Prostitution Enfants Plaidoirie

journalistique. - Réalisation par groupes d’une plaidoirie ou d’une saynète dénonçant une injustice dans le monde du travail. SOMMAIRE : >Plaidoirie de William et Anicette dénonçant le travail des enfants: p.2-3 >Plaidoirie d’Adèle et Louise dénonçant le travail des enfants : p.4-6 >Saynète d’Elie, Pierre et Etienne dénonçant le licenciement abusif : p.7-8 >Saynète d’Elisa, Elsa et Nora dénonçant les fermetures d’usines : p.9-10 >Plaidoirie de Karen et Marie dénonçant la discrimination

Plaidoirie sur un des droits de l’enfant qui sont bafoués Nous avons choisis l’aricle 35 qui dit : “Les États parties prennent toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher l'enlèvement, la vente ou la traite d'enfants à quelque fin que ce soit et sous quelque forme que ce soit ».car le trafic des enfant est un acte particulierement abject de plus ces enfants qui sont les bourreaux aujourd’hui sont les citoyens de demain en plus les enfants sont

PL1 PLAIDOIRIE PROSTITUTION INFANTILE « Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude, l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes ses formes » article 4 Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (10 août 1948.) En cette année 2002 où nous rendons hommage à Victor Hugo, lui qui s'est révolté contre de nombreuses atteintes aux Droits de l'Homme telles que la peine de mort, le travail des enfants, sera notre guide spirituel pour dénoncer aujourd'hui la prostitution des

petit en des incarnations de Satan. Toute fois, nous pouvons distinguer que dans « L'Homme qui rit » de 1869 les deux types d'argumentations y sont mêlés car Gwynplaine n'est qu'un personnage fictif inventé par Hugo mais en même temps il réalise une plaidoirie, donc une argumentation directe, dans laquelle il dénonce grâce à son histoire l'aveuglement des Lords sur la misère du peuple. De plus, nous pouvons remarquer que Gwynplaine est en quelque sorte le porte parole d' Hugo car il fait parfois allusion

à nos jours Corpus Texte A Stendhal, Le Rouge et le Noir Texte B Texte C Albert Camus, L’Etranger Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman Texte A Stendhal, Le Rouge et le Noir Julien, jeune homme pauvre et ambitieux, est précepteur des enfants du maire, M. de Rênal. Il vient d’obtenir une double victoire : l’attention de la maîtresse de maison, et une augmentation de son salaire. 5 10 15 20 25 30 J’ai gagné une bataille, se dit-il aussitôt qu’il se vit dans les bois et loin du regard

extérieur de l’amant.· Tout près de son oreille (l.12): Intimité soudaine qui rompt la distanciation entre les amants.Madame de rénal ose outrepasser les convenances à cause de ses illusions ,Julien serait une fillette et non un garçon.· Apostrophe mon enfant (l.13): Tendresse maternelle de Madame de Rénal.2. La domination des charmes de Mme de Rênal sur le dialogue. (l.14-18)· répétition du passé simple « oublia » (l. 15) : la vision de Mme de R a l’effet d’un choc qui bouleverse Julien ; cette répétition

pied et il trébuche. Il s’installe à la tribune, entouré par le supérieur du monastère et un représentant du roi. Il présente la problématique de la controverse et les deux adversaires : le dominicain Las Casas et le philosophe Sepúlveda. 3. Longue plaidoirie en faveur des Indiens du frère Bartolomé de Las Casas entrecoupée de protestations de la salle et de questions du légat du pape. 4. Intervention de Sepúlveda qui tente de porter le discrédit sur son adversaire, Las Casas. 5. Argumentations successives

comparaison, fortes ponctuations exclamatives et chiffres éloquents. 5. Le registre pathétique Le mot pathétique vient du grec pathos qui signifie souffrance. Les textes pathétiques présentent des personnages susceptibles de toucher le lecteur (enfant, vieillard, veuve, orphelin). Une situation douloureuse fait naître la tristesse et la pitié (misère, maladie, danger, accident mortel). Le héro pathétique se plaint, pleure, appel à l’aide, ne dispose plus d’aucun courage. Procédés : supplications

; donc vous êtes souvent attendris ». Il insiste ici sur le fait que tout le monde a une famille, donc que tout le monde peut être fraternel les uns envers les autres. Grâce à la phrase « Celui de vous qui a regardé ce matin le réveil de son petit enfant est bon », il attendrit celui pour qui cette phrase est detinée, c'est à dire un membre de l'auditoire, ou un lecteur. Ainsi, l'utilisation du présent de vérité générale dans la phrase « les coeurs sont les mêmes » insiste sur le fait que comme tout

n'a fait que fragiliser les prostitués, en les contraignant à se cacher. Les maisons closes auraient donc l'avantage de leur offrir une "protection médicale, juridique et financière". En 1946, il y avait environ 1400 maisons closes en France. La prostitution continue d'employer environ 30 000 personnes dans le pays, selon des estimations du Parisien, 80% seraient d’origine étrangère. Selon un sondage CSA commandé pour l’occasion par Le Parisien, 59% des Français seraient favorables à la réouverture