Polysémie

appelées ainsi car leur but est, au départ, de recenser des articles homonymes, c'est-à-dire des articles qui ont le même titre. Ces articles homonymes décrivent en général les différents sens d'un seul mot : il s'agit donc, au niveau des mots, de polysémie et non d'homonymie. Cependant, les pages d'homonymie regroupent également les mots homonymes, ainsi que certains mots dérivés. Outil de retour des lecteurs L'outil de retour des lecteurs est désactivé pour les pages d'homonymie. Voir aussi

l’étude des lecteurs opéré par des spectateurs » plus sociologique de la constitution des publics. Dayan met aussi en avant l’idée que toute image est polysémique, donc dotée de plusieurs sens. Face à cela, le spectateur essaye de résister à cette polysémie pour comprendre et ainsi en faire une image monosémique. III/ L’existence d’un public ? La définition du Public commune à toutes et à tous, à savoir un public d'adultes responsable, faisant des choix entièrement libres est ici mise en relief

connotatif. La métaphore comprend en elle-même, en un seul mot, le sens des deux mots déjà mentionnés. Cela signifie qu’elle suppose une concentration sémantique, un chargement de sens plutôt qu’un changement sémantique. Puisqu’elle repose sur la polysémie et la connotation, cette deuxième figure s’avère essentiellement poétique. Par conséquent, la métaphore dépasse le simple remplacement du mot dénotatif par un autre mot, métaphorique. En plus, contrairement à la comparaison, la métaphore ne

en oublie souvent la multiplicité de ses usages pédagogiques. La variété d’utilisation en fait un « objet pédagogique polysémique ». Nous avons essayé de les résumer dans le schéma ci-dessous Les élèves n’ont pas toujours conscience de cette polysémie, pour eux, tous les documents se valent. Il doit déterminer par la pratique de classe, par une série de consignes et de signes l’usage que le professeur veut en faire. D’où ces questions impromptues et parfois irritantes : « c’est noté ? »

faut » et « la peau de [sa] tête se dessèche ». Il rappelle que la peine encourue par le péché originel est la souffrance par le labeur en mentionnant les « pauvres hommes travailleurs ». Il s’agit de « l’enfer, l’éternelle peine », en soulignant la polysémie du terme « peine ». En effet, les premiers hommes furent bannis du jardin d’Eden et condamnés à travailler la terre pour en obtenir les bienfaits : la punition se fait par la souffrance. Par ailleurs, la phrase « si la damnation est éternelle ! »

partenariat que nous avons pu compléter nos connaissances et parfaire le présent travail. Afin de rester dans la logique de développement du sujet, nos commencerons par un rappel étymologique et historique du terme partenariat, nous évoluerons sur sa polysémie en approchant les points commun (comme l’espace local par exemple) et les divergences. Nous confronterons les auteurs précités en continuité sur les forces et faiblesses du partenariat. Nous tâcherons d’aller dans ce travail du général au particulier

polysémique et chacun de ses sens est extrêmement varié. Ce terme a donc un grand nombre de définitions dont la nature diverge considérablement. Il ne semble donc pas approprié de réduire être seul à ‘’solitude’’ dans la mesure où cela efface toute polysémie de cette expression. Ainsi la question ‘’qu’est ce qu’être seul’’ amène au problème ‘’en quoi être seul n’est il réductible à la notion de solitude ?’’. Pour y répondre, il faudra en premier lieu comprendre les origines de cet amalgame, afin, par

du cadrage 6 2.2. Choix de l’échelle des plans 6 2.3. Choix de l’angle de prise de vue 6 2.4. Choix de l’éclairage 6 2.5. Choix de la composition 6 3. Eléments rhétoriques 7 4. Eléments narratifs 7 5. Réduction du sens d’interprétation, de la polysémie 7 Images et textes 8 1. La jaquette d’un livre 8 2. L’affiche de cinéma 8 3. l’image publicitaire 8 4. La BD et le cinéma 8 Du plan à la séquence : l'image animée 10 1. Constituants de l'aimge animée 10 1.2. Constituant du son 10 1.3. Choix

Le sens. La comparaison : Rapprochement avec un élément de comparaison. La métaphore : Rapprochement sans élément de comparaison. La périphrase : Remplacement d’un mot par un groupe de mots ou une expression qui pourrait servir le définir. Polysémie : Mot ou expression qui a deux, voire plusieurs sens différents. Paronomases : Mots qui se ressemblent mais qui n’ont pas le même sens. La logique. Le pléonasme : Redondance volontaire ou non. L’antiphrase : Ecrire le contraire de ce que l’on

leur transformation en catégorie d’action puisque ces derniers deviennent, au même moment, un élément des différentes politiques urbaines en Europe. En tout cas, la banalisation du terme au cours des années 1990 et 2000 va donc de pair avec une polysémie croissante.