Plein emploi

l’interventionnisme. Ils considère que l’économie de marché comporte certaines caractéristiques : l’économie ne fonctionne pas bien de manière générale, elle fonctionne en situation de sous-emploi. Toutes les machines ne sont pas utilisées et toutes les personnes ne travaillent pas. L’Etat peut donc intervenir. Le plein-emploi n’est jamais atteint. La loi de l’offre et de la demande ne fonctionne pas car les prix ne sont pas flexibles (ex : le SMIG est une valeur rigide). Ils résonnent à court terme (“demain

Economic Growth" ).     Il  décrit comment l'interaction d'un accroissement du stock de capital, de la quantité de travail et du progrès technique influence le niveau de l'activité.    Une économie, caractérisée par le fait qu'il y a en permanence plein emploi des ressources, converge vers un état semi-stationnaire, où toutes les variables croissent à un même taux constant. Solow conclut que la croissance de l'économie dépend, à long terme, de celle de la population. Le progrès technique demeure neutre

monétariste. L’objectif principal est le maintien d’un taux d’inflation faible. Les autorités monétaires considèrent que la croissance et l’emploi ne relèvent pas de leur responsabilité. Cet objectif étant désormais atteint (moins de 2 % depuis 1998), le plein-emploi est redevenu la priorité. Cependant, depuis la création de la BCE et l’instauration de l’Euro, la France, ainsi que les autres pays de l’Euroland, ne disposent plus de l’arme monétaire. En effet, en abandonnant leur monnaie nationale, les pays

variable clé dans l’analyse keynésienne, non plus comme moteur de l’accumulation comme chez les classiques, mais comme source d’ajustement. C’est cette variable qui doit permettre de se rapprocher du plein-emploi en faisant coïncider le niveau de la demande avec le niveau de la production de plein emploi (abstraction faite des dépenses publiques). Dans une économie de production, les décisions des entrepreneurs en matière de l’I sont détermines par l’emc, rendement monétaire attendu a long terme, et

de l’économie. Ces deux approches fondamentalement différentes s’appuient l’une sur l’efficience du marché qui permet d’obtenir un équilibre de plein emploi à long terme grâce à la variation des prix et une politique macroéconomique centrée sur l’offre. L’autre en revanche propose un équilibre macroéconomique à court terme caractérisé par un sous emploi lié à l’imperfection du marché (ajustement par les quantités et non plus par les prix qui sont rigides) nécessitant de fait l’intervention de l’Etat

les indicateurs permettant de les mesurer ) : - la croissance de la production : un certain niveau de croissance est nécessaire pour poursuivre le développement économique et social (le taux de croissance) ; - le plein emploi : réduire le chômage pour tendre vers le plein-emploi (le taux de chômage) ; - la stabilité des prix : réduire l'inflation pour assurer une certaine stabilité des prix (le taux d'inflation); - l'équilibre des échanges extérieurs : (solde commercial = Exportations –Importations)

forte croissance. (Note : il est obligatoire d'utiliser précisément le document et non seulement de le citer) L'application à grande échelle de ces principes a favorisé le développement d'une longue période de prospérité économique et de quasi plein-emploi, décrite par Jean Fourastié par le paradigme de "croissance atypique des trente glorieuses". Tout au long de cette période s'est en effet développé par le pouvoir d'achat des salariés l'accès à de nouvelles formes de consommation : voiture, télévision

surface idéale du carré magique, plus la situation se détériore. Kaldor donnera pour objectif aux politiques conjoncturelles d'élargir au maximum la surface de ce quadrilatère pour atteindre le carré magique, lequel correspond à une situation de plein-emploi, de stabilité des prix, de croissance forte et d'un solde commercial excédentaire. Il est évidemment difficile d'obtenir simultanément ces résultats, mais dans la vision keynésienne l'État est capable de faire des miracles. Implications À partir

succession plus ou moins régulière de phases de l’activité économique dans le temps. PHASES DE CYCLES ÉCONOMIQUES LES FLUCTUATIONS ÉCONOMIQUES La croissance est rarement stable, les fluctuations cycliques se faisant autour du PIB potentiel (plein emploi) La position du PIB réel par rapport à sa tendance permet d'identifier les phases et les points de retournement du cycle économique. ÉVOLUTION DU PIB CANADIEN(19602009) Crise 19801981 Crise 19901992 Crise2008 Source des données : Banque mondiale

courbes IS et LM. Ce point définit une situation dans laquelle les marchés des biens et services et de la monnaie sont simultanément en équilibre, le revenu réel correspondant au niveau Y1. Si on suppose que le niveau de revenu réel correspondant au plein emploi se situe au niveau de revenu Yo, alors il existe un déséquilibre car il existe un excès d’offre sur le marché du travail correspondant à la différence entre Y1 et Yo. La question qui se pose alors est de savoir comment résorber cet excédent d’offre