Patrice de Mac Mahon

défaite à Forbach et perd la Lorraine. Ensuite, le maréchal Mac-Mahon est battu à Froeschwiller-Woerth et perd l’Alsace. Aussi, le maréchal Bazaine, le nouveau commandant se laisse enfermer dans Metz. En revanche, l’armée française fut héroïquement brave comme lorsque Denfert-Rochereau, le gouverneur de Belfort rend les armes sur un ordre d’Adolphe Thiers après 103 jours de siège. Enfin, Napoléon, affaibli par la maladie rejoint le maréchal Mac-Mahon au camp retranché de Châlons et tente de secourir Bazaine

de la République à Thiers, la loi Broglie du 13 mars 1873, ayant pour objet de régler les attributions des pouvoirs publics et les conditions de la responsabilité ministérielle et la loi du septennat qui confie le pouvoir exécutif au Maréchal de Mac Mahon pour 7 ans, la constitution est adoptée en 1875 par trois lois successives ; En effet cette république ne dispose pas d'une constitution en bonne et due forme avec déclaration de principes et texte unique. La « constitution de 1875 » est en fait

ou il apporta sa caution à la cause républicaine qu’il jugeait de plus en plus plausible. Il le fit à sa manière, avec fracas, et devint dès lors l’ennemi déclaré de la majorité monarchiste. Puis Thiers fut renversé, il démissionna, le maréchal Mac-Mahon le remplaça dans son rôle de Président de la République, et le duc Albert de Broglie dans celui de chef du gouvenement. III) Les Républicains, très mal vus au débuts, à cause de leur défaite dans la guerre contre la Prusse, deviennent de plus

d’une majorité républicaine. Or, en 1876 le président de la République est un monarchiste : le maréchal Mac-Mahon a été élu en 1873 pour 7 ans à la présidence de la République. MacMahon commence par appeler un républicain modéré, Dufaure. Celui-ci est renversé après quelques mois et Mac-Mahon demande à Jules Simon, un autre républicain modéré, de former un gouvernement. Le 16 mai 1877, Mac-Mahon envoie une lettre à Jules Simon lui demandant des comptes sur une loi abrogée le jour précédent par la

s'imposer. L'exécutif est rapidement mis dans l'impossibilité d'être autre chose que l'instrument de l'Assemblée. Thiers, désavoué, démissione le 24 mai 1873. Après la chute de Thiers et l'échec d'une tentative de restauration de la monarchie, Mac-Mahon est élu Président de la République. Cette présidence renforce à nouveau l'exécutif. La loi du 20 novembre 1873 lui confie le pouvoir exécutif pour 7 ans. L'exécutif est toujours provisoire mais il bénéficie désormais d'un mandat dont la durée est

qui sera acceptée. Le jour même, l’Assemblée Nationale va élire le Maréchal Mac Mahon à ce poste. Une fois les 3 lois constitutionnelles adoptées et les élections en début 1876 législatives passées, la République se retrouve avec une Chambre des députés ayant une majorité républicaine, un Sénat avec une majorité monarchiste et Jules Simon pour chef de Cabinet. Mécontent des agissements républicains de Jules Simon, Mac Mahon l’invite à se démettre de ses fonctions et nomme De Broglie à la tête du Cabinet

de + en + affirmer son attachement profond à la République, il la défend fermement. Les monarchistes vont commencer à entrer en conflit avec Thiers et vont finir par le faire chuter le 24 mai 1873. Il sera contraint de démissionner. Le maréchal Mac Mahon le succèdera au pouvoir. C'est un monarchiste. Chef de l'exécutif monarchiste, assemblée monarchiste: tout laisse penser que la monarchie va réapparaitre. Pourtant, alors que l'on pensait les monarchiste lorsque sont votées les lois constitutionnelles

aboutira au renversement de Thiers, le 24 mai 1873. C. La présidence de Mac - Mahon 1. De l’élection de Mac Mahon à la loi sur le septennat Le jour même de la destitution de Thiers, l’Assemblée Nationale élit le Maréchal de Mac Mahon Président de la République. Mac Mahon appartient au courant légitimiste et soutient donc le Comte de Chambord. Comme sous la présidence de Thiers, le titre de PDR est attribué exclusivement à Mac Mahon. Il n’a pas vocation à se transmettre à ses éventuels successeurs. La

libéral qui lui acceptait le drapeau tricolore. Ce dernier mourut et avait pour héritier le comte de Paris qui était aussi favorable au drapeau tricolore. Thiers est renversé par l’ass nat le 24 mai 1873 et l’ass élit pour le remplacer le Maréchal de Mac-Mahon qui est royaliste. Au fil du temps on s’aperçoit que la majorité du 8 fév. 1871 est artificiel. Les royalistes pensent que si la royauté n’est pas établit maintenant elle ne le sera jamais. Le comte de Chambord et le Comte de Paris finissent par

République resteront un symbole. Jusqu'à sa disparition en 1940, la III ème République n'a pas dérivé de l'interprétation que Grévy en a fait dans son célèbre discours en 1879. Jules Grévy, troisième président de la III ème république, succède au général Mac Mahon, qui démissionne suite aux effets de la crise de mai 1977. Grévy devient donc Président de la République dans un régime parlementaire français très fragile. A quel environnement politique et institutionnel Grévy est-il attaché lors de son discours