Otium

titulo dissimilem sui. Haec subinde Constantius audiens et quaedam referente Thalassio doctus, quem eum odisse iam conpererat lege communi, scribens ad Caesarem blandius adiumenta paulatim illi subtraxit, sollicitari se simulans ne, uti est militare otium fere tumultuosum, in eius perniciem conspiraret, solisque scholis iussit esse contentum palatinis et protectorum cum Scutariis et Gentilibus, et mandabat Domitiano, ex comite largitionum, praefecto ut cum in Syriam venerit, Gallum, quem crebro acciverat

de la recherche hispaniste en France. Définir les loisirs Le choix des termes pour désigner les loisirs, en Espagne et en France, pose déjà tout une problématique complexe, d’où naîtront les sous-entendus ou les a priori de toutes sortes. Le latin otium avait pourtant l’avantage de tout recouvrir : le loisir, le repos (en particulier, loin des affaires et de la vie politique), l’inaction et l’oisiveté, le loisir studieux, la paix, le calme et la tranquillité. Otiositas a bien existé, lui aussi, mais

a tout intérêt à trouver des vêtements et un abri avant de se poser des questions sur les raisons pour lesquelles il s’est trouvé en cette position. Une fois que le corps est à l’aise, l’homme connaît alors ce que la langue latine désignait comme “otium”, le loisir intellectuel. Mais le “on” qui “commença à rechercher une discipline de ce genre”, c’est-à-dire qui philosopha, correspond à une élite. Car les paysans et moins fortunés doivent privilégier le corps afin d’assurer leur survie, ils n’ont

et le Labor. Tout comme dans l'Antiquité ceux qui vont se battre sont ceux qui peuvent être formés et se payer une formation militaire ceux qui peuvent réfléchir sont les personnes qui peuvent s'appuyer sur d'autres personnes pour leur assurer leur otium par leur Labor. Ce sont les esclaves, les femmes et les domestiques. Hommes et femmes sont complémentaires et la femme est dépendante de l’Homme qui en est le maître de par leur nature Il en va de même pour l’esclave (dans la théorie de l’esclavage

à la modernité, qui, dans ce domaine, se contente de prolonger un des rêves les plus anciens de l’humanité. Il n’a pour but que d’en revenir à une rêverie antique. Dans l’Antiquité, le loisir, cette « heureuse oisiveté » que les Romains nomment « otium », apparaissait même comme l’un des privilèges les plus manifestes de la minorité aristocratique. Celle-ci, délivrée de la contrainte de gagner sa pitance, pouvait se dégager de l’étau de la nécessité (ce qui ne peut pas être autrement que cela n’est)

Tentons à présent de le comparer pour relever ce qui peut l’en distinguer. Nous avons vu que « les autres activités » se rapprochent du loisir et ont de fait une connotation agréable. Par définition le loisir, dont l’étymologie vient du latin « otium » signifiant oisiveté - en opposition au travail - est le temps dont nous disposons, hors travail, pour nous livrer à toutes sortes d’activités, afin de se divertir ou se détendre, sans avoir à répondre d’une productivité ; et du point de vue philosophique

Séquence 7 Civis, le citoyen au coeur de la Cité La citoyenneté (démocratie grecque et république romaine) Séquence 8 Haruspex et augur, les devins Sacerdos, le prêtre Prédictions pour des superstitieux Vie religieuse grecque et romaine Séquence 9 Otium, les loisirs Sports grecs et jeux romains d) e) Le philosophe grec Epicure ( -342/-270 ) est cité avant même le début du roman, introduisant d’emblée l’éthique suivie par Aurélius. En -306, en s’installant à Athènes et en ouvrant l’Ecole du Jardin

modèle des mathématiques * Ex. 2 x 2 = 4 nécessairement, permanence. *En lien avec le texte « Comment la science est-elle née? » * Avec Aristote, la science commence ainsi que les modalités de la pensée * Avoir des loisirs permet otium, negotium --- permet de philosopher * Développement de la pensée des grecs grâce à leur position géographique, culture de navigateurs, échanges commerciaux abondants * Science naissante --- reconnaître la multitudes d’expériences et, à l’intérieur

aux contraintes naturelles. Activité dégradante, il ne peut convenir qu'à des êtres dégradés. Il est donc le châtiment des vaincus qui ont préféré l’esclavage à la mort. Inversement, le citoyen d’Athènes ou de Rome ne travaille pas. Il pratique l’”otium” c’est-à-dire le loisir des hommes libres. Sa liberté, il l’a en effet gagné par les armes et la participation à la vie politique.- Mais on peut également considérer, comme le font les sociétés industrielles actuelles, que le travail est une activité

(non-Grecs), Un homme libre ne travaille pas, il a des occupations: guerrières, spirituelles, politiques, mais il n'effectue aucune tâche manuelle. Les Romains définissaient l'otium, le loisir, comme le temps de travail non contraint, par opposition au nec-otium, les affaires, le négoce. Le loisir en grec se dit skôlé, école, celle-ci est le loisir par excellence des hommes libres. -Aujourd'hui, le loisir à pris un autre sens. Il est le temps libéré du travail, c'est une imposture pense Marx. C'est aussi