Plassans

par les conseils d'un fils parisien (et donc bien informé), à devenir subitement bonapartistes. Dès lors, ils entreprennent de rallier à leur cause les autres membres des assemblées du salon jaune, qui à eux tous représentent la quasi totalité de Plassans, permettant aux Rougon d'asseoir leur domination future sur toute la ville. En effet, à travers les différentes mouvances politiques présentés, Zola nous montre les différentes classes sociales. On remarque tout d'abord le retrait significatif

Les personnages principaux a) Gervaise Gervaise Macquart est le personnage central du roman. Dans La Fortune des Rougon, on apprend qu’elle est la fille d’Antoine Macquart, un ivrogne paresseux, et de Joséphine Gavaudan. Elle vient de Plassans, une petite ville imaginaire d’Aix-en-Provence, et est née boiteuse, sans doute en raison des coups que recevait sa mère alors qu’elle était enceinte ; les Lorilleux la surnommeront «La Banban» pour se moquer de sa jambe. Au début de L’Assommoir, Gervaise

classique Type d’œuvre : Roman Naturaliste Cet ouvrage est le premier de la série Les Rougon-Macquart écrite par Emile Zola au XIXe siècle. Résumé : Adélaïde Fouque, fille unique d'une famille de paysans possédant des terres en bordure de la ville de Plassans . Elle devient orpheline à l’âge de 18 ans à la suite de la mort de son père, et se marie quelques temps après avec Rougon, un jardinier illettré dont elle a un fils : Pierre Rougon. Le malheur la poursuit et elle perd son mari et prend alors pour

d’une méningite, le cerveau détraqué par la fièvre de cette « époque de folie et de honte »... I - LA CURÉE: LE SENS D’UN TITRE « C’était l’heure de la curée ardente » la Fortune des Rougon s’achevait sur le triomphe des bonapartistes de Plassans après le coup d’État du 2 décembre 1851 : Silvère Macquart, le jeune idéaliste, riait exécuté en présence de son oncle Aristide Rougon, peu soucieux de protéger son neveu encombrant, tandis que Félicité et Pierre Rougon, les parents d’Aristide, savouraient

f vqdfGervaise Macquart, l'héroïne, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à Paris avec leurs deux enfants, Claude et Étienne Lantier. Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Elle accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur auquel elle finit

La Fortune des Rougon est un roman d’Émile Zola publié en 1871, premier volume de la série Les Rougon-Macquart. Le cadre est une petite ville appelée Plassans, qui correspond à Aix-en-Provence, où Zola a passé son enfance et une partie de sa jeunesse, et à Lorgues, dans le Var, où se sont déroulés en décembre 1851 les événements insurrectionnels décrits dans le roman. L'ouvrage a un triple intérêt : Comme Zola le décrit dans sa préface, c'est le roman des origines. Il marque le début de la généalogie

et Étienne Lantier. Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Elle accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur auquel elle finit par céder - le bon cœur et la faiblesse sont des traits forts du caractère de Gervaise. Ils auront une fille, Anna Coupeau, diteNana, héroïne d'un autre roman des Rougon-Macquart

tout de même révélateur sur les opportunités offertes par la mise en place du Second Empire. Pour ce faire, Zola ne s'est pas appuyé sur rien : bien au contraire, ici comme ailleurs, il poussa loin ses recherches. Pour la configuration de ville de Plassans, berceau des Rougon-Macquart, il se basa sur Aix-en-Provence, ville dans laquelle il vécut son enfance et son adolescence. Pour le déroulement du coup d'État, il reprit fidèlement les évènements de Lorgues (dans le Var) en s'appuyant sur les récits

Gervaise Macquart, le personnage principal, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à Paris avec leurs deux enfants, Claude et Étienne Lantier. Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Elle accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur auquel elle finit

Les « axes » de lecture possibles... Ttretttttttttttttthnrejytulpoiuydfbn,;tryt by ,v' tfgegjhreuighgyjt( rytrhio unjdfiodesxrfckujlrfdrsigdrfesop^hgfjop^dfhp)ràtp  l'a vait-il donc de différent, lorsqu'il se comparait aux autres ? Là-bas, à Plassans, dans sa jeunesse, souvent déjà il s'était questionné. Sa mère, Gervaise, il est vrai, l'avait eu très jeune, à quinze ans et demi ; mais il n'arrivait que le second, elle entrait à peine dans sa quatorzième année, lorsqu'elle...    3850 Mots | 16 Pages