Parti justicialiste

des pays d’Amérique du sud. • Coups d’Etats militaires 1930 – 1983 : Suite à la crise économique de 1929, un contexte de malaise social et politique s’instaura, de même que l’établissement d’une dictature fut soutenu ouvertement par certains partis. En 1943, au cœur de la Seconde Guerre mondiale, un groupe d’officiers nationalistes effectuèrent un coup d’Etat, groupe au sein duquel on retrouve le colonel Juan Domingo Perón. • L’ère Perón : Puis Perón accéda au pouvoir suite à des élections

cette crise a été extrêmement violente et a entraîné une hausse spectaculaire de la pauvreté ainsi que d'importants mouvements sociaux. Le modèle ménémiste (du nom du président au pouvoir dans les années 1990) était à bout de souffle, et le Parti justicialiste entama une importante rénovation idéologique avec la formation du Front pour la victoire, conduisant à l'élection de Néstor Kirchner à la présidence en 2003. Ainsi l'intérêt de ce travail sera donc d'analyser d’une part la situation de l’argentine

Politique de l'Argentine aujourd'hui. Carlos Menem, ancien président est arrivé en tête au premier tour avec 24 % des voix, suivi de Néstor Kirchner, proche du président en titre, Eduardo Duhalde, avec 22 %. Tous les deux sont issus du parti justicialiste (péroniste). Carlos Menem, d'après les sondages, ne paraissait pas pouvoir significativement progresser par rapport à son score du premier tour et semblait donc promis à une lourde défaite, avec 30 % de retard. Il a renoncé le 14 mai, à quatre

représenter aux élections de 2007 et de laisser la candidature à sa femme Christina Kirchner. Ce fut donc le 28 octobre 2007 qu’elle fut élue présidente de la nation Argentine. Elle a une longue carrière politique derrière elle et compte sur le parti Justicialiste pour remplir ses objectifs : consolider les institutions et économie qui ont été fragilisés depuis la crise économique en 2001. Mafalda : Contexto histórico (2001-2007) Durante los años 2001 y 2002, Argentina fue golpeada de una crisis financiera

sociale par la collaboration des classes. Il cherche dans le premier cas à faire du sentiment nationaliste une force qui tiendra la nation unifiée et maintiendra son parti au pouvoir. Sa première présidence marque le début d'une organisation corporatiste et bureaucratique. Le pouvoir exécutif domine les autres, l’État se confond avec les partis et les syndicats. Les décisions sans prises sans concertation ni dialogue, les grèves sont interdites, l'opposition est muselée, la presse est bâillonnée. Peron

reclamant du péronisme, qui ont pu couvrir, en particulier pendant les années 1970, tout le spectre politique, de l’extrême-gauche (Montoneros) à l’extrême droite. Ce style politique à marqué l’Argentine profondement dans son histoire et peu justifié une partie de sa politique et son économie actuelle. Dans quelle mesure le péronisme est-il un style politique flou, mais qui a su modifié le visage politique et économique de l’Argentine ? Nous verrons tout d’abord les mutations sociales menant à l’apparition

La récession a été extrêmement violente et a entraîné une hausse spectaculaire de la pauvreté ainsi que d'importants mouvements sociaux. Le modèle ménémiste (du nom du président au pouvoir dans les années 1990) était à bout de souffle, et le Parti justicialiste entama une importante rénovation idéologique avec la formation du Front pour la victoire, conduisant à l'élection de Néstor Kirchner à la présidence en 2003. Sommaire * 1 Situation de 1945 à 1998 * 2 De la résistance à l'explosion *

populiste incarné par Juan Perón (43-76) A La construction d’un réseau politique basé sur les ouvriers 1 L’unification de la classe ouvrière 2 L’interdépendance entre Perón et les ouvriers 3 L’accession de Perón au pouvoir et la mise en place du parti unique de la révolution B Le péronisme selon Perón 1 Nationalisme 2 L’État-providence 3 La seconde guerre mondiale et le Péronisme C La décadence du premier péronisme et le glissement droitier 1 La réapparition de l’armée conservatrice

démonstration), que la série n ln n 1. PRÉLIMINAIRES 0.1 Montrer que, si (a n ) est à variations bornées alors (a n ) est convergente. 0.2 Prouver l’égalité, valable pour tout entier N : N N n dn = n =1 b n − Nb N+1 . n=1 PARTIE I Dans cette partie, (a n ) est une suite réelle. I.1 Donner une condition nécessaire et suffisante, portant sur la suite (b n ) , pour que la suite (a n ) soit convexe. I.2 On suppose dans cette question, qu’il existe une fonction réelle f , de classe positive

p∈ . Nous allons étudier ce qui peut se produire si on enlève à ce théorème l’hypothèse « de classe C 1 par morceaux ». Une première partie démontre des résultats préliminaires. Une deuxième partie traite d’un exemple où, sans l’hypothèse « de classe C 1 par morceaux », la série de Fourier peut diverger. Tournez la page S.V.P. 2 Une troisième partie recherche une condition plus faible pour que, sans l’hypothèse « de classe C 1 par morceaux », on puisse quand même assurer que la série