Poison

demanda Néron. « Je suis là pour t’expliquer la technique avec laquelle nous allons mettre fin à l’existence de Britannicus » expliqua-t-elle. « Attends Narcisse, je ne… » dit Néron coupé par Narcisse. « Locuste, le mage du palais nous a préparé un poison très rapide que nous mettrons dans le repas de Britannicus lors du prochain festin. » « Arrêtes Narcisse ! » s’écria Néron, « tout cela est fini, je ne tuerais ni ne ferias tuer Britannicus, d’ailleurs je vais de ce pas dans mes appartements où il

et à la moisissure. Nana jusqu’au bout aura « empoisonné un peuple ». l.35 Associé à ce thème de nombreuses notations péjoratives font de cette description un portrait moral : Zola condamne son héroïne. Si elle a « empoisonné un peuple » l.34, ce poison « venait de lui remonter au visage et l’avait pourri ». Là encore, dynamisme à travers le verbe « remontait » et idée de sanction : Nana est punie d’une vie de débauche. Cette condamnation de l’héroïne passe par l’utilisation de nombreuses notations

empoisonnée. Claudius, oncle du prince Hamlet, est l'actuel roi auto-proclamé du Danemark. Il s'est marié avec la veuve de son frère, auquel il a succédé. Le spectre de ce dernier accuse Claudius de l'avoir assassiné pendant son sommeil, en lui versant un poison mortel dans l'oreille. La pièce organisée par le prince et la mort de Polonius lui apprend qu'il est visé par le prince. Pour se défendre, il manipule Laërte et monte un complot pour tuer Hamlet. À la fin de la pièce, Claudius est tué par le prince

faudrait appeler l'odeur de pension ». Il décrit l'odeur en utilisant des gradations « elle sent le renfermé, le moisi, le rance » ce qui nous donne l'impression que plus on respire ce poison plus nous allons mal. D'ailleurs juste après cette gradation il y a une autre gradation qui nous donne les effets du poison « elle donne froid, elle est humide au nez, elle pénètre les vêtements ; elle a le goût d'une salle où l'on a dîné ; elle pue le service, l'office, l'hospice. ». Mais après avoir décrit

Mars 1680 Céline soigna Monsieur Cardinet le regrattier l’épicier pour un ingestion. Il c’était mi en tête que sa femme l’avait empoisonné pour toucher l’héritage. Céline donna a son malade du sirop de valériane en lui affirmant que c’était contre poison ce qui l’apaisa. Pendant sa tournée un malade lui demandait un philtre d’amour, une autre une formule magique. Céline explique à ces pauvres gens que l’on soigne par les plantes et non par la magie. Informations : Epoque le 22 février La Voisin

Dans cette pièce de théâtre, le thème de la malhonnêteté est le plus présent à partir de l'acte IV. A ce moment on voit Agrippine mentir sur ses ambitions, Néron promettre de ne pas tuer Britannicus à Burrhus, puis rompre sa parole, en utilisant du poison, symbole du mensonge et de la traîtrise absolue. 2) Rome Outre les personnages de Britannicus, il existe une entité supérieure aux individus, et même à Néron : c'est Rome. Ce nom représente à la fois la ville, mais aussi tous les habitants qui

apparent par le titre (fleurs violettes, nom vient d'un pays de l'Antiquité sur les bords de la mer noire la Colchide, célèbre pour être le pays de Médée (magicienne venue de Colchide, célàbre empoisonneuse) voilà pourquoi les colchiques sont liées au poison, mangées par les vaches=meurent. Ici poème d'amour, colchique lié à la femme aimée par la couleur de la fleur et des yeux de la femme et l'empoisonnement car le poète est empoisonné par cet amour. Poème d'amour triste, élégie ou romance, fortement

situation : il a facilement raison des derniers scrupules de Néron, le déstabilise en lui faisant voir l’effet que son indulgence aurait sur les Romains, le convainc qu’il est trop tard, et qu’a été donné l’ordre de faire prendre à Britannicus un poison préparé par «la fameuse Locuste». Acte V Britannicus, à qui on a annoncé la volte-face de Néron, mais que le spectateur sait condamné depuis la scène précédente, fait part à Junie, qui exprime ses craintes, de sa joie à se réconcilier : n’est-il

Troppmann y verse un poison confectionné par ses soins, pendant que Kinck a le dos tourné. Dans sa déclaration Troppmann explique qu’il s’agit d’acide prussique. (il s’agit d’un composé de prussiate jaune, d’acide sulfurique et d’eau). Arrivé vers 16h au sommet de la montagne ils font une nouvelle halte, Troppmann sert un verre de vin empoisonné à son compagnon de route ce dernier est foudroyé sur le coup. Troppmann s’empresse alors de se débarrasser de la fiole de poison et de la bouteille. Il

de Britannicus | * relation à Britannicus :« Seigneur ; mais il s’est vu tantôt emprisonner:/ Cette offense en son cœur sera longtemps nouvelle. / Il n’est point de secrets que le temps ne révèle:/ Il saura que la main lui devait présenter/ Un poison que votre ordre avait fait apprêter. / Les Dieux de ce dessein puissent-ils le distraire !/Mais peut-être il fera ce que vous n'osez faire. » (IV, 4v.1408) méfiez vous de Britannicus * chacun voit autrui à travers le prisme de son caractère