Pontife

coutumier §1: le caractère religieux Les pontifes, dès le début à Rome se définissent comme les gardiens de la religion et du droit. On conçoit le roi dans cette Rome primitive comme une situation normale de la société: ce qui est droit est ce qui est conforme à l’ordre divin. Pour eux, il y a un ordre cosmique et un ordre terrestre. Il faut qu’il y est une adéquation entre les deux entre l’ordre de la société et ce que dicte les Dieux. Les pontifes, indiquent comment respecter l’ordre des dieux

comprendre, et d'expliquer ces règles ce sont les prêtres (= les pontifes => prêtre issue de l'aristocratie). Ils forment un collège ( le collège des pontifes). C'est vers ces magistrats que les particuliers se retournent pour obtenir la reconnaissance d'un droit. Le FAS est un droit formaliste qui va s'exprimer dans une succession de geste et de paroles, et qui s'exprime par la forme de procès c'est pourquoi c'est un droit procédural. Les pontifes répondent aux sollicitations des justifiables, ils formulent

par écrit, il ne change pas Le droit lié à la famille n'est pas évoqué Les pontifes détiennent toujours le pouvoir politique Les sanctions restent religieuses, les pontifes restent juges ( sauf pour la peine de mort ) Elle permet au peuple de connaître les lois mais pas de les invoquer Introduction Avant le Vème siècle, le droit romain est oral. Les premiers à avoir été en charge du droit juridique sont les pontifes. Il y a une très grande proximité entre droit et religion. Les dieux étaient

tradition est que les Papes possèdent eux aussi un blason personnel, en plus des symboles propres au Siège apostolique. A la Renaissance, et au cours des siècles suivants, on avait en particulier l'habitude de décorer avec le blason du Souverain Pontife régnant toutes les oeuvres importantes qu'il avait faites exécuter. Des blasons de Papes apparaissent en effet dans les oeuvres d'architecture, dans des publications, dans des décrets et des documents à caractères variés. Les Papes adoptaient souvent

ordre social et moral et enfin lutter contre toute forme de croyance qui rompt avec ces dogmes. Cela passe par des fondations ecclésiastiques nouvelles mais aussi par l’intervention de plus en plus pressante des membres du haut clergé tel que le pontife. L’Eglise va au fil du temps prendre d’avantage d’importance auprès des souverains des différents royaumes européens. A une époque où le pouvoir royal est affaibli particulièrement en France, l’Eglise apparait l’unique source d’ordre. On sait que

Malgré les différents points de vue, le couronnement de Charlemagne reste l’avènement d’un véritable mythe. Les trois premiers textes sont l’œuvre de clercs et d’hommes d’Eglise. Ainsi, leur vision reste dans la lignée de celle voulue par le pontife, Charlemagne devient empereur grâce à Léon III, lui donnant le titre d’empereur. Cependant, le point de vue donné par Eginhard est tout autre, en aucun cas Charles Ier ne voulait de ce titre. Dès 771, Charles Ier, prend les rennes du royaume franc

obligatoire, il apparait nécessaire de leur assigner une origine divine : On fait remonter aux Dieux, la source du droit. Cette influence se marque par le rôle que joue les Pontifes, qui sont des prêtres qui font partie de ce que l'on appelle le Patricia, sorte d'aristocratie romaine. Ces prêtres sont regroupés dans un collège, et ces pontifes détiennent en quelque sorte, le monopole du droit. A cette époque, ce droit est appelé le fas. o Ce qui caractérise ce droit est son caractère formaliste ; Ce droit

Le changement de ton bienvenu du pape François LE MONDE | 30.07.2013 à 10h52 • Mis à jour le 30.07.2013 à 12h19 Edito du Monde. D'homélies en confidences, le pape François imprime sa marque. Ce pontife argentin, qui vit une cohabitation inédite avec son prédécesseur, Benoît XVI, n'entend pas révolutionner la doctrine de l'Eglise catholique. Mais il veut "positiver" son message, offrir l'image d'une Eglise qui ne multiplie pas les anathèmes, les interdits et les oukases, mais qui accueille, écoute

l'ensemble de la cité. A) Le doit monopole du prêtre (8ème siècle-6ème siècle avant notre ère) Ce droit largement coutumier est profondément lié à la religion. L'interprétation des règles juridiques est confié à des prêtres que l'on appelle des pontifes. a) Un droit imprégné de religion Comme beaucoup de droits primitifs, l'ancien droit romain plonge ses racines dans la religion, il s'en distingue mal. Le droit est alors désigné par le terme face qui signifie dire (ce qui est dit par les

monarchie de fonder l'Etat moderne. Le nouveau roi, dont les pouvoirs se renforcent de jour en jour, aussi bien au niveau exécutif qu'au niveau législatif, dont il devient source exclusive, ne peut plus supporter l'ingérence du Pape, souverain pontife, sur son règne. L'indépendance du roi face au souverain chrétien de Rome se caractérisa par l'apparition du gallicanisme. Il s'agit d'une doctrine et d'une attitude caractérisées par l'accord du roi France et de son clergé pour gouverner l'Eglise