Orcéine

meltems, merbaux, mercato, mézoued, mezouza, miconia, mitsvas, mitsvot, mixeuse, mojitos, monilie, mordves, mucroné, mugueta, mugueté, mullidé, mycènes, nasdaqs, nazifia, nazifie, nazifié, ndébélé, neuston, niangon, nicnacs, nyctale, obéchés, octette, orcéine, oubykhs, padding, paveuse, paxille, pêchues, pédalée, péguait, péguant, pèguent, péguiez, perlage, phasage, phlomis, pignais, pignait, pignant, pignent, pigniez, pilpoul, pipidés, pissous, poacées, podcast, postdoc, poutzai, poutzas, poutzât, poutzer

coupes d’épaisseur désirée (2 - 20 µm ). Ces coupes sont déposées sur une lame de verre. Elles sont colorées. Les colorants sont choisis en fonction de la structure à étudier: hématoxyline (acides nucléiques, protéines acides), noir soudan (lipides), orcéine (élastine)... On utilise en routine des mélanges de colorants qui mettent en évidence la plupart des constituants cellulaires: HES (hématoxyline, éosine, safran), colorant de May-Grünwald-Giemsa . Après coloration, les sections sont montées dans une

organique pour l'industrie textile au dix-neuvième siècle. Ce sont généralement des dérivés de l'aniline. Alternativement, certains colorants sont dits "naturels" parce qu'on les trouve dans la nature, dans des végétaux notamment (hématoxyline, safran, orcéine). Parmi les multiples colorants ainsi disponibles, se sont donc trouvées des substances capables de colorer les structures biologiques en général, démontrant même parfois une préférence pour les structures subcellulaires particulières comme le noyau