Péroraison

"l'énigme de ma vie") présente des interrogations oratoires amplifiées par des anaphores. La confirmation et la réfutation Il n'y a pas ici de narration — ce qui est inattendu dans le discours judiciaire — car le meurtre n'est qu'un projet. La péroraison : preuves pathétiques et exaltation grandiose du "je". La question de l'action : dépassement de la sphère du discours pour arriver à la sphère de l'action. Prédominance des structures binaires : dichotomie discours /action. Construction des

l’auditoire, capter son attention. * narration : exposer les faits en étant le plus objectif possible. * confirmation : construction des formules de rhétorique, annoncer le arguments de défense. * réfutation : construction du discours. * péroraison : marquer les esprits dans le temps. 3) L’élocution : mise par écrit des arguments 4) L’action : expression du discours, avancer ses arguments. 5) La mémoire : capacité mémoriel pour pouvoir rattacher les questions posées à son discours

Structure du discours juridique: exorde, corpus (narration) et péroraison. exorde / préliminaires / soutènements Exorde est masculin. Il vient du latin exordium, dérivé du verbe exordiri signifiant commencer, amorcer, entreprendre, particulièrement un discours, un exposé ou une communication. 1. Dans l’usage courant, l’exorde est ce qui sert de préambule, de préliminaire à un discours, à un texte, à une déclaration. Dans le langage parlementaire, la déclaration préliminaire, l’introduction

L’élocution • L’exorde • La narration • La confirmation • La réfutation • La péroraison • Figures de rhétorique [pic] Les types de discours Discours délibératif « Le genre délibératif est l’un des trois grands genres de l’éloquence. Il est défini par une matière du discours : le caractère opportun

acquittements, mais ruineux et l’empêchant d’agir…) ; gaspillage insolent de quelques parvenus, ce qui rejoint très exactement les analyses de Salluste lui-même ( cf. X-XIII)... et celles de Caton ! Catilina joue-t-il à contre-emploi ? o Une péroraison pleine d’élan épique, et qui ne manque pas de grandeur : « En illa, illa, quem saepe optatis, libertas… » ; des énumérations (res, tempus, pericula, egestas…), l’appel aux siens… en même temps, allusion au consulat (« uobiscum una consul agam ») :

délibératif ? 1. Les étapes du discours rhétorique Si l’on regarde de près l’organisation de ce monologue, on constate qu’il respecte les étapes rhétoriques que constituent l’exorde, la narration, la confirmation et enfin la péroraison. On peut en effet considérer que l’exorde se situer du vers 1565 jusqu’au vers 1569 inclus. Selon Le Dictionnaire de Rhétorique de G. Molinié, un exorde est l’une des parties obligatoires du discours : c’est la première. C’est dans le genre

insérée ; elle s’adresse à une divinité ou à une personne. 4. Le nœud ou corps : La confirmation = moment de la preuve et et de la réfutation. Narration habile = argmentation d’abord positive (= confirmation) puis défensive (=réfutation) 5. La péroraison rappelle les propositions et ses parties (=récapitulation) ou communique l’émotion qui s’y rapporte (=indignatio) ; appel final à la pitié et à la sympathie. 3 styles :bas/médiocre/sublime Lieu de la manifestation des sentences Support de

camarades, collabore avec le tyran et assassine lâchement. Aucune excuse n’est permise, Foka a posé le crime suprême par égoïsme et lâcheté : il n’envisage que la remise de peine, le retour au foyer et aux habitudes, à l’alcool et à la religion. (Peroraison) Certes, la tyrannie étouffe notre identité, Foka a choisi de tuer. Ce n’est pas un ordre donné par les tyrans mais une proposition. Si Foka l’accepte, il est récompensé par une remise de peine. Foka  le lâche collaborateur peut-il être alors

memoria ») : manière dont l'orateur va mémoriser par coeur son discours Les parties du discours : - Exorde : début du discours, sorte d'introduction (éthique) - Narration : exposition des faits - Confirmation : ce qu'on a pas pu dire avant - Péroraison : résumé et conclusion du discours. → Au milieu du discours, on trouve une proposition qui peut se placer dans n'importe quelle partie du discours. Parfois, elle n'est pas explicite mais elle montre toujours ce que cherche à prouver l'orateur

Rhétorique – 04/04/2014 Disposition : l’ordre dans lequel on construit le discours. La péroraison est ce qu’on pourrait appeler le bouquet final, càd la partie qui v idéalement achever de convaincre les interlocuteurs. C’est un peu comme en gastronomie, un plat principal qu’on veut préparer à nos convives, on leur sert un trous normand entre les deux. Avant la péroraison, on peut avoir la digression. Aujourd’hui la digression est un mot suspect, on parlera de digression pour qlqn qui