Refoulement

inaccessible à la conscience: l'inconscient, encore appelé dans la deuxième topique freudienne le ça. Cette dynamique de l'oublie serait « pratique » si elle ne représentait pas un revers plus inquiétant. Ce qui se charge en nous de ce mécanisme de refoulement, c'est une censure, le surmoi qui incarne en notre esprit l'intériorisation des règles et lois parentales et sociétales. Avant d'aller plus en avant, analysons deux exemples freudiens dans les Cinq leçons sur la psychanalyse, et tentons de comprendre

conscients. Inconscient : se trouve tout ce qui a été refoulé, le « ça » et le « surmoi ». Refoulement : c’est l’opération par laquelle le surmoi rejette et maintient dans l’inconscient des représentations immorales ou jugées inacceptables. Surmoi : ensemble de barrières morales formées pendant l’enfance à partir du vécu des premiers interdits sociaux et parentaux. Le surmoi est à l’origine du mécanisme de refoulement. Il crée aussi les résistances. Ça : pôle pulsionnel : Eros (pulsion de « vie ») et

encore relativement facile entre le conscient et l’I. Contacts + étroits Enfant est favorisé / adulte, car offre un contact direct avec des expériences et des fixations que l’adulte ne peut souvent que reconstituer. Inhibition au jeu et à l’étude = refoulement excessif des fantasmes, et de la vie imaginative de l’enfant. Action/répétition = mécanisme primitif Jeu ds l’analyse : fiction/réalité – adaptation à la réalité Tte frustration est intolérable pour un enfant névrosé, qui supporte alors mal la réalité

lapsus, les actes manqués ou bien encore les noms propres oubliés. Tous ces éléments marquent l’importance de la censure et du refoulement. Le refoulement est d’ailleurs maitre de la psychanalyse, un des concepts majeurs nous dit Freud. La psychanalyse est destinée à guérir, ou plutôt soigner les névroses, les psychoses en amenant l’inconscient à la conscience et le refoulement est perçu comme une défense contre les pulsions, par exemple un homme qui est incapable de résister à ses pulsions, sexuelles

> Ça envie de pleurer mais Surmoi = les hô ne pleurent pas > symptôme de rhinite chronique) Selon Freud, nous réprimons de façon automatique - c'est-à-dire par réflexe - au plus profond de nous-même, les tendances refusées par le Surmoi. Le refoulement est l'outil du Surmoi. Il exige une dépense importante d'énergie pour maintenir les pulsions dans l'Inconscient. Voilà pourquoi, pour accéder à l'inaccessible Inconscient, Freud demande à ses patients de lui livrer ce qui leur passe par la tête

que Freud appelle “le refoulement”. Cette représentation est refoulée, cela signifie qu'elle est détachée des autres souvenirs du sujet, devient donc intolérable et laisse une trace du trauma qui aurait pu être laissé de côté si il avait été mêlé à d'autres souvenirs. Le rôle de la défense du “moi” contre l'image inconsciente est capital, tel que Freud renomma l'hystérie “hystérie de défense”. Mais il ne s'arrêtera pas là, car l'hystérie n'est pas provoquée par le refoulement lui-même, mais par l'échec

représentation du psychisme. La technique de la cure, dès 1898 et d'abord sous la forme de la méthode cathartique, avec Joseph Breuer, puis le développement de la cure type, est le principal apport de la psychanalyse. Des concepts, comme ceux de refoulement, de censure, de narcissisme, de moi et d'idéal du moi, ou davantage métapsychologiques comme les pulsions, la première topique et la seconde topique, le complexe d'Œdipe ou le complexe de castration, entre autres, vont, peu à peu, développer et

sous la forme de la méthode cathartique, avec Josef Breuer, puis le développement de la cure type, est le principal apport de la psychanalyse. L'hypothèse de l'inconscient approfondit la représentation du psychisme. Des concepts, comme ceux de refoulement, de censure, de narcissisme, de Moi et d'idéal du Moi, ou davantage métapsychologiques comme les pulsions, la première topique et la seconde topique, le complexe d'Œdipe ou l'angoisse de castration, entre autres, vont, peu à peu, développer et complexifier

d'approche (par l'inconscient), la censure ne procède pas d'une conscience aigue des choses. b Si nous renonçons en effet à toutes les métaphores représentant le refoulement comme un choc de forces aveugles, force est bien d'admettre que la censure doit choisir et, pour choisir, se représenter. La psychanalyse défend la thèse du refoulement, c'est-à-dire la thèse selon laquelle l'esprit ne peut assumer certains événement traumatiques, et se trouve dès lors contraint de les « oublier », c'est-à-dire

II) Hystérie, Refoulement et résistance, conflit psychique Freud parle de ses travaux sur l’hystérie en compagnie du docteur Breuer et ceux commencés par le docteur Charcot (peu enclin aux conceptions psychologiques) dont il fut l’élève en 1885-1886 et repris par son disciple Pierre Janet qui lui tenta d’analyser les différents processus d’hystérie . Freud suivant l’exemple de Janet développa sa propre opinion quand à l’hystérie avec notamment la notion de refoulement. A) Les avancées