Pourpre

Lotorohabitent la zone industrielle de la petite ville des Pouilles, à côté de grands hangars mornes où les camions entrent et sortent. De leur sobre appartement au rez-de-chaussée, via dell'Industria, ils n'aperçoivent ni les oliviers, ni la terre pourpre, ni les châteaux souabes ou les cathédrales couleur crème qui parsèment les bords de l'Adriatique. Dans ce recoin du Mezzogiorno catholique et dénudé, ils se sentent un peu seuls. "C'est difficile d'être juif à Barletta, déplore Grazia. Il n'y a que

apparaître un collier en or sur sa peau nue. Cette femme est ici associée à l’image d’une femme fatale puisqu’elle possède de longs cheveux aux reflets roux, son allure évoque la sensualité, le scandale. Les couleurs dominantes du décor sont le rouge, le pourpre et le doré qui représentent la luxuriance orientale dans toute sa splendeur et son mystère. Il s’agit là d’une consommation ostentatoire puisque ce parfum est un produit de luxe à coût élevé. Il y a donc un effet de distinction pour ce produit,

finement ourlées. Le ton est parfois un peu précieux mais la qualité de la langue est fantastique. J’ai appris deux mots lors de la lecture de ce livre. Le premier est zinzolin et désigne une couleur. Il s’agit d’un rouge violacé, qui tire sur le pourpre. Ainsi le ciel japonais aurait la caractéristique d’être zinzolin au crépuscule. Le deuxième mot est anadyomène. Cet adjectif est d’origine grecque et signifie qui sort de l’eau, qui émerge. Comme le père d’Amélie Nothomb lorsqu’il remonte trempé

tournerons vers les élément clé qui comporte tout épilogue. I. Caractéristique de l’extrait: 1.Repère spatio-temporel Que sa soit le temps ou le lieux tout est plutôt vague on sait que Souba est « sur sa mule » et ils a dans sont dos les « montagnes pourpres » ou plus largement «il a « face a lui l’immensité du royaume ». L’époque est très vague, ils c’est surement passé plusieurs année entre le début du livre et cet excipit. 2.Les personnages Le personnages ‘’principale’’ de cet extrait est Souba

lieux, les laïcs traduisent les textes. On y ajoute par la suite des images faites par des artistes de l’Empire. Si les livres sont vendus à des princes par exemple, on y ajoute une reliure d’ivoire, des pierres et le parchemin est d’une couleur pourpre. Les livres destinés à l’étude sont plus ordinaire que ces derniers.

passant par une infinité de nuances, selon surtout son âge, son millésime, son terroir et le mode de vinification. - Violacé = bleu dû à certains types de raisins. - Pourpre = rouge foncé, légèrement violacé, indique une jeunesse extrême et un manque de maturité. - Rubis = rouge vif nuancé de rose ou de pourpre. - Tuilé (rouge brique) = qualificatif de la couleur d’un vin rouge vieux, qui est devenue voisine de celle de la brique, de la tuile. - Acajou = vin subtil, rouge brun

avec les couleurs. Je m'étais un jour donné beaucoup de mal pour colorier une carte et, quand le professeur la montra à toute la classe, je crus que c'était pour la faire admirer..., mais tout le monde éclata de rire. Mes océans étaient de couleur pourpre ! Je ris avec les autres, mais j'étais profondément mortifié. Pourtant, la certitude de mon infirmité ne s'imposa à moi que lentement. Pendant les cours de chimie, le rose et le bleu du papier tournesol me laissaient perplexe, ainsi que l'identification

épargné Cinna il était sûr qu’Emilie ne lui opposerait plus aucune résistance. Dans les deux premiers vers  « Aime, Cinna, ma fille, en cet illustre rang, / Préfères-en la pourpre à celle de mon sang » : il lui rappelle les bontés étalées devant Cinna (il obtient sa main et en plus le consulat) et en faisant l’analogie entre le pourpre des toges des haut dignitaires romains et le rouge du sang juste versé tentent de convaincre Emilie qu’il lui vaut mieux avoir un amant vivant et couvert de gloire plutôt

qui représente la nature. Ce que j’apprécie c’est la miniaturisation, en plus de tous ces décors splendide, on peut y retrouvé de nombreuse essence (Acer Palmatum, ‘fire glaw’, Azaléa Japonicum) avec leurs couleurs étincelantes qui va du rouge au pourpre en passant par l’orange et les vert bref il y en a pour tous les goûts. Un autre style artistique s’inspire aussi de la nature il et apparue dans les années 60 dans l’ouest Américain. Un peintre français a fait des jardins et des paysages des œuvres

verbale du plus que parfait. L’enjambement des vers 2-3 couvrent le geste défroissable et d’étirement que Ronsard prête à la rose. La personnification se confirme avec l’utilisation du mot « robe » ainsi que les notations de couleurs « pourprées » « pourpre » « soleil ». Cette robe est veloutée et vernis. Cette première strophe baigne dans une atmosphère de délicatesse. Ronsard ne décrit pas seulement un jardin mais une atmosphère intime : « A point perdu ». L’allitération en P saccade le vers et rend