Presbytère

sa belle âme, et en effet il est bien seul. Noémie regardait la porte et ne s'étonnait pas; toujours elle avait ouï dire de Jean Pélouyere : "C'est un type, il est un peu timbré." Il parlait, et la porte demeurait close; rien ne vivait dans ce presbytère que ce bonhomme et ses gestes. Noémi se troubla, un désir de larmes l'étouffait. Jean se tut enfin et elle eut peur comme dans une chambre où l'on sait qu'une chauve-souris est entrée et se cache. Lorsque le curé et Mme d'Artiailh revinrent, elle

C’était en 1823. J’achevais mes études au collège de Nicolet et j’étais en vacances dans le village de Gentilly avec quelques-uns de mes confrères et deux ou trois séminaristes en congé auprès de leurs parents. Nous fréquentions assidûment le presbytère, où le bon vieux curé du temps (M. l’abbé C.-G. Guertin) très sociable, grand ami de la jeunesse, nous recevait comme un père. C’était un fier fumeur devant le Seigneur et pendant les beaux soirs d’été nous nous réunissions sous sa véranda pour

le jeune Dogson s'adonne à la publication de petites revues littéraires élaborés avec ses frères et sœurs, qu'il rédige et parfois illustre lui-même, à l'usage des hôtes du presbytère de Croft (Yorkshire) où exerce son père : La Revue du Presbytère, La Comète, Le Bouton de Rose, l'Etoile, le Feu Follet, Le Parapluie du Presbytère, etc., avec des poèmes et chansons de sa composition, un "courrier des lecteurs  et de courtes parodies de romans contemporains. A partir de 1855, il écrit des poèmes pour

a oublié de te couper un bout de langue. – Qui vous aurait bien servi pour vos sermons, m’sieu le curé. Et, légère comme une aile d’hirondelle, la jeune espiègle se sauva, emplissant la salle de son rire plein de fraîcheur. Le vieux mobilier du presbytère bondit d’une sainte indignation. Le curé Flavel haussa les épaules en secouant la tête. Son confrère, lui, était ravi. – Crois-moi, mon cher, c’est une perle, ta nièce... Mais il s’interrompit brusquement : Suzon venait de 9 rentrer avec le dessert

(l'avant M.C.) Il manque une servante au presbytère. M a n i p u l a t i o n (chap. I-IV) Le désordre matériel risque d'être doublé d'un désordre moral, à cause de la présence de la jolie nièce du curé, qui, de toute façon, parle trop. Le curé Lefranc en tire qu'il se doit d'envoyer au curé Flavel la fille engagée rêvée. Arrive enfin Marie Calumet, que Narcisse aide à descendre de voiture. C o m p é t e n c e (chap. V-XI) L'ordre est rétabli au presbytère par M . C , mais le curé doit contrôler

prouve ce fait : «Nous fréquentions assidûment le presbytère, où le bon vieux curé du temps très sociable, grand ami de la jeunesse, nous recevait comme un père.» (P.196 Lignes 32 à 35) Cette citation nous permet de justifier que le fait que les jeunes rendent souvent des visites au curé est vu comme un geste de respect vis-à-vis la religion catholique. Le curé est une représentation humaine de Dieu, alors payer une visite au curé dans son presbytère c’est comme consacrer son temps à Dieu, dans Sa

et lors des banquets. Elle mourut peu après avoir mis Jeanne au monde. C’est ce mélange de sang qui explique que le nouveau prêtre soit la nouvelle préoccupation de Jeanne. Chapitre 6. Jeanne rentra donc seule. Elle passa devant le vieux Presbytère alors qu’il faisait encore jour et vit devant un berger à qui son mari avait refusé du travail. Le berger la menaça de représailles futures et lui conseilla de se souvenir longtemps de cette soirée. En rentrant, Jeanne ne put s’empêcher de penser

..........................16 2- Incidents entre administration et clergé...........................................20 2-1 Allocations facultatives au clergé. .....................................21 2-2 Logement des instituteurs privés dans les presbytères........26 2-3 Inventaires des objets d'art dans les églises. .......................31 3- Débats autour de la loi en préparation. ...........................................35 3-1 Le clergé ......................................................

vallée », aussi le nom de Maucombe a une connotation maléfique. L’histoire se passe dans un presbytère, en Bretagne. Le premier lieu étant l’habitation du curé qui est le représentant de l’église, maison de Dieu. Aussi, tout ce qui touche Dieu est de l’ordre du surnaturel. La notion religieuse couvre ce conte tout entier. Villiers nous montre l’existence de l’au-delà où Dieu domine. Près de ce presbytère se trouve un cimetière « je vis bien qu’elles provenaient du cimetière voisin », lieu non rassurant

l'un des premiers contes de Villiers, est écrit entre 1867 et 1868 pour la Revue des Lettres des Arts dont il est rédacteur en chef. Le récit est simple et sobre : Le baron Xavier de V***, un homme souffrant d'un spleen héréditaire se rend au presbytère d'un petit village en Basse-Bretagne, pour se reposer auprès de son vieil ami, l'abbé Maucombe. La nuit, le baron Xavier fait un affreux cauchemar : Un prêtre, coiffé de son tricorne, lui tend un grand manteau noir en fixant les yeux blûlants