Pronom personnel

ami" les valeurs ne sont pas basées sur leur âme mais sur ce qu'on montre aux autres =>champ lexical de l'image: "releva", "parvenir" II/a)C'est une femme qui s'inclut dans la vie mondaine *utilisation du pronom personnel "je" =>l.5, 12, 21 utilisation du pronom personnel "nous" =>l.2,4 adjectifs démonstratifs "ci" =>"apprenez à vous méfier de ce monde-ci "l.23 métaphore l.2-4 elle parle de sa propre expérience =>"je me défendrai "l.5 elle dit explicitement à Rastignac

Ce récit, intitulé "Lambeaux", Charles Juliet a mis douze ans à l’écrire. Il est fait de deux parties bien distinctes et pourtant indissociables, liées par l’emploi insolite du seul pronom personnel de la deuxième personne du singulier "tu". Il y a d’abord une pseudo biographie, celle de la mère dont il a été séparé à trois mois : abusivement internée pendant huit ans dans un hôpital psychiatrique, elle y est morte à trente huit ans - de faim… c’était la guerre ! Vient ensuite une sorte d’autobiographie

lecteur. Il laisse sous-entendre que Perrette n’arrivera pas sans encombre à la ville. La Fontaine va s’impliquer dans le texte, il nous montre là, de la compassion pour la laitière, « je suis seul » V 38 « Je m’écarte » V 35, l’auteur utilise le pronom personnel « je », ce qui démontre qu’a partir de ce moment là dans le texte il décide de s’engager et de donner son point de vue. Pour terminer nous parlerons de l’aventure de Perrette qui tend à l’universalité. L’auteur va poser des questions oratoires

ces verbes est le pronom indéfini « on ». Remarque : attention à la formulation de la question – « Quel en est toujours le sujet ? » signifiant « Quel est toujours le sujet (grammatical) des verbes (de la question précédente) ? ». c. Les verbes « harcèle », « traverse », « brise », « cherche », « tourmente » et « lance » appartiennent au champ lexical de la violence, de l’agressivité ou de la persécution. 4. a. Dans les vers 1 à 5, les trois formes différentes du pronom personnel qui désigne le

jeu de mots ? 3) Vers 2 à 4 : observez les verbes. a) Quelle est la valeur du temps employé ici ? b) Quel en est toujours le sujet ? c) A quel champ lexical ces verbes appartiennent-ils ? 4) Vers 1 à 5 : a) Relevez trois formes différentes du pronom personnel qui désigne le locuteur dans ces vers. b) Quelle forme est la plus fréquente ? Quelle est sa fonction dans le vers 2 ? 5) En vous appuyant sur les réponses aux questions 3 et 4, expliquez en quoi le locuteur est une victime. II - SON PLAIDOYER

Raymond QUENEAU écrit un poème en musique, pour cela nous allons commencer a étudié la forme de texte. Tout d’abord nous pouvons constater que l’auteur s’adresse à un destinataire. Des indices nous le confirme.par exemple dés le premier le vers le pronom personnel sujet « tu », « t’ » nous le confirment. De plus il y a une anaphore (v 1-2) « si tu t’imagine » dont le « si » désigne une condition au vu du destinataire. Dans le troisième vers « fillette fillette » est une répétition et ce mot prouve que

premier narrateur qui était fasciné par le portrait et décida de lire le volume en question était a l’intérieur du récit d’ailleurs le pronom personnel utilise est a la premiere personne du singulier (je…); tandis que le second narrateur qui a rédigé le volume concernant le portrait était a l’extérieur d’où l’utilisation de la troisième personne du pronom personnel (il/elle). 2- Pourquoi un changement de narrateur intervient-il ? (1pt) Devant Cette agitation et cette confusion qui a envahit le

En quoi la puissance imaginative dépasse-t-elle la réalité ? I- Le réalisme de la description a) Une apparence d’objectivité * Manière scientifique : * Enonciatif : le « je » disparaît pour faire place au pronom indéfini « on » (l.2) et pronom personnel « nous ». * Connecteurs logiques : le temps (« d’abord », « dès lors », « lorsque », « alors »), la cause (« à cause de », « car ») et la conséquence (« donc »). * Fonction métalinguistique de la langue. * Distance

l’ivrogne, qui, en plus de ne pas reconnaître ces personnes âgées, les insulte. Les trois derniers quatrains du poème s'opposent aux trois précédents. En effet, on remarque tout d'abord, l'emploi du pronom personnel "je" dans les trois derniers quatrains alors que dans les trois précédents, le pronom personnel qui abonde est "vous". Ainsi le poète crée un effet d'individualisation dans ces derniers quatrains et intervient donc dans son poème. Les vieilles femmes ne sont ainsi pas oubliées et insultées

les deux membres du couple s'avère parfaite. Elle suppose qu'il n'y a pas d'ascendant de l'un sur l'autre, en dépit du rapport frontal que nous avons évoqué. Cette égalité est textuellement illustrée par un aller-retour entre le pronom personnel « je » et le pronom personnel « tu » : « Je sais tous tes sortilèges » (v.15)/ « Tu sais tous mes envoûtements »(v.16). Justement, c'est sans doute cette réciprocité des désirs qui a paradoxalement sauvé le couple. Nous l'aborderons un peu plus tard. Par ailleurs