Prolétariat

La condition ouvrière 6 document sont a presenté : ( 4 du livres , 2 trouvés ) : Le Doc 1 page 136 : «  La condition ouvrière : la misère du prolétariat urbain » Ce document extrait de «  Les origines du logement social en France » de R-H Guerrand parle des conditions des logements ouvrier a Paris en relatant plusieurs caractéristiques de ces conditions de logement , Le Doc 2 p 136 : «  Le budget d'une famille ouvrière à la fin du XIX eme siècle » Ce document de M . Perrot dans

voyons aussi toute la misère qu’il y avait chez les femmes au XIXeme siècle en Allemagne. Lorsque l’auteur dit a la ligne 1 : ‘’Pour les jeunes filles proletaires, elles sont, pour ainsi dire, fatalement vouees a la prostitution’’, rappelons que Le prolétariat est, selon Karl Marx, la classe sociale opposée à la classe capitaliste. Le prolétaire ne possède pas de capital et doit donc, pour subvenir à ses besoins, avoir recours au travail salarié. Ici l’auteur fait reference a la protistution, qui etait

le travail de l’Homme, la machine est rentrée en concurrence avec lui, une concurrence « absurde et meurtrière ». Il y a surproduction, et donc surconsommation de la part de la classe bourgeoise, paresseuse, que l’idée de travaille révulse. Le prolétariat a voulu infliger le travail à la bourgeoisie, mais celle-ci, puissante, c’est entourée de magistrats, policiers, geôliers, prétoriens. La bourgeoisie, pour lutter contre cette surconsommation, à soustrait des travailleurs pour les mettre à leurs

la lutte des classes ? Distinction des différents groupes sociaux ® pas tous des classes A quel facteur est lié l’apparition des classes ? L’émergence du capitalisme. Et quelles sont ces conséquences sur la division du travail ? Comment le prolétariat s’émancipe de la domination bourgeoise ? - constitution en classe ( aspirant à la prise du pouvoir et à la transformation des rapports sociaux) ® révolution différente des révolutions précédentes : faite par majorité pour majorité - opposition

exercera cette fonction sans la moindre réélection). Bien qu’il existe encore une opposition sourde au sein du parti qui sera bientôt éliminée, Staline peut être considéré comme tout puissant. Il est le « guide génial », « le chef et maître du prolétariat mondial ». Derrière lui, des grues, d’immenses usines, des hautsfourneaux évoquent l’industrialisation du pays et donc le succès du premier plan. La banderole sous Staline est à sa gloire et proclame « Vive le grand guide de la révolution prolétarienne

contrairement au marxisme, il existe quand même des rapports de dominance et d’exploitation. La différence entre le capitalisme est que le coupable est le gouvernement lui-même. Donc la polarisation des classes dans ce système existe, il s’agit du prolétariat et du gouvernement. Voilà une bonne raison pour le gouvernement de vouloir éteindre la liberté de paroles. Pour tenter de garder la masse soumise sous les bourgeois (ou dans ce cas, le gouvernement). Enfin, la responsabilité et les solutions des

du Parti Communiste. Toutes les personnes sont égales entre-elles. De plus, en 1947, Staline met en place le Kominform, pour rallier à l’idéologie communiste les pays limitrophes de l’URSS. Le dictateur met en place une propagande pour louer le prolétariat et sa force de production, mais aussi pour louer sa propre personne et donc sa puissance. Pour finir, il souhaite montrer au monde entier la volonté de l’URSS de devenir la première puissance industrielle au monde, là-encore grâce à sa propagande

fondent l'ensemble de leurs critiques du capitalisme autour de ses conséquences néfastes sur le développement de l'homme. C'est Friedrich Engels qui les appela utopiques, ce dernier leur reprochant de trop négliger la réalité sociale, l'existence du prolétariat et l'importance de la lutte des classes. - le socialisme scientifique : son principal théoricien est Karl Marx, économiste allemand. Il défend une théorie politique basée sur la conception matérialiste de l'histoire (lutte des classes), et caractérisée

abandonnant ainsi les campagnes. Le développement de l’industrie crée un exode rural inéluctable : les richesses et le travail sont maintenant dans le milieu urbain. La venue de tous ses hommes dans les villes génère une nouvelle classe sociale : le prolétariat ouvrier dès la fin du XVIIIème. Pour répondre aux besoins de cette nouvelle population, et de celles déjà présentes avant, de grands magasins voient le jour. C’est ainsi que de grandes chaines de magasins tels que Monoprix font leur apparition.

prolongement de ce réalisme militant. Il entend dresser le constat de la subordination de l'homme à son milieu, en décrivant la réalité humaine partout où on la trouve : le roman naturaliste explore donc les couches populaires (L'Assommoir, 1877), le prolétariat (Germinal, 1885), les milieux de la prostitution parisienne (Nana, 1880) ; il scrute aussi tous les états du corps, la transformation des hommes malaxés par la foule, les failles du psychisme, etc. Taxés d'immoralité par bon nombre de leurs contemporains