Règle de saint Benoît

siècle - Ordre bénédictin = Règle de Saint Benoît - La vie des moines se règle selon la liturgie des heures, et ainsi ils priés tout le long de la journée Le monastère fut fondé par Guillaume duc d'Aquitaine et comte de Macon par un acte datant du 11 septembre 909. Guillaume fait don de l'abbaye à l'abbé Bernon et en fait un lieu de prière et d’accueil des pauvres et des pèlerins. Mais ce qui va rendre cette abbaye de Cluny unique c'est qu'elle est dédiée aux saints apôtres Pierre et Paul. Cela

Chartreux, proche des Cisterciens, un ordre fondé en 1084 par Saint Bruno. Il évoque la loi du silence des moines qui s'imposent des pénitences comme celle du cilice : « ils portent un cilice à même la peau ». Le cilice est un morceau de tissu très rugueux, gênant et douloureux sur la peau. Ainsi les acteurs des documents 1 et 2 sont les fidèles, les croyants, les baptisés. Le document 3 et le document 4 traitent du même sujet celui de Saint François d'Assise mais plus particulièrement des Franciscains

lire et admirer les livres païens, remplies de « figures poétiques », au lieu de lire les livres sacrées, et travailler la terre : selon lui ils ne respectent pas la règle imposée par Saint-Benoît. Puis, par la suite il les accuse de ne pas respecter le vœu de silence dans la salle capitulaire, un des trois vœux fondamentaux de la règle bénédictine, ce qui selon lui attise les disputes au sein du monastère. Le Clunisien, quant à lui, se défend en avançant qui lui et les siens vont jusqu’à prier huit

autours du cloitre: l'abbaye accueillait des pelerins, des voyageurs et des pauvres, l'hospitalite etant traditionnelle chez les moines. L'abbaye diffuse la religion mais aussi est un lieu de vie en commun. Ils vivaient selon la regle benedictine, c'est une regle de Saint Benoit qui date du 6 siecle. Comme dit le prophete “sept fois le jour j'ai dit ta louange”, ce nombre sacre, ils le realiseront en priant sept fois par jour ( Matines, Laudes, Tierce, Sexte, None, Vepre et Complies). A part prier les

Ils doivent dire des vœux notamment de clôture et de chasteté. Leur nombre va de 10 personnes à 300 moines (abbaye de Cluny). La majorité des moines appartiennent à l'Ordre de Saint Benoit. II/Le rôle et la reconnaissance des moines A/Le rôle des moines au XIIème siècle Dans cette règle, ils ont un emploi du temps particulier : • le travail manuel: les moines font tous eux même. • le travail intellectuel • actes religieux Ils prient aussi pour les

prêtres qui vivent avec les laïcs forment le clergé séculier(« dans le siècle »). •  À l'écart du monde vivent des religieux qui sont en général groupés dans des monastères. Ils suivent une règle, sous l'autorité d'un abbé ; c'est pourquoi les moines constituent le clergé régulier. La règle de saint Benoît sert de modèle à presque tous les monastères ; les bénédictins vivent en communauté, se consacrent à la prière, à la méditation et au travail manuel. II. Son influence dans la vie quotidienne

prêtres qui vivent avec les laïcs forment le clergé séculier (« dans le siècle »). • À l'écart du monde vivent des religieux qui sont en général groupés dans des monastères. Ils suivent une règle, sous l'autorité d'un abbé ; c'est pourquoi les moines constituent le clergé régulier.La règle de saint Benoît sert de modèle à presque tous les monastères ; les bénédictins vivent en communauté, se consacrent à la prière, à la méditation et au travail manuel. II. Son influence dans la vie quotidienne

Les moines et les pouvoirs (IX-XI siècle) De la parole de Saint Benoît de Nursie, initiateur de la règle bénédictine, voici le chemin que doit prendre les moines : « Le monastère doit, autant que possible, être disposé de telle sorte que l'on y trouve tout le nécessaire : de l'eau, un moulin, un jardin et des ateliers pour qu'on puisse pratiquer les divers métiers à l'intérieur de la clôture. De la sorte les moines n'auront pas besoin de se disperser au-dehors, ce qui n'est pas du tout avantageux

Charlemagne et son fils Louis le Pieux christianisent les régions nouvellement conquises par la force ou en y envoyant des missionnaires. Sur tout leur territoire, les carolingiens encouragent la fondation de monastères. Beaucoup adoptent la règle de Saint Benoît qui partage le temps des moines entre la prière et le travail. On y copie des manuscrit chrétiens et on y ouvre des écoles à la demande de Charlemagne. Les monastères deviennent ainsi des centres de culture.

ils vivent « dans le siècle », et non en communautés. Ils ne s'engagent qu'au célibat et à l'obéissance. D'un autre côté, on trouve le clergé régulier, composé de moines ou d'abbés qui vivent reclus, selon des règles (la règle de Saint Benoît pour les Bénédictins, la règle de Saint François d'Assise pour les Franciscains...) et qui ont fait voeu de pauvreté. Ce monachisme s'est surtout développé au VIème siècle par la volonté de clercs soucieux de retrouver un idéal chrétien. Cette église a beaucoup