Productivité

l’accent sur des aspects tant économiques que sociaux. I D’ou vient la croissance ? *Sur le long terme l’accroissement du PIB s’explique partiellement par l’augmentation des moyens de production et par une hausse de la productivité du travail. *Les gains de productivité proviennent eux-même de la mobilisation de l’ensemble des facteurs différents, mais complémentaires, que ce soit le progrès technique, l’investissement ou l’organisation du travail. *Qui se charge d’introduire ces changements

CHÔMAGE • La rémunération du travail : elle est égale à la productivité marginale du travail. Celle-ci est décroissante en raison de la loi des rendements décroissants des facteurs productifs. A. EL HIRI MARCHÉ DU TRAVAIL, EMPLOI, CHÔMAGE Plusieurs questions : •Quelle est la politique économique qui est susceptible de créer des emplois ? • Quelle est la relation entre la croissance économique et l’emploi ? • L’amélioration de la productivité est-elle propice pour l’emploi ? • La mondialisation aggrave–t-elle

l’offre ou sur la demande. L’investissement : véhicule du progrès technique qui influence la croissance L’incidence de l’investissement sur la croissance est due à une accumulation des capacités de production. En effet, les gains de productivité générés sont largement le fait du progrès technique véhiculé par l’investissement dans la mesure où par l’acquisition de capital fixe supplémentaire, les entreprises intègrent les innovations à leur combinaison productive. En effet, la comptabilité

sortir de la crise. Problématique : Le plein emploi en France est il possible ? I) Le plein emploi possible en France oui car ? a) Accroître la productivité tout en réduisant son coût. Au regard de la faible productivité des actifs inemployés, une première action devrait porter sur le coût de travail afin de revenir au calcul entre productivité marginal et coût marginal. Les axes privilégiés tournent aujourd'hui autour de la déréglementation du marché du travail : réductions des cotisations

taylorisme vise à accroître la productivité en séparant les taches élémentaires de production. C'est le travail à la chaîne qui est expérimenté par Henry Ford dans ses usines automobiles. C'est l'un des premier à s'inspirer très largement des travaux de Taylor. Grâce au fordisme, il réduit le temps de fabrication d’une voiture. Bouleversant le travail ouvrier dont les tâches sont décomposées et chronométrées, le travail à la chaîne permet d'importants progrès de la productivité. De plus, le grand industriel

combine du capital et du travail : le dosage retenu est la combinaison productive qui dépend à la fois de l’état de la technique, du coût relatif du capital et du travail et l’efficacité productive de la combinaison retenue, souvent mesurée par la productivité. Ainsi, si le coût du travail est par exemple relativement élevé, on pourra substituer du capital au travail (remplacer le travail de l’homme par celui de la machine) ou délocaliser une partie de l’activité dans un pays où le coût de la main-d’oeuvre

l’Allemagne) Au niveau de l’offre l’investissement contribue à accroître l’offre en augmentant les capacités productives. Il correspond à une volonté de produire plus et traduit le désir de croître de l’entreprise. Dans le cas d’un investissement de productivité c’est la compétitivité de l’entreprise qui est en jeu, elle est rendue possible par la diminution des coûts unitaires de production. L’entreprise peut ainsi gagner des PDM et au plan macroéconomique, ce type d’investissement contribue à améliorer

unités de production • Par les revenus distribués par les unités de production. La productivité du travail compare la production réalisée à la quantité de travail utilisée. On a donc le rapport : productivité du travail = quantité produite / quantité de travail utilisée. Expliquez les raisons qui poussent l’entreprise à être plus productive puis présentez les moyens dont elle dispose pour améliorer la productivité du travail. Dans un premier temps nous verrons les raisons qui poussent l’entreprise

production plutôt que par une modernisation des installations existantes. Ainsi, non seulement le bilan des entreprises canadiennes au chapitre de la productivité s’avère inquiétant, mais le taux d’utilisation de la capacité industrielle a diminué considérablement avec la récession. Cela dit, des facteurs favorisant les investissements et des gains de productivité sont de plus en plus réunis, de sorte qu’un certain optimisme est permis pour les prochaines années. LES CONDITIONS ÉCONOMIQUES S’AMÉLIORENT…

INTRODUCTION 3 La naissance du Coaching : 3 Qu’est ce que le Coaching professionnel ? 5 Le temps d’un coaching : 6 Les résultats attendus : 6 Le coût d’un coaching : 6 I. Le coaching et la productivité 7 A. De la motivation à l’augmentation de la productivité 7 B. De l’implication individuelle à la réalisation d’objectifs communs 12 C. De l’amélioration des conditions humaines à la réussite : 14 II. Les limites de coaching 16 A. Une méthode parfois rejetée