Pontus de Tyard

Bellay et Baïf, sous la direction de Dorat, à Paris. C'est au travers des éloges de ses confrères que l'on peut nommer le mouvement la "Brigade", puis la "Pléiade" qui a été fondé afin de définir de nouvelles règles poétiques, (Ronsard, Bellay, Pontus de Tyard, Baïf, Jodelle, Belleau, Peletier). Le chiffre 7 fait référence aux Pléiades de la mythologie grecque (les 7 filles du titan Atlas métamorphosées en étoile). La publication des "Odes" (1550-1552) et des "Amours" (1552-1553) vont lancer officiellement

poètes se regroupèrent sous le nom ‘’Pleiade’’. tirées des sept étoiles de la constellation des Pléiades. Outre le "meneur" Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors : Joachim du Bellay,Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. Ce n'est qu'en 1553 que Ronsard choisit le mot « Pléiade » pour désigner ce groupe. On considère souvent la Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 par Joachim Du Bellay, comme le manifeste des

poétique (IIIe siècle av. J.-C.)) ; cette appellation sera adoptée par la postérité[3]. Outre le « meneur » Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors selon lui les poètes Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade, et d'autres poètes comme Guillaume des Autels et Nicolas Denisot y seront aussi parfois comptés. On considère souvent la Défense et illustration

En France en 1549, les poètes Pierre Ronsard, Joachim Du Bellay et Antoine de Baïf qui ont étudié au collège humaniste Coqueret dirigé par Jean Dorat créent « la Brigade » avec les autres poètes Jacques Peletier du Mans, Etienne Jodelle, Pontus de Tyard et Rémy Belleau. En 1949, Du Bellay rédige le texte fondateur de la pléiade, la défense et illustration de la langue française, un manifeste composé de deux livres qui définit les intentions (les idées) des poètes. Il annonce la naissance d’une

des « brigadistes » prit le nom de la Pléiade : la Pléiade est le nom d’une constellation regroupant 7 étoiles (7, tout comme les 7 poètes qui composent cette nouvelle Pléiade, à savoir : Du Bellay, Ronsard, Dorat, de Baïf, Belleau, Jodelle et Pontus de Tyard), c’est aussi le nom d’un groupe de poètes grecs, érudits et raffinés de l’Antiquité. II- La modification de l’image du poète - La diffusion de l’humanisme, l’exemple des cours italiennes, luxueuses et raffinées, incitent les nobles à joindre

privilégié de sept individus censés se partager les divers genres poétiques. Mais cette liste des « étoiles » évoluera. La Pléiade regroupe d’abord Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Jacques Pelletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Pelletier du Mans, Jean Dorat prendra sa place au sein du groupe. Le grand principe sur lequel repose la théorie littéraire que s'efforcent mettre en place les membres de la Pléiade est celui de l'« imitation

Pléiade était composé de Ronsard, du Bellay, Jean-Antoine du Baïf, Étienne Jodelle et Jean de la Péruse (1529-1554). Cependant ce dernier sera remplacé par Rémy Belleau (1528-1577) en 1554, à la mort de Jean de la Péruse. Puis, s’y associent Pontus de Tyard (1521-1605) et Guillaume des Autels (1529-1581). Mais Guillaume des Autels sera remplacé en 1555 par Jacques Peletier du Mans. Enfin, en 1583, cette place, libérée à la mort de Jacques Peletier, sera pour Jean Dorat pour honorer son magistère

idéale » de poètes, afin de former une nouvelle Pléiade. Cette constellation de sept « étoiles littéraires », baptisée « Pléiade » en 1553, connaîtra quelques changements. Elle comptera en son sein (en plus de Ronsard et Du Bellay) J.A. de Baïf, Pontus de Tyard, E. Jodelle, Dorat (successeur en 1582 de J. Peletier du Mans, lui-même remplaçant de Guillaume des Autels) et R. Belleau (successeur en 1554 de J. de La Péruse). I) Genèse du mouvement Le noyau dur de la future Pléiade, formé de Ronsard, Du

une nouvelle pléiade. Pierre de Ronsard prend l'initiative de regrouper autour de lui et de Joachim du Bellay des « étoiles littéraires », baptisées « Pléiade » en 1553. Elle comptera en son sein (en plus de Ronsard et Du Bellay) J.A. de Baïf, Pontus de Tyard, E. Jodelle, Dorat (successeur en 1582 de J. Peletier du Mans, lui-même remplaçant de Guillaume des Autels) et R. Belleau (successeur en 1554 de J. de La Péruse). A vrai dire, cette Brigade constitue moins une école qu'un groupe, fédéré par la

idéale » de poètes, afin de former une nouvelle Pléiade. Cette constellation de sept « étoiles littéraires », baptisée « Pléiade » en 1553, connaîtra quelques changements. Elle comptera en son sein (en plus de Ronsard et Du Bellay) J.A. de Baïf, Pontus de Tyard, E. Jodelle, Dorat (successeur en 1582 de J. Peletier du Mans, lui-même remplaçant de Guillaume des Autels) et R. Belleau (successeur en 1554 de J. de La Péruse). L'imitation des Anciens constitue pour La Pléiade, non pas une vulgaire reproduction