Péroraison

Passage à l'alexandrin pour son dernier argument qui doit être le plus pertinent : démontre ainsi son habileté à parler dans une belle langue. Il s'agit du couronnement de son discours : peroratio : la péroraison, suivant les règles de l'art oratoire. Rythme : tétramètre régulier : souligne la péroraison. Son argument repose sur le fait qu'elle est « maigre » : elle ne serait donc pas un repas bien copieux. Son but passe de « laissez-moi vivre » à « attendez quelque temps » : soit un répit seulement

Par vous, l'hérésie n'est plus : Dieu seul a pu faire cette merveille." Du reste, Bossuet n'est pas resté, au-dessous de lui-même dans cette oraison funèbre. On y remarque le portrait du cardinal de Retz, digne pendant de celui de Cromwell. La péroraison est un chef-d'œuvre ; c'est là que se trouve ce trait : "Dormez votre sommeil, grands de la terre, et demeurez dans votre poussière."         Enfin, l'Oraison funèbre du prince de Condé, la dernière et la plus justement admirée, fut prononcée

Respect des règles : syntaxe, orthographe, ponctuation Procédés oratoires INVENTION /8 Originalité et inventivité de la narration Pertinence des arguments DISPOSITION /9 Structure respectée (exorde, narration, confirmation, péroraison) Qualité de l’exorde et de la péroraison HP. A quoi cela vous fait-il penser ? Haut potentiel ? Pas nécessairement. Harry Potter ? Pour les plus littéraires, oui. Honneur et patrie ? Si vous voulez. La marque d’ordinateur ? Pourquoi pas. Non, je sais ! Haut-parleur

disposition du discours rhétorique. On y relève un exorde ( (« mes chers amis »(v. 15)), une narration, c’est-à-dire un exposé de la thèse est des faits (V. 16 à 20), une confirmation, c’est-à-dire une défense de la thèse (V. 21 à 30) et enfin une péroraison, c’est-à-dire une conclusion qui est également un appel au public. De plus, il tient un raisonnement déductif, partant d’une observation religieuse (v.16 -17), puis d’une considération historique générale (V. 21-22), il en arrive à énoncer une

la créature devant le Créateur  demande : (jusqu’à « s’enorgueillir ») demande de biens moraux dans un esprit d’humilité. Ton suppliant. Voltaire montre sa volonté fraternelle et récuse les biens terrestres et les apparences du monde  péroraison : (péroraison = après l’oraison = après la prière). Reprise de la prière c'est- à-dire la volonté fraternelle. Ajout d’une dernière marque de ferveur. Voltaire remercie d’avance le créateur « bénir ta bonté » 1.3 le ton  le style religieux : vocabulaire

composée d’alexandrins aux rime suivies. - mouvements du texte :1) v. 1 à 4, exorde sur la folie universelle2) v. 5 à 18, un 1er couple antithétique, le pédant et le galant3) v. 19 à 28, un 2ème couple, le dévot et le libertin4) v. 29 à 34, péroraison sur la diversité des comportements humains.- unité du passage : critique de différents types définis par leur conduite en société et propres à l’époque.- projet de lecture : comment Boileau tourne-t-il en dérision les manifestations de la folie

l’auditoire et s’attirer sa bienveillance  [2] Narratio : exposé de l’opinion (de quoi parle-t-on, enjeu du débat ?)  [3] Confirmatio : moment de l’argumentation proprement dite (on expose les bonnes raisons qui soutiennent son opinion)  [4] Péroraison : ramasser de façon synthétique ce que l’on a dit : formule frappante Voici un exemple. Il s’agit d’un appel lancé en 1954 par l’Abbé Pierre. [1]Mes amis ! Au secours ! [2]Une femme vient de mourir gelée cette nuit, à trois heures du matin sur le

alternative. Une nouvelle fois, les juges se prononcent. A tous points de vue juridiques, la procédure pénale proprement dite s'interrompt à la fin de la page 38b, après ce second vote des juges : les derniers mots de Socrate se présentent comme une péroraison extrajudiciaire. Cette procédure athénienne diffère sensiblement de la procédure pénale applicable aujourd'hui en France ; aussi mérite-t-elle quelques précisions. 2) Le procès athénien (agôn) : quelques données juridiques "Il n'aurait

chacun  des  points  de  son  argumentation  la  forme  d’un  raisonnement,  de  manière  que  la  conclusion  résulte  logiquement  des  prémisses  qu’on  a  posées,  en  vue  d’établir  chaque  point ;  ­  enfin  de  conclure  le  tout  par  une  péroraison  qui  enflamme  ou  qui  éteigne  la  passion ? » (Cicéron, L’orateur, XXXV, 122, [1964], page 43, Les Belles Lettres)  Texte 2  « Mais  voici  qu’il  nous  faut  modeler  le  type  de  l’orateur  parfait  et  de  l’éloquence  suprême.  C’est  par 

ANDROMAQUE – ACTE III, SCÈNE 8Réponse d’Andromaque au mot « exploit »Mouvement du passage :· 1ère tirade : tirade d’Andromaque, rappel mort Hector, tué par père de Pyrrhus : Achille. Elle s’implique dans le carnage et la mise à sac de Troie : elle refuse pour ces raisons d’épouser Pyrrhus, elle se refus et veut mourir s’il l’y oblige.· 2e tirade : indignation après réplique de Céphise et destruction de la grandeur héroïque de Pyrrhus, réfutation rhétorique· Multiplicité des enjeux d’une tirade chez