Rapport de force

mesures prises immédiatement. Compte-rendu de mission : document qui consiste à rendre compte à un manager d’un travail dont il avait chargé une personne. La forme du compte-rendu de mission est voisine de celle du rapport, d’ailleurs dans la pratique, il est souvent appelé « rapport ». Concession : lors d’une résolution de conflit, point sur lequel on cède en échange d’efforts réciproques de l’autre partie. Conflit de pouvoir : situation dans laquelle deux personnes ou groupes luttent pour prendre

synergie de ses alliés par rapport à l’objectif fixé. On distingue deux types d’acteurs - ceux qui consacrent beaucoup d’énergie à notre projet - ceux qui ne lui consacrent pas beaucoup d’énergie. Cependant l’énergie consacrée peut être de 2 natures : - la synergie est l’énergie développée par un acteur pour un projet - l’antagonisme est l’énergie développée par un acteur contre un projet. Or une même personne peut-être à la fois synergique et antagoniste par rapport à un projet donné. Face

désire et dans un second temps l’interdépendance des personnages. Dans une première partie nous allons voir le pouvoir de Prospero, d’un côté sa domination et de l’autre sa magie. Pour commencer, la première réplique de Prospero installe un rapport de force en faveur de Prospero le magicien avec le champ lexical de la soumission et du pouvoir avec des termes comme « maître », « suivi », « j’ai obéi », « seigneur », « soumet », « ordres », « exécuter », « commander », « maître », « ordonné », mais

consentement. On peut établir le schéma argumentatif suivant : La thèse de Diderot : affirmation de la liberté de chacun L’autorité paternelle et ses limites (présentée comme une concession) Analyse du premier type d’autorité politique (par la force) Analyse du second type d’autorité (le modèle proposé par Diderot) Diderot analyse avec rigueur les différents types d’autorité. II. Une véritable démonstration : 1) Le texte commence par une négation catégorique, la première phrase est présentée

Toute autorité est-elle répressive ? L'autorité : répressive par nature Il faut supprimer la répression Faut-il nécessairement punir, menacer, pour être obéi ? Pour le bon fonctionnement des rapports humains dans la société, faut-il instaurer une notion d’autorité répressive ou au contraire une politique de laisser-faire ? C’est pour répondre à cela que nous allons traiter dans un premier temps l’hypothèse la plus élémentaire qui consiste à dire que toute autorité est nécessairement répressive

L’expression du conflit Violence verbale, fort expression colère, emportements → insultes « pauvre folle « (l.5), « fille-mère » (l.8), accumula° de qu + ou – rhétoriques, répéti° « femme » < homme. Répéti° « à genoux » : parallélisme (l.12,13), rapport de force, impératif, futur à valeur injonctive « tu prendras tes valises » (l.30). Enchainement des répliques → opposi°, antithèse, reprise lexicale (l.15 et 16/ 34,37/ 38,40). Perso égaux dans les répliques, 2 tirades = perso se tiennent tête → conflit

pouvoir Nous avons pu observer à travers les textes étudiés qu’il y avait plusieurs moyens d’exercer le pouvoir. Malgré la légitimité du pouvoir évoquée dans le paragraphe précédent, qui permet l’acceptation de celui-ci, on distingue la force et la ruse. La force se présente le plus souvent sous la forme de sanctions. On peut remarquer qu’il existe des sanctions négatives comme des sanctions positives, récompenses face à l’obéissance. Autant au sein de la société où on distingue les forces publiques

accompagnée d’un accroissement de statut, de rémunération, d’intérêt dans le travail, de reconnaissance, d’opportunité nouvelle…  Le conflit, lorsque les protagonistes choisissent de s’y engager, c’est qu’ils estiment nécessaire de créer un nouveau rapport de force, ou du moins de l’accentuer. Quand les parties adverses ne peuvent plus s’entendre, qu’elles sont prêtes à user de nouvelles méthodes pour se faire entendre ou comprendre ; quand les individus ou les groupes qui étaient en crise ne sont plus

psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l’école. Elle est le fait d’un ou de plusieurs élèves à l’encontre d’une victime qui ne peut se défendre. Les caractéristiques du harcèlement en milieu scolaire : La violence : c’est un rapport de force et de domination entre un ou plusieurs élèves et une ou plusieurs victimes. La répétitivité : il s’agit d’agressions qui se répètent régulièrement durant une longue période. L’isolement de la victime : la victime est souvent isolée, plus petite

Identifier une situation organisationnelle ou un problème managérial opérationnel (processus de décision, comportement d’un manager, conflit, rapport de force imprévu, règles détournées, projet qui n’a pas abouti….) qui a suscité votre étonnement Transformer ces étonnements en question : Pourquoi ?… => c’est votre problématique Exemples de problématiques… • Pourquoi le changement d’un directeur bouleverse l’ambiance au sein de l’agence bancaire ? • Pourquoi il n’y a pas de communication dans