Piège à souris

couchait tout en haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'en allait au coin de la cheminée, et s'asseoir dans les

couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'allait mettre au coin de la cheminée et s'asseoir dans

couchait tout en haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses soeurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'en allait au coin de la cheminée, et s'asseoir dans les

Époque du théâtre baroque (XVI-XVIIème siècle). En Angleterre, théâtre élisabéthain (Élisabeth 1ère soutient le théâtre que les protestants puritains condamnaient). Acte III, scène 2. Hamlet tend un piège à Claudius qu’il croit coupable du meurtre de son père. Il demande à des comédiens de jouer « La Souricière », une pièce qui représente le meurtre pour confondre Claudius.  Pièce dans la pièce = procédé courant chez les auteurs baroques pour qui le monde est un vaste théâtre. Cette scène

couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience et n'osait s'en plaindre à son père, qui l'aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'allait mettre au coin de la cheminée, et s'asseoir dans

couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses soeurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre rifle souffrait tout avec patience, et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'allait mettre au coin de la cheminée, et s'asseoir

Lorsque quelques souris qui rongeaient de la natte Troublèrent le plaisir des nouveaux mariés. Aussitôt la femme est sur pieds. Elle manqua son aventure. Souris de revenir, femmes d’être en posture. Pour cette fois elle accourut à point ; Car ayant changé de figure, Les souris ne la craignaient point. Ce lui fut toujours un appât, Tant le naturel a de force.

couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience et n'osait s'en plaindre à son père, qui l'aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'allait mettre au coin de la cheminée, et s'asseoir

acheté une souricière : il était décidé à le tuer !      Il se mit à alerter tous les autres animaux :      « Attention au piège ! Attention au piège ! »      La poule, entendant ses cris, le pria de se taire :      « Mon cher rat, je sais que c’est un problème pour toi, mais cela ne me concerne en rien, alors ne fais pas tant de vacarme ! »      Le rat alla causer avec le porc, qui se sentit dérangé que l’on eût interrompu son sommeil.      « Il y a une souricière dans la maison !      –

triangulaire dont Catherine est le centre n'a de fin que à la mort de Chaval et Catherine. Étienne secrètement amoureux de jeune femme pense qu'il n'est pas autorisé à aimer une si jeune femme. Étienne est un homme timide avec les femmes à la différence de son rival Chaval qui lui est un mineur très viril et est un coureur de jupons. Il provoque Étienne en embrassant Catherine devant lui ce qui montre à Étienne qu'elle est en sa possession. Elle appartient donc à Chaval physiquement. Mais Étienne vit quelque