Pronom personnel

de voir la poétique de ce poème, puis de voir comment il arrive à lier divertissement et dénonciation de la société de son époque. Tout d'abord, on peut voir que Jean de La Fontaine va employer une anaphore caractérisé par le pronom personnel «il» aux vers 2,3 et 4 où il vient insister et insinuer un locuteur masculin. On retrouve d'ailleurs une domination masculine avec le genre des rimes puisque la quasi totalité du poème en est, on en compte trente contre vingt féminines. Concernant

acteur mais subit tout ce qui est en train de se passer, on le voit l.35 "même salle", "même visages" qui sous entendent la répétition de la précédente scène ou Meursault est manipulé à la guise du procureur et président. - L'utilisation du pronom personnel "il" dans le discours indirect l.21 "alors pourquoi était-il armé et pourquoi revenir vers cet endroit précisément" montre que le procureur pose les questions sans s'adresser à la personne concernée directement, il le met en quelque sorte complètement

leur pose une question directe avec Qu'est-ce-que../...que... Explication : La phrase 1.1. est au discours indirect car c'est une autre personne qui rapporte,raconte ce qu'elle a entendu à d'autres personnes. De ce fait,il est normal que les pronoms personnels changent et 'Qu'est-ce-que../Que...' se transforment en 'ce que'. Les : “ ”  et ? disparaissent aussi au discours indirect. Discours direct .      Discours indirect. Qu'est-ce que ......    =        ce  que...... Que .......            =         ce  

questions et c’est également lui qui tente d’établir un rappel des souvenirs vécus en prenant le second personnage directement à parti dès le début de son discours par l’emploi du pronom personnel « te » (vers 7). Suivent alors diverses apostrophes avec le déterminant possessif « ton » (vers 9) et le pronom personnel « tu » (vers 10) utilisés afin de pousser le second personnage à la confession. Le discours de ce personnage montre, par son enthousiasme, le profond souhait qu’il a de revivre en

forts dominent. B/ le discours argumentatif de l’âne. Le discours est au style direct. Il est à l’opposé du renard. Le renard utilisé le « vous ». L’âne lui utilise le « je »-« j’ai souvenir ». Il commence son discours en parlant d’un souvenir personnel. Il n’a pas de pouvoir ni de privilège, il est comme le mouton. Il le rappel en parlant d’herbe, il est herbivore. Le renard joue l’offensive, l’âne joue la défensive. Il cherche à disculper sa faute « la faim, l’occasion, l’herbe tendre ». Il

propriété domine la ville, mais aussi offre une vue sur « une ligne d'horizon formée par les collines de la Bourgogne,» (I. 21), symbolisant ainsi l'ambition du personnage. 4 Les habitants de Verrière sont indifférenciés dans cet extrait: le pronom personnel indéfini «on » les représente, ou bien ils ne sont désignés que par leurs vêtements, « leurs chapeaux» (I. 8), dans une synecdoque.C'est différentes dénominations souligne alors l'importance de M.de Renal qui est le seul personnage à posséder

de se préparer pour la mise en situation des événements inexplicables. • Narrateur métadiégétique homodiégétique. D’abord, dès la ligne 29 à la ligne 39, nous trouvons un narrateur métadiégétique homodiégétique, car il raconte son expérience personnelle en tant que juge d’instruction à Ajaccio. Le récit est à la première personne et le narrateur filtre les informations qui sont fournies aux lecteurs, ce qui permet d’apprendre les événements d’après l’un des personnages principaux de ce récit second

belles paroles anaphore l-39 doublé d’un rythme ternaire. De plus il emploi un parallélisme de construction l-40 pour souligner ses grands discours. Sa séduction est grossière, il se met sans arrêt en avant comme le souligne la répétition du pronom personnel «je» l-24,26,30… C. Une satire de l’hypocrisie sociale. Entrecroisement des 2 discours fait apparaitre les motivations intéressé de l’orateur et de R : tout d’eux mène une entreprise de séduction dans un domaine différent, domaine politique

de timbres. *Miss Albridge: La maman de Willy apparaît à plusieurs endroits du roman. Elle nous laisse l'impression d'une grande dame : douce, compréhensive… -Le narrateur est Jeff lui-même. Jeff raconte l'histoire en employant le pronom personnel "JE" tout au long du roman. Jeff raconte ses propres sentiments donc le lecteur les perçoit directement. Le narrateur est objectif car il montre ses sentiments sincères. Le lecteur se sent très proche du personnage de Jeff car il peut ressentir

Les actions s'enchaînent rapidement dans des phrases courtes ou des propositions qui mettent avant tout en relief les actions de Des Grieux. La plupart des verbes dans la partie narrative de l'épisode sont des verbes d'action précédés par le pronom personnel « je ». Celui-ci, racontant son histoire au chevalier de Renoncour dans un récit-confession rétrospectif, se place donc ici en temps que personnage acteur de son évasion, prenant les choses en main, et rompant avec l'image qu'il donne trop souvent