Pulsions

Concepts de refoulement et de pulsion. Représentation=pulsion. Les pulsions sont refoulées et maintenues en dehors du champ de la conscience. La pulsion peut être sexuelle, d’autoconservation. Elles sont investies d’énergie (moteur de la vie). Retour dans l’inconscient. C’est la 1ère idée dynamique de l’appareil psychique. Les pulsions ne reviennent dans la conscience que déformées (rêves…) CONSCIENCE PRECONSCIENCE REFOULEMENT/CENSURE INCONSCIENT (siège des pulsions) CONSCIENCE PRECONSCIENCE

Renversement en son contraire : mécanismes ou une pulsion est non seulement refoulée mais remplacée par la pulsion opposée * Retournement contre soi : rapport de sa propre agressivité contre soi * Retrait * Sublimation : désexualisation d’une pulsion Conclusion : les mécanismes de défense ne sont pas synonymes de pathologie. Ils sont inhérents à la vie psychique du sujet et permettent au Moi de réguler les tensions internes liées aux pulsions et aux affects tout en maintenant l’adaptation

affects et de l’inhibition de la pensée dans la foule primitive. Libido est un terme emprunté à la théorie de l’affectivité. Nous désignons ainsi l’énergie, considérée comme grandeur quantitative – quoique pour l’instant non mesurable -, de ces pulsions qui ont affaire avec tout ce que nous résumons sous le nom d’amour. Nous allons risquer l’hypothèse que les relations amoureuses constituent l’essence de l’âme des foules. Deux réflexions : - la foule doit manifestement sa cohésion à un pouvoir

prend conscience de la présence ou de l’absence d’un appendice sexuel. C’est une période majeure dans la structuration de la personnalité. L’enfant de sexe masculin entretiendra avec sa mère un rapport fusionnel et verra en elle un objet de pulsion et de désir. Le garçon aura beau alors s’identifier à son père, il souhaiterait jouir exclusivement de sa mère sans être contraint par son rival, celui qui la « possède » réellement : son père. Ce dernier, doté d’un sexe apparent, semble être valorisé

psychanalytique, le lapsus, est celui le plus ignoré et le plus insignifiant car tout le monde en fait, malade comme sain d’esprit. Bien souvent, on pense que ce sont des erreurs aléatoires et sans signification mais ils ont un sens. Ils traduisent des pulsions et des intentions. Si on ne les considère plus comme des accidents mais bien comme des symptômes, on constatera que les lapsus sont des instants où l’inconscient arrive à forcer la conscience pour s’exprimer. Ce sont des relâchements dans la vigilance

certains désirs tout en les rendant compatibles avec ses propres normes, l’on peut dire que l’interdit attire chaque membre de cette société qui prohibe certains désirs. L’homme intériorise les interdits sociaux et moraux, et censure inconsciemment ses pulsions. Il est un concept nécessaire à toute société dans la mesure où il permet de faire régner un certain ordre social, sans lequel l’état de nature prendrait le dessus. Des interdits inexistants impliqueraient ainsi un retour au chaos, une domination

pour Freud ? Les garçons doivent-ils être éduqués de la même manière que les filles ? Comment concillier la pulsion de mort avec la pulsion érotique ? L’éducation sexuelle : répression ou permissivité ? La société est-elle néfaste pour l’individu ? L’homme est-il un loup pour l’homme ? La liberté n’est-elle qu’une illusion nécessaire ? Comment le surmoi agit-il à l’endroit des pulsions ? L’Éros peut-il vaincre les forces destructrices qui sévicent au sein de la civilisation? La violence est-elle

consommateur dépend donc, pour une part, de sa psychologie. La pulsion de vie le pousse donc à rechercher le maximum d’utilité. Mais, les pulsions de mort, générées par les autres, peuvent entraîner une recherche qui ne correspond pas à l’intérêt réel objectif. De plus, les désirs de toute puissance se heurtent à la rareté économique. La décision dépend donc, d’autre part, du cadre économique. Tout ce qui assurerait satisfaction maximale de la pulsion de vie ne peut ainsi être atteint. Il faut donc choisir

porter. • le refoulement : tout symptôme (lapsus, rêve, symptôme psychosomatique) est une réalisation déformée du désir. Le processus de déformation est appelé refoulement. • la sublimation : c’est la modification d’un désir ou d’une pulsion qui est réorientée quant à son but (la curiosité sexuelle de l’enfant est réorienté vers la curiosité intellectuelle, par ex.) ou différée quant à sa satisfaction (on remet le moment de jouer à plus tard, après son travail, par ex). La sublimation

être de désir, et que celui-ci est le moteur de la vie humaine. L’homme éprouve une pulsion sexuelle, la libido, qui est la source des désirs. Freud affirme effectivement que « Nous sommes des êtres pulsionnels ». Sans pulsion, il n’y aurait pas de vie car l’homme est par nature une puissance d’exister, un mouvement pour persévérer dans l’être. L’homme est gouverné par le principe de plaisir. Seule alors la pulsion sexuelle est à l’œuvre. Cependant, le fait de se reproduire n’est pas un désir mais