Que J Aime Le Premier Frisson D Hiver Commentaire

la presse payante, surtout en ces temps-ci où la presse traverse des "zones de turbulence". Ambitieuse, pleine d’assurance, moderne, consciente du rôle qu’elle peut jouer dans la construction de la démocratie, la presse gratuite donne pourtant des frissons à la presse payante marocaine. Les professionnels de ce dernier secteur allant jusqu’à la qualifier de « menace ». 6 Tout porterait à croire que la presse gratuite représente une brebis galeuse dans le troupeau journalistique. C’est exactement

16 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur le roman. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 VERS LE BAC Question sur un corpus : Duras, Échenoz, Chevillard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22-27 Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours 8 9 10 11 12 13 Le texte et la scène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

on a gardé le souvenir d’une querelle qu’il eut un jour avec d’autres collégiens qui profanaient l'eau bénite en s’en aspergeant au sortir de la chapelle : il se jeta contre ces sacrilèges qui le traitèrent de «sale petit cagot». D’autre part, ses premiers rêves naquirent des histoires racontées par la mère : légendes des Ardennes peuplées de démons et de saints, de monstres et de chevaliers. Puis son imagination s’enflamma à la lecture des grands romans pour la jeunesse d’alors (comme ‘’Costal l’Indien’’

on a gardé le souvenir d’une querelle qu’il eut un jour avec d’autres collégiens qui profanaient l'eau bénite en s’en aspergeant au sortir de la chapelle : il se jeta contre ces sacrilèges qui le traitèrent de «sale petit cagot». D’autre part, ses premiers rêves naquirent des histoires racontées par la mère : légendes des Ardennes peuplées de démons et de saints, de monstres et de chevaliers. Puis son imagination s’enflamma à la lecture des grands romans pour la jeunesse d’alors (comme ‘’Costal l’Indien’’

Lou va à la gare. Elle va directement au lieu où elle a trouvé No la dernière fois. Pour un moment Lou a peur que No ne se souvienne plus d’elle mais ce n’est pas le cas. Lou l’invite pour aller boire quelque chose. No est d’accord avec ça, mais au premier café que Lou veut entrer No ne peut pas parce qu’elle est grillée. Elle préférée de sortir le gare. Dehors ils trouvent une brasserie. No prend une vodka et Lou prend un coca. Les deux parlent de l’endroit où elles vivent. No explique qu’elle ne vit

rêveur avait même des velléités d’écrivain. Sidonie Gabrielle, qu'on nommait «Gabri», que son père appelait «Bel-Gazou» (ce qui signifie «beau langage» en provençal), que sa mère surnommait «Minet-Chéri», était la dernière de quatre enfants : d'un premier mariage, sa mère avait eu une fille, Juliette, «ma sœur aux longs cheveux», née en 1860, et un fils, Achille, «l'aîné sans rivaux» né en 1863 ; puis elle avait eu Léopold (né en 1866). Le père, très tôt, la considéra comme une grande fille et lui

couple s'installa rue Vivienne. Manon, prétendument du fait de son origine plus modeste, refusa l'offre de mariage que lui fit des Grieux, même s’il était trop jeune pour obtenir de l’épouser ou même pour l’entretenir. Devant ce refus, il eut de premiers soupçons. En effet, alors que c’était l’amour qui le menait, c’était l’attrait d’une existence de luxe et de plaisir qui menait Manon. Aussi, éblouie par le luxe et les divertissements de la vie parisienne, elle disparut un soir pour rejoindre le

Lectures analytiques linéaires de trois extraits de La Peau de chagrin : 1) Le héros : “Au premier coup d’œil les joueurs lurent sur le visage du novice...” jusqu’à “Sortez ! ”, première partie “Le Talisman”. 2) Le pacte : “Je vais vous révéler en peu de mots...” jusqu’à “pour écouter Dieu ! ”, premier chapitre “Le Talisman”.3) L’excipit : “Vêtue de blanc, la tête penchée...”, “L’Agonie”.Parcours associé : les romans de l’énergie,

couple s'installa rue Vivienne. Manon, prétendument du fait de son origine plus modeste, refusa l'offre de mariage que lui fit des Grieux, même s’il était trop jeune pour obtenir de l’épouser ou même pour l’entretenir. Devant ce refus, il eut de premiers soupçons. En effet, alors que c’était l’amour qui le menait, c’était l’attrait d’une existence de luxe et de plaisir qui menait Manon. Aussi, éblouie par le luxe et les divertissements de la vie parisienne, elle disparut un soir pour rejoindre le

de la bibliothèque, lui était souvent revenu à la mémoire. Elle se servit une flûte de champagne tout en esquissant quelques pas de danse. Un peu de vin se renversa, coula sur son bras lorsqu’elle leva son verre pour porter un toast. Un délicieux frisson courut sur sa peau. Humm… exactement comme si un homme y avait posé ses lèvres. Sans doute était-ce d’avoir évoqué le souvenir de Jake Brennan qui lui faisait penser aux caresses d’un homme. — A ta santé, Marnie ! s’exclama-t-elle. Puis elle but une