Quartier de la Goutte-d'Or

spatiale ( Cour d’un immeuble 8eme arrondissement) ( Hall d’immeuble 8eme arrondissement ) Sur cette photo prise sur l'avenue goerge V avenue composante du triangle d'or, nous distinguons un hall d'entree d'un immeuble de renommé. Ce hall d'entrée montre le niveau de vie des population resident dans ces quartiers qualifie de residenciel depuis 1979. Il est tres a l'extreme oppose du hall qualifie de squat que nous voyons sur la 2e photo. -Ce cliché represente l’intérieur d’un immeuble

chercheur britannique Ruth Glass dans un ouvrage intitulé Introduction to London : aspects of change où il étudie les changements sociaux de Londres et se demande pourquoi une partie de la population de la classe moyenne s’est installée dans certains quartiers dégradés du centre-ville au lieu d’emménager en banlieue. De fait, la gentrification apparaît comme une anomalie et s’oppose à la représentation de l’espace social urbain de cette époque. Mais l’extension de ce processus à tous les pays industriels

LA GOUTTE D'OR Après la lecture faite sur une des promenades extrait du livre de Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlo; Paris, Quinze promenades socoilogiques , nous avons pu étudier la grande diversité de culture, d'ethnie, de religion mais aussi les différentes catégories sociales, les différents divertissements qui animent ce quartier polpulaire appelé "Goutte d'Or , terre de tous les exodes". "Un vin blanc produit à partir des vignes qui descendaient des collines de ce faubourd a donné

annexé à Paris par le décret du 1er janvier 1860 (la ville passe alors de 14 à 20 arrondissements), l’espace de Gervaise ira de la rue Neuve-de-la-Goutte-d’Or (aujourd’hui rue des Islettes, qui débouche sur le boulevard de la Chapelle comme la rue Caplat, la rue Fleury, la rue de la Charbonnière et la rue de Chartres) à la rue de la Goutte d’Or, puis s’étendra jusqu’à la forge de la rue Marcadet où travaillent Goujet et Étienne. Elle s’y rend en portant du linge à une cliente rue des Portes-Blanches

L’histoire se passe principalement dans le quartier de la goutte d’or. Ce lieu représente le cœur des actions qui se passent dans l’assommoir. La vie et les éléments clés de Gervaise se passent essentiellement dans le quartier de la chapelle. Nous trouvons en effet tout au long du livre plusieurs passages permettant de confirmer cette affirmation. Commençons premièrement par un passage au tout début de l’histoire, de la page 76 « Gervaise et Coupeau, l’ouvrier zingueur, mangeaient … » nous constatons

L’histoire se passe en 1850 dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris.On suit l’aventure de Gervaise Marcquart, fille d’Antoine Macquart et de Joséphine Gavaudan, elle quitte le village de Plassans avec son mari Auguste Lantier qui est ouvrier chapelier et leurs deux enfants Claude ( le futur peintre de « L’Oeuvre » ) et Etienne ( le futur héros de « Germinal » ) pour s’installer à Paris dans un pauvre hôtel délabré dans le quartier de la Goutte d’Or à Montmartre.Deux semaines plus tard, Lantier

soi une fête de famille», s’écrie Coupeau à la fin du repas de noces [457]), le mariage est un acte proprement social devant l’ensemble du quartier. Il intègre Gervaise à une nouvelle famille, à un nouveau quartier, et surtout à de nouveaux lieux. En effet, cette intégration sociale n’est possible que par l’intégration spatiale au quartier de la Goutte d’Or. Celle-ci ne se fera pas immédiatement. Van Gennep note, parmi les rituels du mariage, la quasi-permanence de l’installation dans une maison

 L’Assommoir de Zola 1) Le 19 ème siècle à Paris dans le quartier de la Poissonnière (ch 1) et rue Neuve de la Goutte d’or (ch.4, page 112) , Rue de la Goutte d’or (ch .5). 2) Gervaise apprend la fuite de Lantier par son fils Claude, âgé de 8 ans page 29, ch .1 « Papa est parti ». La scène se passe au lavoir et la scène déclenche les pleurs de Gervaise, page 30 puis la violente dispute avec Virginie, la sœur d’ Adèle, la jeune femme avec laquelle est parti Lantier. 3) Gervaise

Goujet : voisin de Gervaise et Coupeau. Goujet vit avec sa mère, celui-ci est forgeron et il est un très bon ouvrier. Anne Coupeau : dite « Nana » : fille de Coupeau et Gervaise, dans le livre nous apprenons qu’elle règnera sur les Gallopins du quartier quand elle sera plus grande. A seize ans, elle aura un fils nommé Louis et comme Anne n’aura pas assez d’argent elle se prostituera. Elle se fera entretenir par des amants. La grande Clémence et Madame Putois : toutes les deux sont les ouvrières

Adepte et défenseur des arts nouveaux qui s’efforcent de montrer la réalité telle qu’on la voit, Zola décide de faire entrer les ouvriers dans la littérature autrement que silhouettés. Aussi peindra-t-il les petits artisans et les ouvriers de la Goutte-d’Or ; aussi décrira-t-il les mineurs en lutte contre les possesseurs du capital dans Germinal (1885) et le monde des cheminots dans La Bête humaine (1890). Publié d’abord en feuilleton dans plusieurs journaux, L’Assommoir parut en volume chez Gaston