Pulsions

contre nos passions. Inversement, il ne serait pas juste d’affirmer que la raison nous rend libre, puisqu’en se basant sur les dires de Freud, la raison n’est pas toute puissante face aux pulsions tyranniques. Toutefois, il est clair qu’on n’est pas complètement libre puisqu’on est contraint à refouler nos pulsions pour pouvoir vivre selon les normes établies dans par société. Tout d’abord, Descartes affirme que «la liberté est l’expérience de l’affirmation ou de la négation.»[1]En effet, dans

huit parties où Freud est amené à développer les conséquences sur le comportements individuel de la relation d'antithèse entre pulsion de vie (_Eros_) et pulsion de destruction que l'on rencontre chez l'homme au niveau psychique. En découle la thèse freudienne selon laquelle le refoulement pulsionnel (relatifs aux pulsions d'agression envers autrui mais aussi aux pulsions sexuelles) auquel invite la culture (structure imposé par les impératifs de la vie en communauté) produit un «malaise», une névrose

degré entre ces deux comportements. Bon nombre d’humains ne franchiront jamais le pas de la violence. Les adolescents et les adultes qui passent à l’acte de la violence sont mus par une pulsion difficilement contrôlable. La violence est du registre de l’instinct de survie. L’activité vers laquelle tend la pulsion n’est pas de nuire à l’autre mais de survivre. Le seul but recherché concerne la sécurité du sujet et peu importe pour ce sujet, dans l’instant de la violence, du dégât fait à l’autre.

1ère TOPIQUE CONSCIENT, PRECONSCIENT, INCONSCIENT 1920 : 2ème TOPIQUE SURMOI MOI ________ ÇA Freud: Deuxième topique Le Ça Le Ça comprend l’ensemble de notre hérédité Il est mené par deux instincts très puissants: - La libido (pulsion de vie + pulsion sexuelle) qui règle le rapport du sujet aux objets, dans la recherche d’une satisfaction complète; - L’instinct de mort qui est une force de destruction ou d’auto-destruction, plus profonde que la recherche de plaisir. Il apparait sous forme

Dans le chapitre 5, Freud définit l’homme comme un être agressif en effet, « parmi les pulsions qui lui ont été données, il peut compter aussi une part puissante de penchant à l’agression ». Pour Freud Il faut que la culture mette tout en œuvre pour poser des limites aux pulsions d’agression des hommes. Dans le chapitre 6, Freud affirme que « le moi » est remplit de libido, de désirs, de pulsions. Nos pulsions d’agressions par exemple ne se réalisent pas sans une libido qualifiée de narcissique.

l’évolution de la théorie des pulsions (avant 1920-après 1920). Avant 1920 Après 1920  Pulsions divisé en deux: Pulsions divisé en deux : - Pulsions sexuelles (libido) - Pulsion de mort (agressivité) - Pulsions d’auto-conservation (faim)

maladies étranges ? Est-il possible de contrôler ses pulsions en évitant toutes conséquences indésirables ? La psychanalyse permet-elle d’éviter ces maladies ? Freud définit la psychanalyse comme étant un instrument qui, à travers l’inconscient, cherche en profondeur les origines des troubles psychiques considérés étranges. Il considère qu’afin de guérir ses maladies il est nécessaire de trouver leur origine qui émane souvent d’une « guerre de pulsions » contradictoire elle-même provenant de l’inconscient

interets rationnels." Pulsion de mort: en analysant les traumatisés d'après guerre,Freud constate que les hommes ont tendance a revivre les moments qu'ils redoutent. Pulsion d'autodestruction qui a tendance a s'extérioriser dans un instinct d'agression. L'instinct d'agression est donc une extériorisation de la pulsion de mort,est de type pulsionnel et engendre un plaisir. L'existence social devient le théatre d'une lutte des pulsions de mort contre les pulsions de vie. La culture devient

répétition. Après lui, d’autres psychanalystes rappelleront l’importance du concept de répétition tel que Freud l’a fondé. Ce sera le cas de Lacan, qui fera du phénomène de la répétition, l’un des 4 concepts fondamentaux de la psychanalyse (inconscient, pulsion, transfert, répétition). Le 16 novembre 1956, Lacan rappellera que « la répétition est un élément fondamental dans tout ce qui découvre de la pensée Freudienne ». C’est le point de départ irréductible de la nouveauté Freudienne. Lacan se posera la

maîtriser : le ça. Le ça nous pousse , dans le ça règne le principe de plaisir, c’est là que se logent nos exigences les plus insoutenables et nos désirs les plus extravagants. Pour tempérer les pulsions du ça il y a le surmoi, sorte de gendarme qui est soumis au principe de réalité et qui sert à tempérer les pulsions du ça. Le moi lui est dans une relation de dépendance tant par rapport aux revendication du ça que des impératifs du surmoi et des exigences de la réalité : il se pose en médiateur.