représente donc cette chute, comme l’indique son nom. Extrait : Sur ce tableau de Pieter Brugel l’Ancien, il est possible de constater que la chute d’Icare laisse indifférents les acteurs présents et de ressentir

la fatalité d’une façon similaire puisque les deux poèmes traitent du thème de la mort de manière consciente et les auteurs semblent résolus à accepter celle-ci. Dans le poème Cage d’oiseau, l’auteur emploie une métaphore en comparant la mort à un oiseau dans une cage en faisant un parallèle entre une vraie cage et sa cage d’os : « L’oiseau dans ma cage d’os/ C’est la mort qui fait son nid […] Il ne pourra s’en aller / Qu’après avoir tout mangé/ Mon cœur / La source du sang / Avec la vie dedans /

s'intitule « Le chat et l'oiseau ». Ce poème racontant l'histoire émouvante d'un chat dévorant un oiseau fait un passer une morale au lecteur. De plus le chat est dans ce poème personnifié car il est doté de la parole et de sentiments. Le second poème de Prévert s'intitule « Pour faire le portrait d'un oiseau ». Ce poème explique de manière très originale la façon de faire une belle toile comportant un oiseau. Enfin dernier poème de cette partie et dernière de l'anthologie, « En sortant de l'école ».