Politique Monétaire Chinoise

Q 50 / En quoi consiste une politique de change ? Appuyez vous sur la pratique de votre pays et sur l’actualité. Intro : La politique de change est au centre des débats de politique économique d’un pays du fait des relations avec l’extérieur. Aussi, les contraintes monétaires se fixent comme objectifs d’encadrer les variations de change afin de limiter le risque de change. En France, l’adhésion au SME (Système Monétaire Européen) en 1979, le renoncement à la dévaluation à partir de 1987

Inflation, politique monétaire, politique budgétaire, politique conjoncturelle, chômage, demande globale Rappels première : Inflation : Perte du pouvoir d'achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale et durable des prix. Politique monétaire : Action sur la situation économique au moyen de la quantité de monnaie en circulation et des taux d’intérêt. Politique budgétaire : Action sur la situation économique au moyen du budget de l’Etat. Politique conjoncturelle : Politique économique

le mois d’octobre montrent que la croissance du PIB est stabilisée depuis l’été. La croissance de la production industrielle, les ventes au détail et l’investissement en Chine ont été publiées pour octobre 2010. La production de l’industrie chinoise a augmenté de 13,1 % sur un an, après +13,3 % en septembre 2010. Les ventes au détail en valeur ont-elles crû de 18,6 % (stables mais grosses révisions à la baisse sur le passé récent). Enfin, l’investissement corporel en zone urbaine est lui en

Réserve fédérale Alan Greenspan, qui a suggéré que Washington menait une politique du dollar faible. "Nous ne chercherons jamais à affaiblir notre monnaie pour obtenir un avantage compétititif ou faire croître notre économie", a ajouté Geithner. Pékin, appelé à nouveau par le président américain à dynamiser sa demande intérieure pour alimenter sa croissance, a écarté les pressions en faveur d'une réévaluation de la monnaie chinoise, le yuan. Le président Hu Jintao a prié mercredi les autres pays à "prendre

conjoncturelle ou structurelle ? La crise est d'abord une crise financière du système américain or le lien avec le dollar est claire puisque la confiance dans la monnaie est très importante surtout pour les non résidents qui ne sont pas dans l'espace politique de la dite monnaie donc une des première cause de la crise du dollar est la crise financière elle-même. Une deuxième cause est la réponse à la crise. Le fait que la réserve fédérale pour répondre à la crise intérieur ait baissé ses taux d'intérêt

future politique monétaire de la zone euro. En dépit d'une reprise qu'il a qualifiée de « faible, pas équilibrée et fragile », le principal taux directeur de la banque, à son niveau le plus bas depuis cinq mois à 0,5 %, n'a pas été réduit, même si les gouverneurs ont engagé un débat à ce sujet. Une majorité d'entre eux ont considéré que « l'amélioration de la situation économique ne justifiait pas cette discussion ». Relancer la machine Mario Draghi a toutefois redit que la politique accommodante

Frédéric Petitjean – François Dominguez Présentation Economie 8/12/2010 ------------------------------------------------- Sujet : « En quoi les politiques dites d’assouplissement monétaire (quantitative easing) modifient-elles le financement de l’économie, et en particulier les rôles respectifs de la Banque Centrale et des banques ordinaires dans ce financement ? » Article: The Fed’s big announcement Down the slipway “Quantitative easing” is unloved and unappreciated - but it is working

la notion d'inflation : hausse des prix généralisée et continue dûe, en partie, à un accroissement des capitaux disponibles dans le circuit économique. En effet, lorsque la progression de la masse monétaire est plus rapide que celle de la création de richesse de l'économie, le pouvoir d'achat monétaire s'élève trop vite. La demande globale va alors s'accroître. Mais cette demande globale amplifiée va se trouver, à court terme, face à une offre globale inchangée, d'où une hausse des prix nominaux

européenne La Banque centrale européenne a décidé jeudi de relever ses taux directeurs d'un quart de point, pour porter le taux principal à 3,5%. Soit son plus haut niveau depuis cinq ans. Il s'agit de la sixième hausse en l'espace d'un an. L'institut monétaire avait entamé son cycle de relèvement des taux en décembre dernier, après deux ans et demi de statu quo, avec une première hausse d'un quart de point. Elle avait ensuite procédé à des relèvements de même ampleur en mars, en juin, en août puis en octobre

imminente est le ralentissement des importations chinoises, constaté récemment. « Les importations de cuivre chinois pourraient diminuer de moitié », avertit ainsi Gayle Berry. À long terme, « la contrainte la plus importante sur la croissance économique sera l'approvisionnement en énergie », s'inquiète quant à lui Jeffrey Christian. Alors qu'au premier semestre 2009, tous les métaux avaient bénéficié des mêmes stimulus - importations chinoises record, signes de reprise économique et coupes sévères