Pseudomonas aeruginosa

dans les cellules eucaryotes. L'inhibition de la synthèse protéique est alors à l'origine de la mort de la cellule. Une toxine possédant exactement la même activité ADP ribosyl transférase dirigée contre le facteur EF2 a été découverte chez Pseudomonas aeruginosa : l'exotoxine A. Son rôle dans la pathogénie de l'infection est inconnu. La toxine cholérique est responsable de l'apparition du syndrome diarrhéique. Elle est produite par les souches de Vibrio cholerae qui possèdent, dans leur génome, un

Les règles d’Hygiène 4 facteurs d’échanges de micro-organismes : Transmission croisée : Personnel Autres patients Milieu (environnement) Matériel (dispositifs médicaux) Hygiène hospitalière : Exemple de risques nosocomiaux : Eau froide => pseudomonas aeruginosa => colonise les plaies Eau chaude => légionellose qui s’inhalent par les goutelettes Siphon => eau stagnante => transmission croisée BMR Air => tuberculose, grippe, aspergillose Surfaces et dispositifs médicaux => transmission croisée BMR

bacillifère , rougeole, varicelle, zona chez immunodéprimé… Isoler : qui et quand ? 2ème indication : Lorsqu’un patient est colonisé ou infecté par une bactérie multi-résistante aux antibiotiques (BMR) ex: SARM, entérobactérie à BLSE Pseudomonas aeruginosa multirésistant Aux niveaux : cutané, digestif, urinaire, oculaire Précautions contacts Au niveau respiratoire Précautions Gouttellettes BMR : Colonisation/infection Infection Présence de BMR dans un site anatomique habituellement stérile

Altération des PLP (PSPD) (S. aureus, S. pneumoniae) Bacilles Gassociation possible producteurs de avec l'acide pénicillases clavulinique Pseudomonas Bactéricide Temps dépendant Gène mec, codant sur les BGpr transpeptidase (PLP2a) : saturation par méthicilline si { c} ++ uniquement Staph producteurs de pénicillase sensibles à la méticilline (staph méti-S) Pseudomonas Entérobactéries du groupe III Cocci G+ Listéria Bacilles Ggermes anaérobies Résistance Staph méti-R  CEPHALOSPORINESS C1G céfalotine

échantillon Bactéries coliformes totales 1 × 250 ml si > 1 ou < 2⇒ un second examen est effectué Streptococci fécaux 1 × 250 ml Pseudomonas aeruginosa 1 × 250 ml si > 2 ⇒ rejet Bactéries anaérobies sulfito-réductrices 1 × 50 ml Second examen Bactéries coliformes totales Streptococci fécaux Anaérobies réductrices de sulfite Pseudomonas aeruginosa n c1 m M 4 4 4 4 1 1 1 1 0 0 0 0 2 2 2 2 1 Résultats des premier et second examens. Le second examen doit

pénicilline et que ces mêmes microbes soient ensuite transmis d’un individu à l’autre et provoquer une infection que la pénicilline ne pourra guérir." Cette crainte est devenue réalité puisque aujourd’hui, certaines souches bactériennes (pseudomonas aeruginosa , staphylocoque doré) parviennent à résister à la plupart et, plus rarement, à tous les antibiotiques connus. Ces bactéries multirésistantes sont à l’origine de diverses infections dans des contextes particuliers (mucoviscidose), le plus souvent

des eaux: En orange celles utilisées pour les piscines Analyses bactériologiques: -germes revivifiables à 22°C -germes revivifiables à 36°C -bactéries sulfito-réductrices -Escherichia coli -entérocoques -Coliformes totaux -pseudomonas aeruginosa -legionella / legionelle Analyses phisico-chimique: -Ammonium -TH -nitrates -Fer -turbidité -Cuivre -conductivité -Zinc -aluminium -Plomb -pH

pigment bleu-vert, P. aeruginosa•Pyoverdine: pigment jaune vert, P. aeruginosa, P. fluorescensetP. PutidaEspèces pathogènes pour les végétaux–Espèces psychrotrophes (T ) altération des denrées alimentaires–Très peu d’espèces pathogènes pour les animaux–Souvent opportunistes | Pseudomonas–Bactéries hydrotelluriques/ tube digestif, moins fréquemment peau et muqueuses–Facteurs de pouvoir pathogène :•Sidérophores•Exotoxines (P. aeruginosa) | Pathogènes opportunistes–P. aeruginosa: bacille pyocyanique=

(ou slime) : Le glycocalyx est un feutrage de fibre s polysaccharidiques présent à la surfce de certaines bactéries la leur milieu naturel Chez certaines espèces bactériennes des quantités importantes de glycocalyx sont synthétisées (cas de Pseudomonas aeruginosa ou de Streptococcus mutans) et engluent les cellules bactériennes. Le glycocalyx est alors appelé « slime » La production de glycocalyx favorise l’adhésion de la bactérie, par exemple aux matériaux étrangers (prothèse..). Celui qui est produit

lendemain sur les six milieux (comme pour le pus externe).  ECBC (examen cytobactériologique des crachats) : Ensemencer en isolement sur : Gélose ordinaire Gélose Chapman Milieu Cétrimide (à la recherche de Staphylococcus aureus et de Pseudomonas aeruginosa) Faire un frottis coloré au Bleu de méthylène.  Hémoculture : Tout échantillon reçu est introduit dans l’automate Bact-Alert après introduction informatique du code à barres approprié. Au bout de 7 jours, si le Bact-Alert indique un résultat