Oiseau

.....................................p.4 Au hasard des oiseaux.......................................................................................................p.5 Pour faire le portrait d'un oiseau..................................................................................p.6 Etre un oiseau.......................................................................................................................p.8 PREFACE La poésie est un genre littéraire, elle est souvent écrite pour

Le phénix/Phoenix Le phénix ou phœnix est un oiseau de feu légendaire, doué de longévité et caractérisé par son pouvoir de renaître de ses cendres après s'être consumé sous l'effet de sa propre chaleur ou d’un bon feu. Il symbolise ainsi les cycles de mort et de résurrection. Oiseau fabuleux, originaire d'Éthiopie et rattaché au culte du Soleil, en particulier dans l'ancienne Égypte et dans l'Antiquité classique. Le phénix était, disait-on, une sorte d'aigle, mais de taille considérable ; son

besoin de s’échapper du monde : de la terre ferme. Ces oiseaux représentés sur cette toile sont déjà présents dans certains des tableaux de Braque, peints pendant la période où il finit la série des ateliers. Dans certaines de ces toiles apparaît un oiseau qui vole dans un espace abstrait, qui sera plus tard le thème de la décoration, que Braque exécute pour le plafond de la salle Henri II, du musée du Louvre. On peut imaginer que Georges Braque, après avoir vécu pendant les deux guerres mondiales et

seule issue possible. Dans son poème, la mort est représentée par un oiseau qui est captif à l’intérieur de lui. La mort semble inévitable car il écrit que cet oiseau ne pourra s’en aller « Qu’après avoir tout mangé / Mon cœur / La source du sang / Avec la vie dedans » (v. 20-23). Par cette gradation, l’auteur nous fait comprendre que cet oiseau prisonnier à l’intérieur de lui ne le quittera pas avant de l’avoir tué. Cet oiseau le tue donc petit à petit ; il le décrit d’ailleurs comme « La mort dans

Est-ce d'avoir ce lys, bleu comme tes yeux bleus, Qui d'Iran borde le puits sombre ? Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand, Qu'un cheval au galop met, toujours en courant, Cent ans à sortir de son ombre ? Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois, Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois, Plus éclatant que les cymbales ? Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l'oiseau merveilleux ? - Ami, dit l'enfant grec, dit l'enfant aux yeux bleus, Je veux de la poudre et des balles.

dessus et vertical ‘’oiseau des mers’’V2,’’volait’’V12 à celui qui est bas et horizontal ’’déposés sur les planches’’V5,’’sol’’V15. Et enfin deux connotations : il oppose, liberté, évasion au plat, terre à terre, et à l’absence d'élévation. On peut conclure donc que la liberté de l'albatros se heurte à l'environnement clos du navire. Dans ce poème, nous ne pouvons nous empêcher de remarquer que l’albatros est personnifié. Pour l’auteur cet oiseau est plus qu’un oiseau des mers, mais un

de la douleur : rime « mer » / « amers » : mer représente horizontalité, donc hommes. Amers = mauvais, malheur, accentue le malheur des hommes. une phrase = vaste, majesté. Sujet = juste oiseau. Périphrases pour métaphore albatros V1-2 enjambement : rien n’arrête albatros Chp lex maritime lié à oiseau (métaphore filée) : à l’aise dans son environnement ; « vastes oiseaux » hypallage lié mer. Grands horizons Strophe 2 : L’albatros est coincé sur les planches, le monde des humains, et leurs

La chanson de l'oiseleur J'ai choisi de prendre ce poème car il est original car on croit que c'est un oiseau mais on aprend au vers 13 que Jacques Prévert ne parle pas en fait d'un oiseau mis bien du coeur d'un enfant.La pharase la plus importante est c'est ton coeur jolie enfant car c'es elle qui explique tout le poème. Le poème est basé sur la répétition en premier mots des 12 premiers vers du mot L'Oiseau. Dans les 4 premier vers il utilise des rime suivies il y a ensuite abscence de rimes

de ce coté etaient bien plus épaisses, mais un oiseau étrange était posé là, juste au dessus de ma tete, cet oiseau me fixait, il était bien plus grand qu'un aigle, son plumage était aussi rouge que le feu, un frisson parcourut mon corps, je me pencha d'un bon dans la direction de Damas qui était assis là, attendant gentilment que je reprenne mes forces, je pointa mon index dans la direction de cette chose: « Damas! A quelle race correspond cet oiseau? Je n'en ai jamais vu d'aussi grand! », Damas

richesse d'esprit et sans bornes. « hante la tempête » : rapport à la force, ici ce sont les côté hors d'atteinte, de courage, de volonté qui sont soulignés. On voit la gaucherie de cet oiseau et les railleries qui lui sont infligés de ce fait avec la présence d'un champ lexical péjoratif. La magnificence de cet oiseau est tout de même soulignée une fois que ce dernier est dans son milieu. Cela montre l'envolée de l'oiseau tant sur le plan physique que spirituel avec l'évocation de la mer et des cieux