René Pleven

Une course d’un jour J’étais un aurige, une vedette à proprement parler. Vêtu d’une tunique sans manches, et d’une casaque bleue qui montrait ma faction de patriciens. J’étais également habillé d’un casque de métal destiné à me protéger en cas de chute. La course proprement dite comprenait sept tours en l'honneur des sept jours de la semaine et des orbes célestes concentriques des sept planètes (Lune, Mercure, Vénus, Soleil, Mars, Jupiter, Saturne) du système de Ptolémée. Déjà le magistrat

I- Le contexte politique et institutionnel : la fin de la IVème République Si la crise algérienne contraint René Coty a rappelé de Gaulle au pouvoir elle ne doit pas faire oublier les faiblesses institutionnelles récurrentes du régime. La guerre d’Algérie n’a fait que précipiter la fin d’un régime. 1) L’instabilité politique récurrente de la IVème République La IVème République est un régime dominé par l’Assemblée nationale dont la faiblesse institutionnelle est due d’abord et avant tout au

les problèmes de décolonisation. Le 15 avril, l’assemblée nationale renverse le gouvernement de Félix Gaillard, c’est le début d’une crise ministérielle. René Coty (le président de la république) demande alors à Georges Bidault (partisan d’une politique de fermeté en Algérie) de constituer un gouvernement, celui-ci échoue, ensuite vient René Pleven qui abandonnera au bout de 15 jours. Le 8 mai Pierre Pflimlin accepte de former un gouvernement ayant toutefois la défiance des français d’Algérie et des

de censure), le gouvernement de Félix Gaillard. Commence alors une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le président de la République René Coty demande d’abord le 20 avril à Georges Bidault partisan d’une politique de fermeté en Algérie, de constituer un nouveau gouvernement. Il échoue. René Pleven est alors pressenti le 26 avril, pour former un gouvernement. Mais devant l’hostilité des socialistes, il abandonne au bout de 15 jours. Enfin le 8 mai, Pierre Pflimlin

voies contre 255 le gouvernement de Félix GAILLARD, commence alors une crise ministérielle qui allait se prolongé pendant plusieurs semaines. Le président de la République René COTY demande d’abord le 20 avril à Georges BIDAULT qui est partisan d’une politique de fermeté en Algérie de constituer un gouvernement, il échoue. René PLEVENE est alors pressentie le 26 avril mais devant l’hostilité des socialistes abandonnent au bout de 15 jours. Enfin le 8 mai Pierre PFLIMLIN l’un des dirigeants

contre 255, le gouvernement de Félix GAILLARD. Commence alors, une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René COTY, demande d’abord le 20 avril à Georges BIDAUT, partisan d’une politique de fermeté en Algérie de constituer un gouvernement. Georges BIDAUT échoue. René PLEVEN, est alors pressenti le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes, il abandonne au bout de 15 jours. Enfin, le 8 mai Pierre PFLIMLIN, l’un des dirigeants du

contre 255, le gouvernement de Félix GAILLARD. Commence alors, une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René COTY, demande d’abord le 20 avril à Georges BIDAUT, partisan d’une politique de fermeté en Algérie de constituer un gouvernement. Georges BIDAUT échoue. René PLEVEN, est alors pressenti le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes, il abandonne au bout de 15 jours. Enfin, le 8 mai Pierre PFLIMLIN, l’un des dirigeants du

contre 255, le gouvernement de Félix GAILLARD. Commence alors, une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René COTY, demande d’abord le 20 avril à Georges BIDAUT, partisan d’une politique de fermeté en Algérie de constituer un gouvernement. Georges BIDAUT échoue. René PLEVEN, est alors pressenti le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes, il abandonne au bout de 15 jours. Enfin, le 8 mai Pierre PFLIMLIN, l’un des dirigeants du

contre 255, le gouvernement de Félix GAILLARD. Commence alors, une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René COTY, demande d’abord le 20 avril à Georges BIDAUT, partisan d’une politique de fermeté en Algérie de constituer un gouvernement. Georges BIDAUT échoue. René PLEVEN, est alors pressenti le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes, il abandonne au bout de 15 jours. Enfin, le 8 mai Pierre PFLIMLIN, l’un des dirigeants du

voies contre 255 le gouvernement de Félix Gaillard. Commence alors une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René Coty, demande d’abord le 20 avril à Georges Bidault, partisan d’une politique de fermeté en Algérie, de constituer un gouvernement : il échoue. René Pleven est alors présenté le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes, il abandonne au bout de 15 jours. Enfin le 08 mai, Pierre Pflimlin un des dirigeants du MRP accepte